A dada sur mon bidet…

 

A dada sur mon bidet…

 

Nous sommes en juillet, vous êtes vraisemblablement en tenue légère d’été, peut-être en vacances, et ici, devant  votre écran, à la recherche d’un sujet de lecture rafraîchissant.

Parlons canassons !

Et sans quitter notre dada favori : le refus de l’islam en France.

Figurez-vous que les rédacteurs du coran et des hadiths (tradition islamique), écrivant leurs récits et leur code de vie hors de toute ‘’révélation’’ de l’ange (qui s’est tu en même temps que mourait le ‘’prophète’’ en 632, c’est-à-dire un siècle plus tôt au minimum), écrivant ce coran et ces hadiths après les conquêtes arabes du 7 ème siècle et au cours de celles du 8 ème, ont cru utile d’indiquer à l’humanité et pour l’éternité le nom du cheval de Mahomet : Burak (se prononce bourak). Quelle information ! Plus exactement, ce nom de ‘’Burak’’ désigne, dans la tradition islamique, le ‘’taxi des prophètes’’, le moyen de transport merveilleux, miraculeux, rapide comme l’éclair, que la divinité met à la disposition de tous ses ‘’messagers’’ (ou ‘’prophètes’’) au cours des siècles. Le Burak que le coran fait prendre au Muhammad de La Mecque n’était que l’un de ces taxis divins de l’imaginaire bédouin. Tout ça pour épater la galerie des récitateurs du coran !

Aujourd’hui encore, il y a des centaines de milliers de musulmans de par le monde qui portent comme prénom le nom de ce canasson : Burak ! Bon, ne nous moquons pas… j’ai un ami qui s’appelle Burak, et les footeux connaissent un célèbre joueur, Burak Yilmaz, vainqueur du championnat de France avec Lille en 2021……

Ce qui est appréciable pour nous, qui cherchons des poux à l’islam qui nous laisse trop de crottin en France, c’est que, grâce à cette indication chevaline, semblant anodine, nous pouvons prouver (en plus de cent autres preuves concordantes) que le coran a été écrit plus d’un siècle après la mort du personnage légendaire appelé Muhammad dans le coran. Que le coran a donc été écrit sans le moindre lien avec une prétendue ‘’révélation’’  faite à La Mecque et à Médine de 610 à 632 ni avec un certain ange Gabriel (Djibril) ni avec un certain dieu (Allah) ni avec rien de surnaturel, de divin, de merveilleux, de transcendant, de céleste ni de paradisiaque ni de supérieur aux diverses lois précédentes connues des rédacteurs du coran. L’islam, dont le texte fondateur est le coran, est issu d’une mise en scène sans grâce, d’un mauvais scénario, d’une pâle copie de récits antérieurs de précédentes ‘’révélations’’, est une création sans originalité faite par des soudards, et un ramassis de pieux mensonges.

Mais en découvrir des preuves matérielles aujourd’hui, au bout de 14 siècles d’écrans de fumées, de mensonges, de doutes et de guerres défensives contre l’islam, c’est quand même jouissif et fabuleux !

Cela nous invite par conséquent à être très prudents lorsque nous voulons nous documenter sérieusement sur l’origine de l’islam, sur le contexte de la période de l’écriture du coran, sur qui était le Mahomet qui est évoqué dans le coran comme ayant vécu à La Mecque entre 610 et 622 et qui est l’autre Muhammad du coran, qui n’est qu’un personnage de fiction, fabriqué à partir des modèles que sont les chefs militaires que les rédacteurs du coran avaient sous les yeux au 8 ème siècle.

