T'as pas le bac ? T'as oublié de t' inscrire ? Comment on gonfle les notes au bac…

T’as pas le bac ?
Pourquoi ?
T’as oublié de t’ inscrire ?
« Le point » publie un article très intéressant :

« Pour atteindre un taux de réussite quasi constant au baccalauréat (environ 88 % depuis 2014), certains inspecteurs, assistés d’enseignants zélés, rivalisent d’imagination. Petits arrangements, bidouillages, argumentaires abscons… tout est bon pour faire grimper les notes. »

Si je mets un 5/20 à une copie nulle et un 19 à une très bonne, on me dit : Ce n’est pas possible, il n’y a pas tant de différence que ça entre les élèves ! On doit donc les noter entre 8 et 14, et non pas de 0 à 20.


http://www.lepoint.fr/bac/bac-2018-consignes-pressions-menaces-comment-on-gonfle-les-notes-du-bac-18-06-2018-2228044_3585.php#xtmc=bac-2018&xtnp=2&xtcr=12
Avec ça, la France réussira à produire autant de « médecins », d’  » universitaires », d ‘ « ingénieurs », d’ « intellectuels », de « professeurs » et de « scientifiques » que les pays d’ où proviennent les « réfugiés ».
Nous n’aurons plus besoin des migrants pour enrichir le pays. ( sauf pour un petit + )
Les « chances » , on les produira nous-mêmes !

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38 Commentaires

  1. Je suis d’accord avec vous anti islam les Russes étaient très cultivés en URSS peut-être même plus que sous le règne de Poutine,mais je suppose qu’il y valait mieux connaitre quelqu’un de haut placé dans la nomenclature pour avoir accès à certains cursus.
    Ce que je veux dire c’est que l’URSS voulait démontrer au Monde et particulièrement à l’occident l’excellence de l’éducation en régime communiste .
    Je fais le parallèle avec l’éducation nationale qui veut nous faire croire que leur politique est bonne que le niveau moyen est très bon, qu’il n’y a pas de laisser pour compte et que les cancres n’ont pas leur place dans les statistiques mais pas non plus les très bons élèves nommés bouffons par leur gentils camarades.
    Ceux qui passent leur temps à perturber les cours et à ne rien produire vont bénéficier de cet égalitarisme injuste, injuste pour l’élève qui aura travaillé et ne sera pâs reconnu à sa juste valeur et injuste pour l’enseignant qui aura vu le cancre obtenir un examen malgré le peu de travail fourni tout le long de l’année en bafouant l’enseignement prodigué.

    • « Ceux qui passent leur temps à perturber les cours et à ne rien produire vont bénéficier de cet égalitarisme injuste, injuste pour l’élève qui aura travaillé et ne sera pâs reconnu à sa juste valeur et injuste pour l’enseignant qui aura vu le cancre obtenir un examen malgré le peu de travail fourni tout le long de l’année en bafouant l’enseignement prodigué. »
      Je suis d’accord à 100 % avec vous. Et c’est cela aussi qui, pour une grande mesure, concourt à la chute de la France.
      Le nouveau système de notation que j’ai eu l’occasion de constater par des connaissances de l’Education Nationale en est la triste illustration, de la folie pure et simple !
      Il est temps que les « déséquilibrés » qui sont aux manettes tombent dans l’oubli pour laisser la place à des gens sensés qui ont les pieds sur terre et le respect de l’Autre.

  2. Ce que vous dénoncez est un de plus à mettre à l’actif de l’immigration de masse qui a amené le bac de masse obtenu grâce à une éducation nationale pourrie de l’intérieur qui ne veut pas « discriminée » des élèves qui seraient infériorisés par leur statut.
    Un point c’est tout!
    Et tout ce petit monde se retrouve comme au bon vieux temps de l’ URSS où l’on ne pouvait tolérer que l’éducation socialiste ne puisse donner des résultats médiocres.
    Résultat comme pour l’ex URSS le salut ne vient que du privé qui lui ne s’encombre pas de considération idéologique mais plutôt d’une logique financière.
    Donc des bons gauchos pourris nous emmène direct vers une société ultra libérale à l’anglo saxonne puisque de fait elle sera seule à donner une solution acceptable et non contestable par aucuns de ces bons à rien que ‘on retrouve dans cette administration de ..;

    • Bonjour,
      A ceci près que l’URSS pratiquait l’élitisme le plus strict dans son système secondaire et supérieur.
      En particulier, elle formait des mathématiciens et physiciens théoriciens de très haut niveau.
      Certes c’était l’esprit russe en physique : très (trop ?) mathématisé.
      Un peu à l’image de la conception française d’ailleurs.
      A l’inverse absolu de la physique américaine: celle de la physique « avec les mains ».

  3. On voit bien le résultat de tout ça , des burnes ( couilles ) qui occupent des postes ou elles ne devraient pas se trouver dans l’administration ou le privé , et après on s’étonne de la difficulté des démarches administratives ou du nombre d’entreprises qui mettent la clef sous la porte !!!

