Des migrants afghans logés à 1 € le mètre carré dans un EHPAD…

Des réfugiés logés dans un EHPAD de 1981 qui ne serait plus adapté et nécessiterait 2 millions d’euros de travaux…

Est-ce un EHPAD, ou Versailles ?

Une construction de 1981, ce n’est quand même pas si vieux. Qu’il y ait eu deux pannes de chauffage dans l’hiver impliquerait de changer la chaudière… cela coûte vraiment deux millions d’euros, une chaudière ?

Ou bien ces “réfugiés” d’Afghanistan (qui fuient quoi ? le régime qu’ils devraient combattre ?) ont dégradé les lieux, faute par exemple d’aérer suffisamment, ou pour être logés dans une construction neuve dernier cri, tant qu’à faire  ?

Le bailleur social qui loue normalement à 5 euros le mètre carré fait un tarif de 1 euro pour ces messieurs afghans. Cet organisme est largement subventionné par le département…

Des migrants qui considèrent que l’EHPAD n’est pas à leur goût et ont obtenu d’être relogés.

Bien entendu, ce ne sont pas eux qui ont conclu un bail avec le bailleur social mais une association “Audacia” dont les dons sont déductibles fiscalement : “Le 22 février 2012, la Direction Générale des Finances Publiques a accordé à Audacia la reconnaissance d’Intérêt Général. Nous sommes donc habilités à recevoir des dons et à délivrer des reçus fiscaux auprès des donateurs, permettant d’obtenir des réductions d’impôts jusqu’à 75 %”.

https://www.audacia-asso.fr/faire-un-don/

Dons déductibles à hauteur des 3/4 de la somme, bailleur social gavé de subventions… voilà comment on loge à moindre frais des Afghans qui n’ont rien à faire en France…

 

La petite centaine de demandeurs d’asile hébergés dans l’ancien Ehpad de Ruffec doivent être relogés. Les bâtiments ne sont plus adaptés et les travaux coûteraient trop cher.

Les demandeurs d’asile hébergés à Ruffec vont devoir quitter les lieux. Ils sont aujourd’hui une petite centaine à vivre dans cet ancien Ehpad construit en 1981 et que le bailleur social Logélia loue à l’association poitevine Audacia depuis 2019. Des locaux qui ne sont plus adaptés. Certains réfugiés évoquent des problèmes électriques, l’absence de chauffage et un bâtiment en mauvais état.

Des travaux trop importants

« C’est nous qui avons demandé le relogement. Il n’y a pas de problème de structure. Il y a eu du chauffage cet hiver, en dehors de deux pannes”, coupe Olivier Pucek, directeur général de Logélia. “Ce bâtiment était prévu pour accueillir des personnes âgées. Les chambres sont petites, dotées d’une plaque de cuisine, qui n’est pas faite pour être utilisée plusieurs fois par jour. » Or, dans ces chambres vivent parfois deux ou trois personnes. Pour rappel, ce centre, comme celui de Confolens, était destiné à un accompagnement provisoire. Du provisoire qui a duré.

Depuis deux ans, Logélia et Audacia travaillaient donc à imaginer un projet de réhabilitation. « Mais nous sommes arrivés à un constat d’échec il y a deux mois », poursuit le directeur de Logélia. En fait, les travaux nécessaires sont très importants, “de l’ordre de 4 à 5 millions d’euros”, évalue Olivier Pucek et Audacia ne dispose pas de moyens suffisants pour assumer un loyer qui permettrait d’équilibrer l’investissement engagé. Le loyer payé par Audacia dépasse à peine 1€ du mètre carré contre 5€ pour du logement social. Le bailleur n’a toutefois pas abandonné l’idée d’une réhabilitation mais réfléchit, avec la Ville de Ruffec, à une autre affectation du bâtiment qui pourrait prendre la forme de logements sociaux voire d’une démolition. Rien n’est encore acté.

En parallèle, la sous-préfète de Confolens, qui n’a pas renoncé à voir ce centre garder sa fonction initiale, cherche des fonds, deux millions d’euros, pour envisager des travaux importants.

