3 Commentaires

  1. Et si la gauche n’avait pas pris possession de l’EN et des universités, on ne serait pas descendu au rang 26 du classement PISA.
    Et nos “scientifiques” auraient trouvé un vaccin avant les autres .
    Quelle pitoyable dégringolade !!
    Peut-on encore songer à réindustrialiser quand on a perdu tous les cerveaux ?
    On pourra faire appel aux Chances pour la France, n’est-ce pas mélanchiottes ?

  2. Les enseignants que j’ai pu côtoyer en tant qu’élève étaient à 95% de gauche.
    Ceux de nos familles sont les plus prétentieux et les plus cons.
    Le pire, c’est qu’ils ne s’en rendent même pas compte…

  3. Les Français doivent savoir que l’Education nationale et l’Université (deux institutions que je connais bien) sont extrêmement politisées, alors même que la loi impose un devoir de neutralité. Ceux qui défendent le prétendu État de droit contre ses supposés détracteurs doivent nous expliquer comment il est possible que la loi ne s’applique pas dans ces institutions, ou plutôt que la loi s’applique uniquement pour condamner les personnels qui ne sont pas du bon côté de l’échiquier, même lorsque ces personnes ce sont les plus discrètes et les plus respectueuses de la déontologie, comme on peut aisément le constater. On ne compte plus les enseignants qui endoctrinent les élèves et les étudiants, transforment leurs cours en tribunes politiques, font pression sur leurs collègues; cela va si loin qu’aux dernières présidentielles, des présidents d’université (oui, vous lisez bien: des présidents d’université) n’ont pas hésité à afficher sur le portail de leur institution leur consigne de vote, sans que cela suscite la moindre protestation! (bien sûr, ils étaient, eux, du bon côté). On nous avait appris qu’en république la loi est la même pour tous, mais nous avons une multitude d’exemples qui prouvent le contraire. Bien entendu tous les gens dont je parle sont payés avec les impôts des contribuables et ne courent aucun risque de sanction. Ils sont même, quelquefois, récompensés pour leur zèle, car l’entre-soi fonctionne plutôt bien dans ces milieux où la cooptation a toute sa place. L. Fidès, auteur de Face au discours intimidant.

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