  4. Heu ! D’où sort cette vidéo ? C’est une blague ?
    Entre le texte rempli d’erreurs et la nénette qui le débite tel quel, j’ai vraiment peine à y croire.
    Et quand je clique sur le lien… je tombe bien sur le site du Point mais… la page n’existe pas.

    • Oui, j’ai vu que le lien avec  » le point  » ne marchait plus.
      J’ai vu aussi que la vidéo qui apparaît, même si elle reprend le texte de l’article, est parfois curieuse : par exemple  » consulté  » devient  » sulté « …. etc …
      Voilà le texte original et un autre lien
      claude
      ________________
       » Bac 2018 – Consignes, pressions, menaces : comment on gonfle les notes du bac
      Pour éviter la subjectivité, la notation est « harmonisée ». Derrière ce mot, des enseignants dénoncent une incitation à surévaluer les copies. Enquête. Par Émilie Trevert
      Depuis 2014, le taux de réussite au baccalauréat est remarquablement stable, autour de 88 %. Tout est fait pour lisser les moyennes des correcteurs autour de… la moyenne.
      Pour atteindre un taux de réussite quasi constant au baccalauréat (environ 88 % depuis 2014), certains inspecteurs, assistés d’enseignants zélés, rivalisent d’imagination. Petits arrangements, bidouillages, argumentaires abscons… tout est bon pour faire grimper les notes. Des profs correcteurs, lassés de ces consignes – passées essentiellement à l’oral – qu’ils jugent injustes, ont osé dire non à leur hiérarchie. Pour Le Point.fr, ils dévoilent les coulisses de la fabrique des notes. Un secret bien gardé.
      La scène se passe dans un lycée du sud de la France. En ce début juillet, les professeurs de français peuvent enfin souffler, ils sont venus à bout de la soixantaine de copies rédigées par des élèves de première lors de l’épreuve anticipée du bac. Reste la commission d’harmonisation, une réunion où ils doivent s’entendre sur leur notation.
      Ce jour-là, l’inspectrice pédagogique régionale (IPR) a fait le déplacement en personne. C’est exceptionnel ; d’habitude, un professeur est missionné par le rectorat pour encadrer ses collègues. Dans la salle, on n’entend pas une mouche voler. La dizaine de correcteurs écoutent religieusement l’IPR, une femme d’une soixantaine d’années aux cheveux courts et aux traits tirés. D’un ton autoritaire, elle annonce d’emblée la couleur : « Si la moyenne de votre paquet de copies est d’un point en dessous de la moyenne académique, vous relevez tout votre paquet d’un point ! » Simple, clair, net.
      « Puni par l’inspectrice »
      Personne ne pipe mot, il s’agit d’un ordre. Pierre*, enseignant depuis une vingtaine d’années, bougonne dans son coin. Son paquet de copies est juste en dessous de la moyenne et, bien sûr, en dessous de la moyenne académique. L’inspectrice s’approche de lui.
      – « Puisque vous êtes un point en dessous, vous rajoutez un point à toutes les copies ! lui intime-t-elle, sûre de sa logique.
      – Désolé, je ne le ferai pas, rétorque Pierre, dans l’indifférence générale.
      – Mais… mais vous ne pouvez pas ne pas le faire ! » s’étrangle l’IPR.
      La voilà qui sort de sa poche un papier. Une circulaire du ministère de l’Éducation nationale. L’enseignant lit la page et demie avec attention, cherchant en vain la phrase qui l’obligerait à remonter ses notes. Il n’y a rien de tel et il le signifie à l’inspectrice qui, prise au dépourvu face à tant d’audace, argue du fait que l’obligation se dégage « de l’ensemble du texte ». Vexée et rouge de colère, elle devient menaçante.
      – « C’est une faute professionnelle ! »
      Pierre, sûr de son bon droit et de la justesse de ses corrections, ne se laisse pas impressionner.
      – « Je l’assume pleinement et je suis prêt à accepter toutes les sanctions.
      – Vous serez convoqué au rectorat ! » tranche l’IPR.
      Pierre n’a pas été convoqué au rectorat, mais cette année, pour la première fois de sa carrière, ce professeur agrégé ne corrigera pas les épreuves anticipées de français. « Voilà, après 17 ans de correction au bac, j’ai été puni par l’inspectrice… » conclut-il. Un de ses collègues qui osa également dire non – ils ne sont pas nombreux – a été « puni » d’une autre manière : il a été envoyé, pour faire passer les oraux, dans un lycée à 150 kilomètres de chez lui !
      « L’harmonisation, pour moi, c’est une imposture, juge Pierre. Si les correcteurs étaient invités également à baisser leurs notes, pourquoi pas, mais c’est toujours à la hausse. Sous le couvert d’équité, ce n’est qu’une manœuvre insidieuse pour gonfler le plus possible les notes du bac ! »
      Dissiper tous les soupçons de « petits arrangements »