Une seconde réunion est prévue mi-mai avec l’ensemble des parties prenantes. Mais pour Logélia, le temps presse. « On ne peut plus attendre, la situation est mauvaise pour tout le monde. Je ne veux plus qu’on garde des migrants dans ces conditions », insiste Olivier Pucek.

Désormais s’engage donc le processus de relogement des demandeurs d’asile pour lequel Audacia a sollicité Logélia, qui se laisse entre douze et 18 mois pour trouver une solution. Une gageure en pleine crise du logement et alors que les listes d’attente sont déjà longues. « Ce n’est pas simple. Nous allons proposer des hébergements à la campagne, à Lésignac-Durand ou Chabanais par exemple, du logement diffus mais qui n’est peut-être pas aussi bien adapté au suivi de ces personnes. » Les réfugiés pourront aussi être accueillis dans les Deux-Sèvres et la Vienne”.

https://www.charentelibre.fr/charente/ruffec/les-refugies-de-ruffec-vont-devoir-etre-reloges-les-batiments-ne-sont-plus-adaptes-19469259.php

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13 Commentaires

  1. C’est la novlangue ou quoi ? EHPAD signifie Établissement Hospitalier pour Personnes Âgées Dépendantes. Donc une maison de retraite n’est pas un EHPAD, par contre elle peut avoir un service EHPAD, nuance. Beaucoup de résidents de maisons de retraite sont parfaitement autonomes.

  2. Le temps d’avoir des titres de séjour mes grands parents Espagnols ont été “logés ou plutôt parqués” sur une plage à même le sable l’hiver. Hommes et femmes séparés. Puis les hommes ont été envoyés en camp de travail, couper du bois ou autre. C’était la guerre. Des femmes fragiles sont décédées par les conditions si dures. Pourtant une fois les titres de séjour obtenus ils étaient heureux d’avoir une nouvelle patrie d’accueil. Les familles se sont reconstituées, ça n’a pas été facile et long. Ils ont fait leur vie en France et sont morts en France. J’ai toujours entendu dire mon grand père que la France était le meilleur pays du monde. L’époque n’est plus la même. Bien entendu il est hors de question de traiter les migrants comme des chiens. Pourtant il serait normal qu’ils soient campés humainement et ne puissent pas circuler tant qu’ils n’ont pas de titres de séjour.

  3. au lieu de les expulser sur le champ, ils nous les collent n’importe où : comme des cafards il y en a de partout vivant avec nos impots – et pendant ce temps les femmes afghanes restent dans leur misère d’un autre âge

  4. les chateaux les gymnases les ehpad etc … ca devient completement debile …. le mieux des tentes individuelles quetcha de decathlon et ils se demerdent

  5. Nous avons eu dans notre immeuble des pannes de chauffage, dû à la chaudière défectueuse ..on en est pas mort !
    Je suis consternée, il semble que le gouvernement , les associations subventionnées n’ont pas encore compris ! qui , ces temps ci ” cassaient “dans la rue ? des afghans qui ont DEJA compris le fonctionnement laxiste français ! le pouvoir qu’ils ont déjà ! je suis stupéfaite que les français qui payent ne bougent pas !

    • Non,ce ne sont pas des réfugiés;mais des délinquants,qui viennent foutre la merde en France,et violer nos filles,tout en bénéficiant de nos allocations. Chez nous,les femmes s’habillent comme elles veulent;mais chez eux,elles sont totalement recouvertes;de la tête aux pieds,et elle ne peuvent regarder,qu’au travers d’un petit grillage. Ces salopards,en voyant nos filles se promener la nuit,en jupe courte;en short,ou en jeans moulants;se jetteront sur elles,pour les violer;c’est certain.

  6. ” Je ne veux plus qu’on garde des migrants dans ces conditions », insiste Olivier Pucek.” Espèce de salopard ,tu es une ordure de dire ça , alors qu’il y a des salariés français qui n’arrivent même pas à avoir un logement décent et qui sont obligés de dormir dans leur voiture !

  7. Et les loger dans un bateau qui ferait route pour une destination inconnue, genre le triangle des Bermudes.