Si les ouvrages sur l’islam et sur le coran que nous consultons ne tiennent pas compte des dernières découvertes archéologiques et historiques, nous restons prisonniers, au même niveau que les musulmans, du récit et de l’histoire écrite par les vainqueurs arabes de cette époque des conquêtes arabes. Ces ouvrages sont donc médiocres historiquement, véhiculant de fausses informations historiques, prisonniers du vieux récit arabe, surtout au sujet du personnage appelé Muhammad, clé et pierre de voûte de tout l’édifice appelé ‘’islam’’. Toute personne souhaitant s’informer sérieusement sur l’islam (ses origines, le contexte de l’écriture du coran, l’étude critique du coran, qui était Mahomet) doit désormais (alors que cela n’a pas été le cas durant les 14 siècles précédents) se demander si les ouvrages consultés, qui lui servent de références, datent d’avant ou d’après les résultats des découvertes archéologiques et historiques récentes et si ils en tiennent compte ou s’ils les négligent. Il y a un avant et un après notre époque (années 2000 à aujourd’hui).

Disons-nous que les récentes découvertes archéologiques et historiques nous invitent à réécrire l’histoire, à écrire une Contre-histoire de l’islam, du coran, de Mahomet. A ne plus être prisonniers du récit coranique (qui ne correspond pas avec l’Histoire des faits réels aujourd’hui découverts). A ne plus voir Mahomet tel que le coran le décrit (une fiction, un montage). A ne plus considérer l’islam comme issu d’une ‘’révélation’’ divine commencée en 610. Car plus d’un siècle (de guerres lointaines, jusqu’à Poitiers !) sépare cet élément fondateur (la ‘’révélation’’) de la période de l’écriture du coran, de la fixation de la sharia, de l’établissement des codes et obligations des guerriers de l’islam appelés également musulmans.

Nos propres anciens écrits personnels sur ces sujets sont erronés, ils sont victimes du récit écrit par les vainqueurs arabes (le seul qui a existé durant 14 siècles), il nous faut avoir le courage de les jeter, de vaincre notre paresse intellectuelle, de reconnaître nos erreurs : ces ouvrages et ces anciens écrits ne sont pas recyclables !

Si nous voulons nous documenter sur les moyens de communications humaines  à travers les âges, le simple bon sens nous alerte : en achetant des ouvrages (d’accord, pas chers, bon marché !) rédigés avant l’invention du téléphone et d’internet, nous n’aurons rien sur ces découvertes récentes ! Idem, pour nous documenter sur les moyens humains de locomotion, même prudence : les ouvrages écrits avant le 19ème siècle ne contiendront aucune  étude relatant l’aviation et les fusées spatiales d‘aujourd’hui.  

Adoptons la même attention lorsque nous souhaitons nous documenter sur l’islam : évitons d’acheter des livres d’occasion, écrits il y a quelques dizaines d’années, sur l’islam, sur le coran, sur Mahomet, qui ignorent le résultat des récentes recherches archéologiques et historiques. Ou alors utilisons ces ouvrages faisant date pour en démontrer les erreurs et les insuffisances, pour les réécrire et les compléter, pour montrer comment l’Histoire, toute l’Histoire, a été manipulée durant 14 siècles par le récit écrit par les Arabes vainqueurs lors des conquêtes arabes des 7 et 8 èmes siècles. L’absence et la destruction d’autres écrits de cette période ancienne empêchèrent de contredire le récit fait par les vainqueurs cruels et dominateurs : ce récit tout à la gloire de l’islam-‘’religion de paix et d’amour’’ s’est donc imposé et est répété, sans la moindre précaution, par les musulmans d’aujourd’hui et par ceux d’entre nous qui  refusent de tenir compte des résultats des récentes découvertes archéologiques et historiques : par ignorance ? Par paresse intellectuelle ? Par orgueil ? Par bêtise ? Par obstination ? Par opposition systématique à toute découverte (qu’ils n’ont pas faite eux-mêmes !) ?…