      Cette année encore, les 174 331 correcteurs et examinateurs devraient entendre à peu près les mêmes consignes. Le tout de manière informelle, et à l’oral de préférence. Le secret de fabrication des notes du bac est bien gardé. Il entretient un « soupçon latent affaiblissant ainsi la confiance que la société porte au baccalauréat », notait déjà, en 2008, le sénateur Jacques Legendre dans son rapport « À quoi sert le baccalauréat ? ». Pointant « l’absence de transparence qui entoure le processus d’harmonisation » – un processus jugé toutefois nécessaire puisque la notation est un exercice en partie subjectif –, l’élu UMP préconisait de « rendre publiques » les consignes de correction afin de « dissiper tous les soupçons de petits arrangements ». Depuis dix ans, rien ne semble avoir changé…
      Concrètement, il s’agit de ne pas être en dessous de la moyenne académique de l’année précédente, surtout pas en dessous de la moyenne nationale (en 2017, le taux de réussite au bac, toutes voies confondues, était de 87,9 % et de 90,6 % pour la voie générale). Quatre millions de copies seront corrigées ce mois-ci par des professeurs consciencieux en un temps record. Mais la note finale sera-t-elle celle qu’ils ont écrite au crayon de bois le soir à la veillée ou sera-t-elle « gonflée » par leurs soins en commission d’harmonisation ou, bien plus tard, à leur insu ?
      Virginie Subias Konofal, agrégée de lettres classiques et auteur de Histoire incorrecte de l’école*, est persuadée que l’inspection ne se gêne pas pour passer derrière les correcteurs. Et elle a de fortes raisons de le croire. Un jour, alors qu’elle était en train de corriger des copies du bac de français, dont certaines étaient « vraiment indigentes », elle reçoit un coup de fil de son chef de jury. « Il faut que votre moyenne remonte de 3 points, lui ordonne l’enseignant missionné par le rectorat. Soit vous remontez tout votre paquet de 3 points soit vous piochez au hasard certaines copies que vous remontez de 6 points. » Virginie Subias Konofal refuse d’obtempérer. Réponse du chef de jury : « Si vous ne le faites pas, je le ferai ! »
      Nous sommes dans une dynamique de progression où le maître mot est bienveillance.
      « Ça m’a complètement découragée pour le reste de mes corrections… confie-t-elle. Nous sommes dans une dynamique de progression où le maître mot est bienveillance. À l’écrit, on ne descend pas en dessous de 6 si ce n’est pas une copie blanche. » D’ailleurs, tout est fait pour en dissuader les profs récalcitrants : « Si vous tenez absolument à mettre en dessous de 6, vous devez faire un rapport et demander un entretien à votre chef de jury. C’est une espèce de négation de la compétence de l’enseignant… » soupire-t-elle.
      « Le niveau baisse et on nous demande sans arrêt de tirer les élèves les plus faibles vers le haut aux dépens des plus forts, témoigne Jean*, professeur en série technologique dans l’académie de Caen. Si je mets un 5/20 à une copie nulle et un 19 à une très bonne, on me dit : Ce n’est pas possible, il n’y a pas tant de différence que ça entre les élèves ! On doit donc les noter entre 8 et 14, et non pas de 0 à 20. Je ne parle même pas des académies comme la Polynésie, Mayotte ou la Guyane, où le taux de réussite est fixé à l’avance, et après, seulement, on harmonise ! » Jean a été vice-président de jury en Polynésie avant de se faire « éjecter » : « J’ai refusé de bidouiller. »
      Dans l’Hexagone, les pratiques ne sont pas toujours plus recommandables. « Dans certaines académies, on ne demande pas aux profs de remonter les notes, c’est l’inspection qui s’en charge ! » rapportait un IPR de l’académie d’Aix-Marseille, l’an dernier. La plupart du temps, ce sont les inspecteurs eux-mêmes qui se chargent de convaincre les profs jugés trop sévères. « Oui, les inspecteurs territoriaux peuvent donner des consignes pour remonter les notes, confirme un haut fonctionnaire de l’Éducation nationale. Des copies peuvent être aussi notées sur 21… »
      Regardez, ce n’est pas si négatif, il y a au moins un nom d’auteur !
      Dans l’académie de Nancy-Metz, on ne remonte pas les notes par la force, mais on exhorte les correcteurs à être dans les clous. « On exige de nous 10 de moyenne avec un argument complètement rhétorique, raconte Antoine*, professeur de philo. Puisque 10, c’est la moyenne et qu’il y a plus d’élèves moyens que de très bons ou de très mauvais élèves, il est plus logique qu’un paquet moyen ait la moyenne comme moyenne ! » Implacable.
      D’autant qu’en philosophie, il faut tout faire pour ne pas apparaître comme la discipline qui punit. En commission d’harmonisation – des réunions qui peuvent durer cinq heures et tourner à la foire d’empoigne –, les profs qui ne sont pas dans la moyenne sont invités à lire leur copie à voix haute devant une trentaine de personnes. Le coordinateur de la réunion et les collègues du « méchant » correcteur y vont de leurs arguments pour faire remonter la note : « Au moins, il a fait un plan ! », « Regardez, ce n’est pas si négatif, il y a au moins un nom d’auteur ! »… « On nous demande de valoriser le plus possible, nous explique Antoine. Qu’importe que la référence soit utilisée à mauvais escient dans une copie totalement hors sujet ! » On a déjà demandé à Antoine de « remonter [s]on paquet » (soit environ 130 copies) d’un point ou deux. L’enseignant a refusé. « C’est la moyenne du paquet qui les intéresse, on est dans une logique comptable ! Mais remonter mécaniquement d’un ou deux points, ça ne veut rien dire. » Certains profs un peu chevronnés mettent alors en place des stratégies : au lieu de tout remonter, ils ajoutent des points seulement aux meilleures copies.
