Si vous êtes de race blanche, vous n'avez droit à rien et surtout pas à être défendu

C’est clair pour Bartolone, et pour certainement les socialistes et bonne partie des « républicain » être de race blanche ne donne pas droit à être défendu !

Pécresse “attend des excuses, pas des périphrases” de la part de Bartolone

Il peut y avoir des mots qui dépassent les pensées. Cela a pu être le cas me concernant. Lorsqu’on a prononcé des mots déplacés, il faut savoir s’en excuser”, a indiqué mardi l’ancien candidat PS aux régionales, en référence à ses propos sur sa rivale des Républicains.

Ses propos avaient choqué la droite pendant la campagne régionale en Ile-de-France. Le président de l’Assemblée nationale, Claude Bartolone (PS), qui a été le candidat socialiste lors de l’élection de décembre, a présenté (presque) des excuses, en référence à sa formule controversée sur “la race blanche” visant Valérie Pécresse(LR).
Je le dis d’expérience, en temps de campagne électorale, il peut y avoir des mots qui dépassent les pensées. Cela a pu être le cas me concernant. Lorsqu’on a prononcé des mots déplacés, il faut savoir s’en excuser”, a-t-il déclaré lors de ses voeux aux parlementaires.
Une formule qu’il avait déjà reconnue ne pas être “forcément calibrée”.

Durant l’entre-deux tours, la tête de liste socialiste en Ile-de-France avait accusé sa rivale de défendre, “en creux”, “Versailles, Neuilly et la race blanche”, contre les villes populaires. Après sa défaite, Claude Bartolone avait admis une formule “pas forcément calibrée” devant les députés socialistes, peu avant sa reconduction, à main levée, comme président de l’Assemblée. Les présidents des groupes Les Républicains, Christian Jacob, et UDI, Philippe Vigier, avaient toutefois demandé à plusieurs reprises des excuses publiques.
Le 15 décembre, Claude Bartolone s’était fait porter pâle  pour la première séance des questions au gouvernement après les régionales. Il avait pris des congés anticipés et n’était pas revenu dans l’Hémicycle alors que l’opposition le sommait de démissionner du perchoir après sa défaite en Ile-de-France.

http://www.lexpress.fr/actualite/politique/elections/pecresse-et-la-race-blanche-bartolone-presente-presque-des-excuses_1755169.html#xtor=AL-839

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4 Commentaires

  1. Aucun honneur, aucune pudeur… rien pour le “sauver”. Ce triste sire pourrait bientôt regretter son attitude.
    Il est comme tous les gôchos socialopathes, ce n’est pas un homme de paroles mais un fieffé menteur. Même son regard fait foi de son indignité. Ils sont tous comme cela en socialopathie (et pas mal de soit disant droite leur ressemblent).

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