« Mignonnes » : grâce à Netflix votre gamine de 11 ans va avoir envie d’être sexualisée, sur fond de polygamie

Illustration : c’est le même film, avec une affiche et un titre différents aux Etats-Unis et en France…

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Cela vient des dégénérés américains (et de la réalisatrice, franco-sénégalaise). Et tout particulièrement de Netflix, le maître es séries débiles  qui font la ré-éducation des nôtres en leur proposant dans chaque épisode de la mixité culturelle, sexuelle, de couleur de peau… avec des histoires amoureuses débiles et le culte de l’argent. Je ne comprends pas que des parents laissent leurs gosses s’abreuver à ce genre de débilités influentes… ni que les donneurs de leçons qui défilent sur les plateaux chaque jour ne les dénoncent pas.

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https://resistancerepublicaine.com/2020/06/24/blanches-en-adoration-devant-le-phallus-noir-2-hysteriques-pour-un-noir-sans-talent-indifferentes-au-virtuose-asiatique/

Par contre, hurler parce que 5000 spectateurs renouent avec de vrais spectacles, avec l’histoire de France au Puy du Fou, ça, ça ne dérange personne.

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Mais revenons à Cuties, en français Mignonnes (le nom choisi dit beaucoup de choses), qui fait polémique mais qui est, bien entendu, encensé par « la critique » française, ces faux intellos dégénérés qui prétendent nous imposer leurs goûts et choix de vie.

Voici le synopsis du film…

L’héroïne de Mignonnes a 11 an et elle s’appelle Amy.

À la maison, sa vie est loin d’être rose : élevée dans la précarité par une mère très croyante, la préadolescente étouffe entre les murs de l’appartement décrépit où elle n’arrive pas à s’épanouir.

Ajoutons à cela le fait que son père va épouser une seconde femme et la faire emménager dans le logement, brisant le cœur d’Amy et de sa mère…

La jeune fille cherche une échappatoire, et trouvera sa bouffée d’oxygène chez les Mignonnes, un groupe d’élèves populaires de son collège qui bossent des chorés de danse en vue d’un spectacle local.

Fascinée par ces filles qui incarnent aux yeux d’Amy une sensualité, une maturité aussi interdites qu’attirantes, l’héroïne s’embourbe dans une amitié mi-libératrice mi-toxique, et initie ses nouvelles copines à des danses bien trop suggestives pour leur jeune âge…

 

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Gouleyant à souhait, n’est-ce pas ? Sur fond de polygamie, c’est la Case de la pauvre Amy qui, pour échapper à une famille trop religieuse et à la polygamie de son père, se réfugie… non pas dans l’amitié, non pas dans les études mais dans la danse suggestive qui devrait être réservée aux adultes.

Bref, ça proteste quand même sur les réseaux sociaux, des pétitions circulent… contre ce modèle de petite pétasse présenté à nos gosses. Personne pourtant ne proteste contre le fait que la polygamie soit donnée à voir, et donc à trouver… normale. 

La réalisatrice Maimouna Doucouré est  franco-sénégalaise, obsédée par la polygamie dont elle a souffert dans sa famille étant enfant… je me demande si ce n’est pas elle qui a inspiré -ou écrit- la petite histoire parue sur Bayard Presse à laquelle j’avais fait un sort). Certes, elle témoigne de l’horreur de la polygamie et de la rigidité islamique ; certes elle prétend dénoncer l’hyper-sexualisation des gosses, mais le moins que l’on puisse dire est qu’elle ne serait pas très claire, mélangeant dénonciation de la polygamie, du patriarcat (mais pas de l’islam), de l’hypersexualisation…

Il est évident que son film va donner envie à des tas de gamines de suivre le modèle d’Amy..  D’où la polémique et les pétitions qui visent essentiellement la promo-affiche de Nerflix, racoleuse évidemment. Certaines pétitions vont jusqu’à affirmer que les pédophiles vont se régaler et alimenter leurs fantasmes en matant le film… 

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Plusieurs internautes ont reproché à l’affiche américaine du long-métrage français de sexualiser des jeunes filles de 11 ans, rapporte « Variety ».