      Lire aussi La note de philo : une loterie ?
      Concernant l’orthographe, il s’agit encore une fois d’être le plus bienveillant possible. Y a-t-il une consigne nationale ? Le bureau des examens du ministère nous répond que « les barèmes ne sont pas communicables ». En tout cas, dans l’académie de Nancy-Metz, la consigne a été très clairement énoncée à Antoine et à ses collègues : « Interdiction de sanctionner l’orthographe ! » Certains le font tout de même implicitement si les fautes sont trop récurrentes, mais gare à celui qui écrira noir sur blanc : « Orthographe = – 2 ! »
      Auparavant, il y avait un barème précis : on ôtait un point au bout de la 11e faute, 2 points à la 21e… Idem dans l’académie de Lyon, où Christine*, prof de français, déplore l’absence de barème depuis l’an dernier. « On ne rend pas service aux élèves en ne les sanctionnant pas, regrette Antoine. Ils ne seront pas épargnés dans le supérieur [où le taux d’échec est de 60 % dès la première année d’après le ministère, NDLR]. Comment vont-ils faire pour écrire une lettre de motivation ? On fabrique une génération d’élèves qui ne sauront pas se remettre en question. »
      De plus en plus de candidats contestent les notes et demandent à être réévalués.
      De manière générale, il est conseillé aux correcteurs de laisser le moins de traces écrites possible. « N’écrivez en haut de la copie que la note et l’appréciation générale, tout le reste pourra être retenu contre vous ! » C’est le message que font passer certains inspecteurs à leurs ouailles. Pierre, notre prof de français rebelle, avait eu le malheur d’inscrire dans la marge l’adjectif « léger » pour décrire un paragraphe sans contenu, il a alors appris de la bouche de l’IPR que cette remarque était « irrespectueuse »… En pratique, de plus en plus de profs prennent l’habitude d’écrire leurs appréciations sur une feuille de brouillon qu’ils gardent pour eux.
      Et pourquoi donc tant de précautions ? Par crainte de la contestation, nous dit-on. Bien que le jury soit souverain, un élève mécontent peut consulter sa copie ou le bordereau d’oral et se plaindre* s’il juge sa note trop sévère. « On nous a clairement dit qu’il fallait justifier avec beaucoup de finesse nos notes, car de plus en plus de candidats les contestent et demandent à être réévalués, explique Christine. Il y a même eu un cas l’an dernier où l’on a fait repasser l’oral en catimini à un élève ! »
      Faut-il y voir un lien de cause à effet ? Dans son académie, à Lyon, cette année, elle vient de découvrir avec effroi que l’harmonisation devrait également se faire pour l’épreuve orale. « C’est une grande première ! Tout élève ayant un écart de 8 points ou plus entre l’écrit et l’oral bénéficie d’une réévaluation de son oral. Mais comment peut-on harmoniser une note avec un collègue qui n’a pas assisté à l’oral ? se désespère Christine. On m’a répondu qu’une mauvaise note à l’oral pouvait être due au stress… En fait, il s’agit d’augmenter l’oral au regard de la note de l’écrit. »
      La prof de français s’est juré de ne gonfler aucune note à l’oral. Mais elle avoue qu’à l’écrit, de temps en temps, elle cède un point ou deux. « Vous arrivez après dix jours de correction, vous êtes crevés, vous avez vu de belles choses et d’autres pitoyables… Vous êtes sous le feu des critiques, montré du doigt par les collègues, vous finissez par vous demander si vous n’êtes pas une vraie peau de vache… Alors, à un moment donné, on finit par les lâcher, les points, on a envie de rentrer chez soi. »
      * Prénoms modifiés
      ** Éditions du Rocher
      *** Contacté par Le Point, le ministère réfute la possibilité de faire une réclamation. Il nous répond qu’en vertu du « principe de la souveraineté du jury », « le recteur d’académie et les chefs de centres doivent, en conséquence, opposer une fin de non-recevoir à toute contestation contre les décisions de jury et rappeler que lorsque celui-ci s’est prononcé, l’administration, à quelque échelon que ce soit, ne peut en modifier les décisions, sauf s’il s’agit d’une erreur matérielle (erreur de report de note) ou d’une irrégularité (non-respect du temps de passage d’une épreuve orale).  »
      ____________
      le lien : http://www.lepoint.fr/bac/bac-2018-consignes-pressions-menaces-comment-on-gonfle-les-notes-du-bac-18-06-2018-2228044_3585.php
      le