Un exemple : lorsqu’on recherche sur le Net ‘’Origine des petits chevaux arabes » le moteur de recherches nous dirige vers « Le Blog du Cheval » (cela paraît idéal, il n’y a pas mieux) qui propose de lire son ‘’Histoire du cheval et origine de la race pur-sang arabe’’. Et on arrive à ce paragraphe : « Cette race (domestiquée par les tribus bédouines) a été très remarquée par les pharaons, puis par les musulmans à l’époque de Mahomet, où la place primordiale de ces chevaux est attestée dans le coran. Les pur-sang arabes ont ensuite été exportés à travers le monde pour le commerce et les guerres. Ils sont par exemple arrivés en France au 7 ème siècle pour la bataille de Poitiers. » Ce texte, sans doute irréprochable pour ce qui concerne le cheval, est contestable pour ce qui concerne la référence aux « pharaons » (de quelle époque sur les 3 millénaires de leur règne sur l’Egypte ?) pour ce qui concerne le lien de Mahomet avec le coran. Ce texte d’internet a été écrit par quelqu’un qui n’est pas au courant des dernières recherches historiques qui ruinent tout lien entre le Mahomet de la Mecque (610-622) et le coran (écrit plus d’un siècle plus tard). La place de ces chevaux dans les armées arabes au 8 ème siècle (époque de l’écriture du coran) n’indique nullement que, au siècle précédent et dans l’oasis de La Mecque, il ait pu y avoir de tels chevaux. Mais, dans nos esprits, le lien obligé entre ‘’Coran’’ et ‘’Mahomet’’ et l’image de ce lien imprimée dans nos mémoires par les musulmans depuis 14 siècles ont fonctionné dans le cerveau de l’auteur de ce texte et l’ont amené instinctivement à lier Mahomet au coran, alors que plus d’un siècle les sépare et que l’on sait aujourd’hui (depuis peu) qu’il n’y a pas, ou que très peu de lien historique entre eux.

C’est ainsi que, si nous ne faisons pas un gros effort intellectuel pour nous débarrasser de l’Histoire écrite par les Arabes, pour débarrasser notre mémoire du lien coran-Mahomet, nous risquons de continuer à nous exprimer comme les musulmans.  Ils ont gagné militairement, grâce à leurs guerres offensives, les territoires maghrébins devenus ‘’pays musulmans’’ et ‘’Terre d’islam’’, et ils ont imposé au monde entier leur récit et leur Histoire durant 14 siècles. Mais ne continuons pas à leur accorder en prime la maîtrise sur l’Histoire des faits réels que nous découvrons aujourd’hui. Ceux-ci sont différents de la façon dont ils sont racontés dans le coran et la tradition islamique. Les découvertes des récentes recherches archéologiques et historiques nous en fournissent les preuves. Pour nous tenir à la page, pour ne pas continuer à faire le jeu de l’islam, ne prenons pas nos références dans les livres et les divers écrits qui ne tiennent pas compte des résultats de ces recherches archéologiques et historiques contemporaines et en pleine activité.

Ceci dit et rappelé,

Parlons canassons !                             

Rappelons-nous comment la tradition islamique concernant Burak est liée au but de présenter artificiellement les origines de l’islam comme surnaturelles, datant d’une époque merveilleuse (un siècle auparavant) d’avant les guerres arabes de conquêtes et marquée aux origines de l’islam par une recherche spirituelle et religieuse. Cela, du temps d’un ‘’prophète’’ dont le nom a été oublié (son surnom de « Digne de louanges », Muhammad, suffira) mais que les rédacteurs du coran dépeignent en prenant pour modèles les chefs de guerre des armées arabes qui vivaient dans les cités conquises au 8 è siècle et qui étaient sous leurs yeux. Un ‘’prophète’’ inspiré par le dieu Allah. Un dieu qui, déjà, ne s’adressait plus aux Arabes au 8 ème siècle… Il fallait donc fixer par écrit au plus vite ce qu’il avait dit à Muhammad avant que ça dégénère en conquêtes imprévues, cruelles et inhumaines.

