“Nos anciens racontent” : Thérèse, 92 ans, Édith, 91 ans, Claudine, 92 ans, Odette, 93 ans

Première partie ici 

Thérèse, 92 ans, dont la famille hébergeait un groupe de maquisards pendant la Seconde Guerre mondiale. (Gers)


Édith, 91 ans. Le petit-déjeuner à la campagne dans le temps. (Gers)


Claudine, 92 ans. Les premières années de relation avec son mari. (Gironde)


Odette, 93 ans. “Tu feras l’école aux vaches.”

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4 Commentaires

  1. Je pars pour ma chère Corrèze, l’endroit où je me sens le mieux. Je vais aller saluer les membres de ma famille décédés en allant déposer des fleurs au cimetière. Tous ces patriotes, des résistants. Certains sont revenus entre quatre planches. Je vais me rapatrier près de Brive, à Dampniat, un joli petit village, où mon frère a une caravane sur un terrain. Je vais sûrement chercher une maison dans le coin. Vendre la mienne. Et retour au pays. J’aurais voulu la Bretagne, mais vu les inondations perpétuelles. Je vous le dis, il faut toujours écouter les anciens, ils ont vécu des évènements que seuls les livres ou les mensonges des historiens professionnels ou de pacotille ne pourront jamais vous rendre compte objectivement. La mémoire de ces personnes valent largement la poussière des archives ou des bibliothèques. Surtout qu’il y a des historiens de gauche, de droite ou des historiens amateurs qui sont la lie de cette profession . Je vous salue tous. Bon courage. L’autoroute m’attend. Je préfère rouler de nuit, moins de monde.

    • Bonne route ! Je vous souhaite beaucoup de succès pour trouver une maison.
      Je me souviens de Collonges la rouge.
      A bientôt pour d autres nouvelles 😉

    • Bonjour,

      Cher Argo, sois prudent sur la route : je pense bien à toi.

      Je suis si heureux que tu puisses retrouver cette Corrèze qui m’est aussi chère qu’à toi !

      Amitiés 19.

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