  5. Et les patrons d’entreprise, eux qui sont principalement de droite, et qui se plaignent à longueur d’année parce-qu’ils ne trouvent pas de personnels qualifiés à cause d’enseignements et formations professionnels aux rabais, pourquoi ne dénoncent-ils pas ce genre de pratique, car dans le fond c’est les premiers concernés dans cette histoire, c’est eux qui ont besoin et recherchent désespérément du personnel qualifié et qui sont contraints d’aller les chercher hors de France, à moins que cela soit voulu, il y a quarante ans on leur aurait demandé pourquoi vous embauchez du personnel étranger plutôt que des français, ils n’aurait pas réussi à trouver les mots exacts pour vous donnez une réponse correcte, ils n’avaient aucune excuse à vous fournir, car à cette époque les jeunes avaient de vrais diplômes, aujourd’hui la réponse est facile, ont leur a fabriqué de très bonnes excuses en détruisant l’école, et la formation professionnelle.

    • Des patrons d’entreprises en France?? il ne doit pas en rester beaucoup. Et ceux qui restent , comment font ils pour payer 100% de charges sociales sur les salaires?

      • @Mac Namara
        Bien dit! il faut vraiment être con pour monter du Business en France, trimer du matin au soir, 60 heures par semaine, et raquer ensuite les charges sociales pour financer des yatchs, résidences secondaires de luxe et comptes en Suisse que les médicaillons s’offrent en contrepartie d’actes médicaux sans valeur, avec la bénédiction des magistrats et policiers backchishés. Mais il y a toujours eu des masochistes qui veulent, avec plaisir, être les dindons de la farce et se la faire mettre bien profond, tant pis pour eux puisqu’ils le veulent bien et en redemandent constamment! Heureusement qu’il y a des cons sur Terre, sinon sur quelles proies se tourneraient les médicaillons?

    • lisez le commentaire de Jean-Paul Saint-Marc vous avez les explications…

      • C’est sûr que lorsqu’on s’insurge on risque de perdre, mais c’est le risque à prendre.
        Croyez-moi, dans le privé c’est encore pire, on prend le risque d’être viré et c’est bien souvent effectivement le cas. Mais, l’important, est d’être en cohérence avec soi-même (je sais de quoi je parle).
        Mais on ne veut pas de risque ni de perte donc on s’écrase, c’est comme cela que le système en est où il en est….
        Et si beaucoup de monde s’insurgeait au lieu de laisser seul l’insurgé, les choses avanceraient peut-être car ce serait beaucoup plus difficile pour les adeptes de la relation de pouvoir de prendre le dessus.
        Parce qu’on est souvent seul, vu que, même si certains approuvent, quand le réfractaire subit les affres de ceux que l’on a frustrés, il n’y a plus personne derrière : « courage, fuyons ! »… et l’hypocrisie prend le dessus.

        • Quand vous vous retrouvez en pleine réunion avec les instances dirigeantes et que vous vous levez pour contester une décision vous vous sentez bien seul quand tous ceux qui étaient là pour gueuler soudainement se taisent. Vous êtes seul et passez pour un con et vous vous entendez dire qu’apparemment vous êtes les seul à être mécontent avec tout ce que ça suppose. Et comme par hasard vous commencez a vous heurter a plein de difficultés administratives qui vus rendent la vie très dure et j’en passe et des meilleures… Et là je parle de vécu….

  6. Tous ces bidouillages sont connus d’un grand nombre. Je connais des correcteurs qui m’ont expliqué que quand ils officient, ils sont en permanence en contacts avec la hiérarchie pour communiquer les notes qu’ils faut toujours revoir à la hausse pour coller aux objectifs de réussites. La République des faux semblants est avancée (dans tous les domaines). Je ne sais plus qui disait qu’aujourd’hui pour ne pas avoir son bac, il faut en faire la demande…

    • Ils n’ont qu’à ne pas accepter, voilà pourquoi les choses continuent et s’aggravent…
      Il y a beaucoup d’hypocrisie à l’Education Nationale et les petits « arrangements » dans bien des domaines sont légions (y compris au niveau des diplômes « maison » spécifiquement mis en place pour la structure, complètement en dehors des règles établies ailleurs) .