Voici donc l’essentiel du récit des prouesses du Burak  (sourate 17 du coran et hadiths) :

Du vivant de Muhammad dans sa période mecquoise (donc entre 610 et 622), le prophète passa une curieuse nuit. Un coursier fantastique, venu du paradis, tenu en rêne par les archanges Gabriel et Michel, arriva à La Mecque. Le prophète reçut l’ordre de le chevaucher et, grâce à la fulgurance de ce cheval divin ailé, il traversa la péninsule arabique et se retrouva très rapidement à Jérusalem. Là, il attacha les rênes de Burak au pied de la mosquée et suivit les archanges sur une « échelle de lumière », à travers les enfers et le paradis, ce qui lui permit de traverser les 7 étages du paradis. Au bout de son ascension miraculeuse il parvint  jusqu’à Adam, Abraham, Moïse et Jésus, qui se trouvaient au Ciel  et il pria avec eux. Même, grâce à un ange intermédiaire et interprète, il dialogue un moment avec Allah qui lui remet les 5 prières quotidiennes de l’islam (si les musulmans possèdent aujourd’hui ces cinq prières, c’est bien la preuve que Muhammad a rencontré Allah au Ciel). Puis il redescend avec Gabriel, détache son merveilleux Burak qui le ramène, d’un coup d’aile, à La Mecque où il se réveille au moment du petit déjeuner, ravi de son périple. Il n’a plus qu’à raconter son voyage à ses femmes qui s’affairent autour du feu, et à regretter le départ de Burak : à sa place il ne voit que des chameaux.

La tradition islamique décrit Burak comme ‘’un cheval céleste et angélique’’, de robe blanche, « plus grand qu’un âne mais plus petit qu’une mule », avec deux ailes de chaque côté du corps ; il a des brides ornées de joyaux et une selle constellée de diamants. Il sert principalement à transporter les prophètes de Dieu de façon très rapide à travers les espaces. Sur plusieurs peintures, il est représenté avec une tête de femme et une queue de paon.

Historiquement, le cheval a été intégré à la mythologie islamique au fur et à mesure que les Arabes expérimentaient son importance sans égale dans leurs conquêtes de l’Egypte (645) et du Maghreb, suivies par celles de la péninsule ibérique (passage du détroit de Gibraltar en 711) et de leur progression jusque Poitiers. L’importance du cheval pour les musulmans tient depuis 14 siècles à ses capacités à permettre à son cavalier de réussir les razzias, les raids, les guerres surprises  éclairs. Le lendemain du 11 septembre 2001,  le Koweïtien Suleiman Abu El Ghayt, porte-parole officiel d’Oussama ben Laden, emploie l’image des « Chevaux de Dieu », présente dans un hadith, pour désigner le djihad durant une allocution diffusée sur Al Jazeera :

« Ceci est mon dernier appel que j’adresse à la nation du milliard, à la nation de l’Islam, à la nation du jihâd, la nation de Mahomet et des descendants d’Abou Bakr, Omar et Khalid Ibn Al Walid. Je dis « Volez, chevaux de Dieu, volez, chevaux de dieu, volez, chevaux de Dieu ! »

Un hadîth du Prophète, figurant entre autres dans le Nâçerî et dans ‘’Les Chevaux du Sahara’’, décrit ainsi la création des chevaux par Allah :

« Au moment où la Majesté divine voulut créer le cheval, elle appela le vent du midi : « Je veux, lui dit-elle, créer de ta substance une créature nouvelle que je destine à être la puissance et la gloire de mes saints sur la terre, l’humiliation de mes ennemis, l’orgueil de ceux qui me serviront. » Dieu prit alors une poignée de vent et en créa le cheval, auquel ensuite il adressa ces paroles : « Je te nomme ‘’cheval’’ et je t’ai créé arabe ; je t’établis comme une des gloires de la terre. Le bien-être et les succès sont noués et attachés à la crinière qui ombrage ton cou ; les butins sont rassemblés sur ton dos ; les richesses seront partout où tu seras ; je te donne pour te nourrir plus que je n’ai donné à tout autre des animaux domestiques ; je t’établis leur chef, leur roi ; je te donne le vol sans ailes ; tu seras pour l’attaque et tu seras pour la fuite. Un jour je placerai sur ton dos des hommes qui exalteront ma Majesté, exalte-moi avec eux, qui célébreront ma grandeur, magnifie-moi avec eux. » (Abou Bakr ibn Badr Eddîn ibn el Moundir. Nâcerî).

