Comment il a rincé les finances…

Il aura suffi de quelques semaines pour que s’enchaînent inexorablement et quasi-métronomiquement, une révision à la baisse de la croissance Française pour 2024, un « coup de rabot » de 10 milliards sur les budgets tout frais des ministères et enfin, une coupe de 20 milliards des dépenses publiques, entendre par là, l’ensemble des coûts et prestations payées par l’Etat en 2025. La gabegie sans limite à laquelle préside M. Macron depuis août 2014, sa nomination comme ministre de l’Economie par François Hollande, frappe aveuglément et sournoisement l’Etat régalien : Ecole, Santé, Armée, Justice… et à peu près tout le monde souffre, sauf la clique politique actuellement en place, parlementaires compris, dont émoluments et train de vie ne souffrent aucune « déflation », mais sont même en augmentation régulière, largement au-dessus, d’ailleurs, du rythme de l’inflation.

Le tout avec la promesse répétée à l’envi, qu’il n’y aura pas d’augmentation d’impôts. C’est bien le problème principal de ce pouvoir, dont les Premiers de Cordée devaient hisser l’ensemble du pays vers des sommets. Ce président confond ses saturnales de Start-up Nation et autres délires rebaptisés Eléments de Communication, avec la réalité de l’appareil économique Français. Il est hors-sol. Il avait besoin de 15 ans, depuis 2007, où Macron est rapporteur de la Commission Attali, lancée par le Président Sarkozy, pour moderniser la France, disait-il. 2020, crise du Covid et 2022, avec la guerre en Ukraine et le constat de l’effondrement de l’appareil productif, médicaments, électricité, industrie, agriculture, aura rattrapé les délires présidentiels. Il faut se rendre à l’évidence, rien de ce qu’a fait le président n’a marché et il n’y pas eu une action en faveur de la réduction du train de vie de l’Etat et de ses dépenses de fonctionnement. Il a maintenu une bureaucratie soviétique, au mépris d’engagements pris envers les corps d’Etat les plus essentiels et exposés, Ecole, Santé, Justice, qui sont liquidés à petit feu.

Ainsi apprend-t-on l’existence de 10 000 fonctionnaires au Ministère de l’Agriculture, pour environ 417 000 exploitations, le maintien intact d’une vingtaine d’agences régionales de santé (ARS) dont pas un fonctionnaire ne « voit » un malade, 24% des dépenses de l’éducation nationale vont vers des « personnels non-enseignant » et la liste est hélas bien longue. Notre pays, la France, est frappé d’un déficit d’exemplarité chronique et catastrophique. Notre élite politique reste abonnée aux lambris, agapes et jets privés de l’Etat, le tout combiné à une absence de vision stratégique. On redécouvre la roue à chaque crise majeure, récemment l’énergie nucléaire, la production pharmaceutique, etc…

Le Président Argentin Milei s’est rendu à Davos pour y livrer un discours musclé… en classe économique à bord de Lufthansa, pour environ 1000 Euros l’aller-retour. La surconcentration de fonctionnaires à Paris est patente… par exemple, 90% de l’effectif de Bercy pourrait conduire sa tâche en Région et ainsi contribuer à leur développement. L’Education nationale devrait se recentrer sur les personnels au contact des élèves…

Les logements sociaux de centre-ville chers, Paris, Lyon, sont bien souvent occupés par des affidés du régime local… les soignants, instituteurs et professeurs de collège, policiers devraient être les premiers bénéficiaires de ces avantages.

Et l’on bute sur les dépenses idéologiques, qui consistent à subventionner tout et n’importe quoi, associations de quartiers, d’aides aux migrants, de soins aux étrangers, de logement et d’entretien d’étrangers et même de délinquants. Non seulement, on a l’impression et ce n’est pas qu’une impression qu’ils sont mieux traités que pas mal de Français de zones reculées ou laissées pour compte, mais ils sont inexpulsables et les lois française semblent glisser sur eux aussi sûrement que la pluie sur les ailes d’un canard.

Par faute de gestion l’Etat jette l’argent par les fenêtres, mais également ne prélève pas l’impôt là où il ne devrait et en plus ; quand il s’agit de faire des économies, il préfère rogner sur l’essentiel plutôt que sur le superflu, va préférer fermer des écoles et des lits d’hôpitaux, pour pouvoir continuer à subventionner son train de vie somptueux et immigration inepte totalement inutile. Il y urgence à changer de paradigme de gestion et à gérer le budget « en bon père de famille », c’est à dire, en financement l’essentiel en lieu place du superflu.

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com

t.me/R_P-France

Pierre Duriot : porte parole du Rassemblement du Peuple Français.

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7 Commentaires

  1. SVP. Pouvez vous aborder deux sujets qui pourraient fairecouler la France
    1) the great taking de David Webb nous expliquant comment nous serons déopuillés puisque tout ce que nous avons payé ne nous appartient pas .
    https://www.youtube.com/watch?v=ym6SkcwhJAw&t=15s

    2) le pacte de marrakech qui intime à la France d’accueillr 406 millions de migrants
    Cliquer pour accéder à final_report_relocation_of_refugees_en.pdf
    ou Study on the Feasibility of establishing a méchanism for the relocation of beneficiaries of international protection

  2. Les ARS ont été créées par Sarko à la seule fin de fermer des lits d’hôpitaux. Ayez la curiosité d’aller voir l’organigramme d’une ARS. Durant le confinement avait été dévoilé le nombre de personnel / ARS. Impressionnant :800 environ pour celle du Grand Est. Comme ces ARS n’avaient pas été à la hauteur durant le Covid, il avait été décidé de les «  renforcer », comprenez embaucher plus d’inutiles parasites.

    • En MAI , sur la déclaration de revenus , ne pas oublier dans les personnes à charge “” zélinsky “”

  3. Dotation de l’état aux associations : 56 Milliards d’euros!!

  4. Bonjour
    La méduse toute molle fan de scooter disait:
    Ça ne coûte rien c’est l’état qui paye

  5. Quand je pense que la majorite de mes compatriotes ont vote pour ce type qu on nous presentait sans rire comme “Le Mozart de la finance” !

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