  7. Les pressions sur les profs ne sont pas nouvelles et toutes les astuces sont utilisées… en plus avec un aspect légal !
    Par exemple, lors de commissions d’harmonisation, qui certes sont nécessaires, mais qui servent à diffuser et légitimer les consignes les plus laxistes, sous le poids de l’inspection mais aussi d’enseignants qui de ce fait seront opposés aux contestataires « pourtant vos collègues sont d’accord, vous croyez qu’ils ont tort ? »… C’est ce qui s’appelle la cogestion, version de l’autogestion appliquée à l’EN !
    Si vous demandez une trace écrite à IPR lorsqu’il se permet une consigne directe à un correcteur, vous ne l’aurez jamais mais par contre vous aurez dans l’année qui suit son inspection (sanction). Il ne faut pas oublier la notation des profs pour les promotions d’échelon. Pour la promotion à la hors-classe, c’est encore pire, l’avis de l’IPR (et du chef d’établissement) est rédhibitoire ! Ceci sous le vocable de promotion au mérite !
    Rajoutons les mises au placard ! Ainsi dans son lycée, le professeur n’aura plus de classe d’examen ou de classe valorisante… Parce que, si l’élitisme est officiellement combattu dans l’EN, il est quand même utilisé d’une certaine façon…
    Imaginez aussi cela au niveau des conseils de classe…
    Que peuvent faire les profs sensés ?
    Rien à moins d’accepter de passer les échelons à l’ancienneté et de ne pas avoir la HC.
    Porter plainte pour pression ou corruption de fonctionnaire. Il faut le prouver… Et ne vous inquiétez pas, s’il porte plainte, il ne pourra pratiquement jamais en apporter la preuve, il n’aura pas les témoignages de ses collègues, il sera alors trouvé un moyen pour l’envoyer en conseil de discipline déjà pour avoir porté préjudice à un supérieur…

    • @ Jean-Paul Saint-Marc : Tout est parfaitement résumé dans votre post. Et après on voit arriver en fac des hordes de glandus (grosso modo 80 – 85 % des étudiants), qui ne savent pas s’exprimer correctement à l’écrit comme à l’oral, qui ont un niveau très inférieur à notre ancien certificat d’études et qui ne foutent rien tout au long de l’année à part faire la fiesta la nuit et sécher les cours pour dormir le jour. Ensuite le jour de l’examen ils se plantent lamentablement mais ils vont gueuler auprès des instances dirigeantes qui font pression sur les profs pour relever les notes et si les correcteurs refusent c’est la direction de l’unité de formation qui d’autorité monte les notes en passant par dessus le correcteur… Résultat ils sont tous contents les petits chéris, ils ont tous leur beau diplôme qui en fait est un diplôme de merde..Le pire c’est que ceux qui ont vraiment bossé et dont on a baissé les notes pour pas faire de trop grosses différences se retrouvent avec le même diplôme de merde. Vive la France!! pays de la démagogie et de la promotion des ânes..

      • @Charles Martel 02
        Le « diplôme de merde » cela signifie des cadres non performants et donc un pays en chute sur le plan économique, et des médicaillons incompétents et donc des milliers de « morts non nécessaires » tout en augmentant sans arrêt le vol des cotisations sociales sur les plus bas revenus. A quand les camps d’extermination pour industrialiser le génocide des français?

        • Oui Asher Cohen, c’est bien cela, la France est un pays en voie de sous-développement, les places de décideurs sont pourvues d »abrutis en fonction des copinages et non plus en fonction des vraies compétences, les diplômes ne valent plus rien.. On y va tout droit… Les français qui bossent, qui sont sérieux et responsables se barrent à l’étranger car en France ils n’ont plus aucun avenir… c’est assez révélateur non? En France mieux vaut être un migrant qui vient bouffer dans la gamelle sur le dos des français qu’un français qui a le sens des responsabilités et qui bosse à ce train là dans quelques années la France sera un pays musulman de même niveau qu’un pays africain de merde..

          • « Les français qui bossent, qui sont sérieux et responsables se barrent à l’étranger car en France ils n’ont plus aucun avenir… »
            Oui et je connais des gens brillants qui ont abandonné l’idée de passer un doctorat qui ne leur aurait pas rapporté grand-chose en France où ils avaient le sentiment de ne pas être considérés ou qui leur demandait trop de difficultés, pour partir à l’étranger ou se résignant à passer des concours d’un niveau inférieur laissant ainsi toutes leurs compétences derrière eux (c’est cela aussi l’exploitation de l’administration française).

          • @Charles Martel 02
            Merci pour votre post. Vous m’apprenez que ce que je décris sur les concours d’internat en médecine fraudés et les imposteurs nommés Pr de médicaillerie par le copinage est général à toute la société française et à l’encadrement des grandes entreprises, ce n’est, pour le moins, pas rassurant.