Dans cette description datant du 8 ème siècle on retrouve sous une forme littéraire prophétique (« Un jour je placerai sur ton dos des hommes… ») l’évocation des services rendus par le cheval aux conquérants arabes durant l’époque même de l’écriture du coran et des hâdiths.

 

      Burak : un petit cheval arabe de guerre. Et non plus un chameau !

La description, même approximative et mythique, d’un petit cheval ailé rapide, irréel, indique que ce récit est lié aux inattendues et ‘’miraculeuses’’ conquêtes arabes, elle est destinée aux admirateurs de ces chevaux, à ces guerriers qui utilisaient ces rapides coursiers pour surprendre et sidérer les populations sédentaires. Ils effectuaient ainsi, à l’aide du plus moderne moyen de réussir leur entreprise de conquêtes territoriales, leurs razzias, leurs pillages et leur avancée pour le compte de l’islam. Ces conquêtes arabes à travers le Maghreb et la péninsule ibérique, jusqu’à Poitiers,  tinrent beaucoup à ces petits chevaux rapides, adaptés à de telles avancées fulgurantes. Au 8 ème siècle, époque de ces guerres offensives arabes, il n’est plus question des lents chameaux du siècle précédent, mais de petits chevaux rapides étonnants et permettant les victoires surprises. A l’époque de l’écriture du récit du rêve de Mahomet chevauchant Burak et l’attachant au mur de la mosquée de Jérusalem, nous ne sommes donc plus à La Mecque en 620, mais dans une ville conquise (en Syrie ?) à la fin du 8 ème siècle.

 

Le mur de Burak.

Le ‘’Mur des Lamentations’’, à Jérusalem, est appelé en arabe « le mur de Burak » car, toujours selon la tradition islamique, c’est là, au pied de ce mur, que Mahomet attacha Burak. Les musulmans considèrent ce mur comme étant un des murs de la mosquée. Ils sont définitivement fâchés avec l’Histoire, l’archéologie, le déroulement réel des faits au cours des différentes époques.

Là encore, les archéologues et les historiens se démarquent des pieux récitateurs du coran. Ceux-ci ne voient aucune objection ni aucune contradiction à ce que Muhammad attachât les rênes de Burak au pied du mur de la mosquée de Jérusalem vers 620.

Or, les fouilles archéologiques récentes sont parvenues à dater de 705 la mise en service de la mosquée construite à Jérusalem. Nous avons une date historique (sûre) : 705, pour marquer la fin des travaux de la mosquée. Et une autre date, indiquée par la tradition coranique (non vérifiée ni confirmée par une autre source) indiquant l’année de la mort du Muhammad de La Mecque : 632. L’écart entre ces deux dates est de 73 ans. Les rédacteurs du coran et des hadiths tiennent pour normale, donc déjà ancrée, l’habitude d’attacher les chevaux au mur de la mosquée de Jérusalem. Ce qui laisse supposer qu’une période d’environ et d’au moins 80 ans sépare la mort du Muhammad de La Mecque du récit coranique écrit par quelqu’un qui ne connaît vraisemblablement pas Jérusalem (aucune précision dans le coran, aucun détail, aucun indice matériel, aucun plaisir à décrire cette ville conquise en 638).

L’ensemble de ces indices, qui ne pouvaient pas être connus avant que soient diffusés les résultats des fouilles archéologiques et des travaux des historiens, ruinent le récit musulman, qui s’impose depuis 14 siècles, assurant que le coran est étroitement lié à Mahomet, lui-même à l’ange Djibril qui le relie à Allah le Dieu créateur de l’Univers. L’Histoire, écrite par les vainqueurs arabes et imposée depuis 14 siècles, est démentie par ce genre de découvertes archéologiques et historiques. Le coran ne peut, en aucun cas, servir de référence pour les historiens, le coran n’est pas un livre d’Histoire. Contrairement à ce que prétendent les musulmans.