      • « Ensuite le jour de l’examen ils se plantent lamentablement mais ils vont gueuler auprès des instances dirigeantes qui font pression sur les profs pour relever les notes et si les correcteurs refusent c’est la direction de l’unité de formation qui d’autorité monte les notes en passant par dessus le correcteur…  »
        Les choses ont changé alors (j’ai enseigné en fac).
        Auparavant (année 2000 au moins) le correcteur était maitre de la note et même si « on » lui demandait de l’augmenter, s’il refusait, personne n’avait le droit de le faire à sa place.
        Concernant l’article, je crois que des professeurs, au niveau du bac, ont refusé de se soumettre en tous les cas, leur droiture et leur probité (c’est devenu rare) est tout à leur honneur.

        • Oui les choses ont changé chère Amélie Poulain. Mes collègues enseignants en fac ont vu leurs notes remontées d’autorité par la direction des enseignements alors qu’ils refusaient de le faire, Et comme l’explique très bien Jean-Paul Saint-Marc les profs qui refusent de se soumettre a ce dictat se voient sanctionnés de manière sournoise. A la fac on retardera ou bloquera leur avancement, ou on leur confiera des cours inintéressants dans des filières placard, ou on leur mettra des bâtons dans les roues au niveau de l’utilisation des crédits qui seront revus à la baisse l’année suivante etc etc L’administration a des tas de moyens tous plus lâches les uns que les autres pour exercer des pressions

          • Lamentable système c’est la corruption généralisée, où est le sens de tout cela ?
            Quel est l’intérêt d’une diplôme bradé de surcroît (il y en a qui se contentent de peu..).

  8. dans le cas des médecins, on continuera effectivement a en produire autant car il y a le numerus clausus, et on continuera a en importer de plus en plus
    car on en manque encore, d’où ce besoin de médecins qui nous viennent par bateau entier d’Afrique et d’ailleurs.

    • Ouais, ouais, ouais, il vaut mieux ne pas tomber malade en Afrique. j’en sais quelque chose…

    • @al fareed
      On a assez laissé frauder les concours d’internat en médecine dans les années 1970-80, puis on s’est offert le luxe de casser arbitrairement de jeunes médecins et de véritables internes motivés à leur métier et qui étaient souvent moins rémunérés que le balayeur de l’hôpital.. C’est un luxe qui coûte de nombreux morts à la Nation. Commencez-donc par juger et couper les têtes des magistrats et policiers corrompus, responsables de cela comme des comptes en Suisse de la médicaillerie pour lesquels les juges ont été achetés; ensuite arrêtez l’internat pour tous et rétablissez l’ancien internat CHU pour reconstituer une élite et vous verrez qu’il y aura alors des médecins compétents et motivés pour soigner réellement la population. En attendant, je jouis de voir le Peuple crever du manque de santé et souffrir de la médicaillerie. Tant qu’il n’a pas décidé de tirer la chasse d’eau dans ce pays, le Peuple souverain ne peut s’en prendre qu’à lui-même.

      • « …de jeunes médecins et de véritables internes motivés à leur métier et qui étaient souvent moins rémunérés que le balayeur de l’hôpital.. »
        Oui mais au moins ils sont rémunérés, c’est cela la vérité (plus que des universitaires qui débutent avec des troisièmes cycles universitaires).
        Combien d’universitaires doctorants, moins gâtés, le sont ? Et faute de pouvoir vivre sans revenu abandonnent leur thèse ? Et ils font aussi des stages pratiques pourtant mais non rémunérés et qui viennent, pour eux, en sus de leurs études.
        Et sachez que des universitaires de haut niveau touchent juste un peu plus que le SMIC, voire moins. Alors leur retraite, n’en parlons pas….
        Il y a des choses à mettre à plat…..