Ne boudons pas notre plaisir à découvrir cette nouvelle écriture de l’Histoire des origines de l’islam, réelle celle-ci, basée sur les faits avérés. Nouvelle histoire capable de préciser l’époque réelle de l’écriture du coran et de la loi islamique : après les conquêtes arabes et hors du désert et de ses oasis, écriture effectuée dans des cités conquises. Nouvelle histoire, capable de dissocier divers Mahomet, alors que l’islam officiel s’acharne à n’en reconnaître qu’un seul dans le but de faire remonter le coran à l’époque du ‘’prophète’’ qui parlait avec Dieu. Or, il y eut peut-être ce Muhammad qui vécut à La Mecque entre 610 et 622 ou même peut-être jusqu’en 632, et qui n’a rien à voir avec celui fabriqué un siècle plus tard par le récit coranique, après les conquêtes arabes, et loin du désert. Le premier Muhammad, ‘’messager de Dieu’’ et ‘’prophète’’ (sorte de rabbin auto-proclamé), n’a pas historiquement participé à l’écriture du coran ni à celle de la loi islamique, ce qui fiche tout en l’air du récit élaboré par l’islam pour tenter d’attester de son origine divine et de son caractère sacré. Tout est bidon !

A cheval, les résistants ! A nous de tenir désormais les rênes du récit historique et de refuser l’histoire écrite par l’islam !

 972 total views,  1 views today

image_pdf

10 Commentaires

  1. Merci Jacques pour cet article très instructif, comme toujours. Merci à Anfas Kane.

  2. Le Fonds Marianne et Résistance Républicaine ont la très vive douleur de vous annoncer le départ cruel de son ministère de Melle Schiappa qui a tant œuvré pour combattre l’islam(isme). Nous lui souhaitons le plus coquin des djihad avec 72 moudjahidines en rut. Nous avons également une pensée émue pour Pap Ndiaye qui, s’il ne fut pas un grand ministre de l’Education Nationale, n’en fut pas moins un très grand wokiste. “On ne peut as être bon en tout” a-t-il observé avec l’intelligence qu’on lui connaît. Nous lui souhaitons bon vent et de ne plus revenir aux affaires de la France.

  3. Bourak est une jument ailée

    on en vend dans les restaus arabes de belleville a Paris sous le nom de bouriques a l’oeuf

  4. En fait le nom de l’âne personnel de Mahomet s’appelait “Yaafor”. Le bourak est l’ane volant chimérique de l’islam. D’ailleurs les”savants musulmans” ne s’accordent pas a savoir si le voyage nocturne de Mahomet était reel ou onirique ! Comme en islam il y a quantité de choses dans “les savants ne s’accordent pas ! Pour l’ultime religion sensée compléter les autres avant elle Allah a dû sécher tous ses cours ! Au point que les musulmans eux mêmes ne sont jamais d’accord entre eux sur rien !

    • Merci, Anfas Kane, pour ces précisions et pour le lien menant aux légendes musulm/ânes !
      Voilà des lectures amusantes pour la journée ! Les ”savants musulmans” rêvent tout éveillés que ce voyage de Muhammad à Jérusalem fut fait en réalité (et pas seulement en imagination onirique), ce qui donnerait du poids aux revendications des musulmans sur leur “troisième lieu saint”, Jérusalem. Les questions de dates (ou bien 620 ou bien 720) ne les intéressent pas beaucoup : ils haïssent l’archéologie et les historiens, qui cassent le rêve et les mensonges de l’islam.

  5. Merci Jacques pour ce nième article concernant cette imposture. Pour croire à de telles billevesées, il faut être dépourvu de tout sens critique.

    • Bonjour Argo. On est là, en effet, devant le choc des civilisations. Les rêveries orientales suffisent aux personnes se contentant de vivoter en profitant du pot commun (que nous alimentons sans regarder à la dépense). Que ces rêveurs-profiteurs restent rêver chez eux et nous oublient !

Les commentaires sont fermés.