        • @Amélie Poulain
          On ne peut prétendre à une rémunération que s’il y a un travail réel fourni en contrepartie. Dans les cas des universitaires doctorants, s’ils fournissent un travail réellement producteur de valeur, rien ne leur interdit d’aller au Tribunal demander une rémunération, sinon c’est de l’esclavage. Dire qu’on abandonne sa thèse faute de pouvoir vivre sans revenu n’est pas crédible. On peut parfaitement faire sa thèse tout en lavant des voitures ou en balayant la rue. Pour les stages pratiques non rémunérés, rien ne les oblige à accepter.
          Pour les internes des hôpitaux, il y a réellement un travail énorme fourni, mais la rémunération versée en contrepartie est une honte. Dans ma génération, un interne en chirurgie était moins rémunéré que le smig à travailler au moins 60 heures par semaine, passer toutes les matinées debout dans un bloc opératoire à réaliser des interventions orthopédiques et abdominales, assurer l’après-midi des consultations chirurgicales, puis un grand nombre de nuits entières dans la semaine, la garde de porte pour les urgences chirurgicales et gynéco-obstétricales pour une ville entière. Autant faire balayeur, rémunéré au smig, et étudier en bibliotèque les techniques chirurgicales, d’autant que quand vous êtes interne le Préfet a un pouvoir de réquisition qu’il n’a pas quand vous êtes balayeur, et ainsi vous n’avez aucun merci à dire à l’état. A l’époque, l’ internat des hôpitaux n’était qu’un piège à cons pour attirer des pigeons et leur faire soigner la population en étant moins rémunéré que le smig. De plus les Professeurs de médicaillerie et les chefs de service planqués n’allaient pas vous apprendre à prendre leur place ou leur clientèle, donc le peu qu’ils pouvaient savoir ils le gardaient pour eux et vous deviez vous former en ne comptant que sur vous-même, et rapidement c’était vous qui leur apprenait de la médecine ou de la chirurgie. De plus les imposteurs pistonnés, sachant pertinemment qu’ils étaient des ratés, défoulaient leur haine et leur jalousie sur les jeunes internes, proies faciles quand issus de faibles classes sociales ils ne savaient pas se défendre.
          Celui qui veut vraiment étudier la médecine ou la chirurgie va à Harvard, Standford, Princeton, Columbia, etc..ou, pour les Juifs en Israël, étudier avec des gens de valeur. On ne peut pas devenir intelligent si on se met à étudier avec les pauvres cons des universités françaises et quand le Ministre socialiste, Edmond Hervé, m’a exclu de toute fonction médicale hospitalière française, alors que j’étais très performant et n’avais pas commis la moindre faute professionnelle, il m’a rendu l’immense service de ne pas faire partie de la racaille criminelle de la médicaillerie française, dont on voit le résultat actuellement.
          Dans tous les cas, le système français de mort assurée, dit de « santé », ne peut aucunement être efficace avec un appareil judiciaire archicorrompu qui en couvre constamment la criminalité et la gabegie. Les hommes droits et justes de la Bible, vous ne les trouverez-pas chez les magistrats français, vu que ces pauvres types sont de la dernière race après les crapauds. Alors je jouis quand je vois le Peuple crever du manque de santé et les petits retraités être rackettés par la CSG, cela veut dire que l’injustice est partagée, que la Réalité, ou Dieu, veille. et que tout fini par être payé cash.

          • @Asher Cohen
            Je comprends que vous pêchiez votre chapelle et je l’accepte tout à fait et respecte, vous avez certainement vos raisons et votre expérience vous permet certainement de brosser un tableau réaliste de certaines situations, je n’en doute pas, d’autant que je connais très bien le milieu médical ainsi que le cursus. Je sais que rien n’est parfait.
            Cependant, je connais très bien aussi le monde universitaire et je peux vous affirmer que ce que j’avance n’est pas une vue de l’esprit.
            « On ne peut prétendre à une rémunération que s’il y a un travail réel fourni en contrepartie. Dans les cas des universitaires doctorants, s’ils fournissent un travail réellement producteur de valeur, rien ne leur interdit d’aller au Tribunal demander une rémunération, sinon c’est de l’esclavage… »
            Je reprends vos arguments en bloc mais je ne vois pas comment on pourrait répondre en une phrase à ce que vous dites. J’ai l’impression à vous lire que vous ne connaissez pas la réalité du monde universitaire en dehors des facs de médecine. C’est bien plus complexe que vous l’imaginez.
             » Pour les stages pratiques non rémunérés, rien ne les oblige à accepter. »
            Sachez que des stages sont absolument obligatoires dans certains cursus ne serait-ce que pour pouvoir élaborer les écrits, mémoires ou recherches demandés et valider son année.
            Mais, bien sûr, on ne les comptabilise pas comme « années d’études » comme en Médecine, même s’ils sont très conséquents à tous les niveaux (y compris horaire)…, et « exiger » une rémunération….. que répondre sinon de vous suggérer de vous renseigner sur la complexité et l’impossibilité que vous soulevez.
            « Dire qu’on abandonne sa thèse faute de pouvoir vivre sans revenu n’est pas crédible. On peut parfaitement faire sa thèse tout en lavant des voitures ou en balayant la rue. On peut parfaitement faire sa thèse tout en lavant des voitures ou en balayant la rue »
            Je crois que vous ne connaissez pas le volume d’une thèse dans certains cursus fondamentaux et non appliqués comme le sont les études de Médecine. Parfois trois tomes conséquents organisés en recherches et réflexions parfaitement fouillées et argumentées.
            Rien à voir avec de simples constats pratiques à partir d’études de cas organisées en réflexion puis en conclusion et où l’on ne se contente pas d’un mémoire mâché par un directeur de thèse avant de le présenter et que l’on est donc sûr qu’il va passer….. Je sais là aussi de quoi je parle.
            Et sachez que beaucoup d’étudiants travaillent en sus de nombreuses heures de cours théoriques mais ces heures là ne sont pas comptées comme années d’études et ne leur apporte rien en vue d’une future carrière.
            Je n’insisterai pas sur mes arguments le domaine des études de Médecine étant intouchable et tout le monde peut vérifier s’il creuse un peu, mais je confirme : il y a des choses à revoir.

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