Netflix va certainement se poser plus de questions à l’avenir sur sa façon de promouvoir les films. La plateforme de streaming a fait polémique sur les réseaux sociaux avec son affiche américaine du film français Mignonnes. Comme le rapporte notamment le magazine spécialisé Variety, plusieurs internautes ont reproché à l’affiche de sexualiser des fillettes de 11 ans – l’image montre les quatre jeunes protagonistes du long-métrage affublées de tenues flashy et courtes, avec des positions suggestives.

Cette affiche promotionnelle créée par Netflix à destination des États-Unisest également critiquée pour sa différence de ton avec le poster français du film de Maïmouna Doucouré, disponible en France dans les salles obscures depuis le mercredi 19 août. L’affiche originale a, en effet, un parti pris bien différent, en montrant les jeunes héroïnes en train de s’amuser, des vêtements à la main, dans une rue de Paris. Aux États-Unis, une pétition a fini par être créée sur le site Change.org pour interdire la mise en ligne du film, « créé pour le divertissement d’adultes pédophiles », sur la plateforme de streaming. Dans la matinée du vendredi 21 août, cette pétition avait recueilli plus de 240 000 signatures. La diffusion du long-métrage est toujours prévue pour le 9 septembre prochain sur Netflix outre-Atlantique.

Netflix contraint de s’excuser

Face au tollé, Netflix n’a pas perdu de temps pour présenter ses excuses. Sur Twitter, le géant de la SVoD a déploré, jeudi 20 août, « une illustration inappropriée » et qui « n’était pas représentative du film ». La plateforme a également annoncé avoir modifié l’affiche du film ainsi que sa description.

Mignonnes dépeint le parcours d’une jeune fille de 11 ans, Amy, qui rejoint un groupe de danseuses. Au micro d’Europe 1, la réalisatrice Maïmouna Doucouré a expliqué, le 14 août dernier, que son film tend à alerter sur la sexualisation de l’image de la femme. « Ce sont des jeunes filles qui ont été biberonnées par l’image de la femme « objetisée » avec la pornographie présente partout tout le temps », a-t-elle déclaré. Le long-métrage a également remporté un prix au Festival américain du film indépendant de Sundance en février dernier.

Source Le Point.

 

Au fond, le véritable problème n’est-il pas la démission des parents qui laissent leurs enfants se gaver de télé et ordi et passer leur vie devant de mauvaises séries ? 

Le véritable problème n’est-il pas que les parents laissent leurs enfants seuls devant des écrans, regardant des spectacles qui ne sont pas de leur âge ? 

Il fut un temps où les gosses de 11 ans rêvaient devant Belle et Sébastien, Ulysse 31, Thierry la Fronde... les aventures d’Ivanhoé…

Oui, je sais, je suis une vieille conne. 

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10 Commentaires

  1. Non pas touche à Ivanohé , c’est toute mon enfance , j’adorais ! J’étais devant la télé en trépignant d’impatience que l’épisode commence !
    Les Thierry la Fronde et Compagnons de Jehu ont suivi au grand dame du curé du coin ! Non, parce que figurez vous que l’on avait investi le terrain de l’église pour improviser des batailles de cape et d’épée ! Ce qui amusait modérément l’abbé!

  2. et oui Christophe L , mais dans ces années la il y avait quelque chose qui s’appelait « la liberté d’expression » , mais aujourd’hui………..

  3. Christophe L
    Je suis comme vous, nostalgique de cette époque ignorant qu’en ces temps des affairistes, politiques et mondialistes signaient des pactes avec l’ennemi pour livrer nos pays à l’islam contre de l’argent et du pétrole.
    Les parents d’aujourd’hui seront ravis que leur gamine regarde cette saloperie de film car eux-mêmes regardent télédébile avec Hannouna et tous les autres débiles profonds ou des jeux tous plus cons les uns que les autres ou encore plus belle la vie et le foot !
    C’est sûr qu’avec ce genre de public, on va pas faire des élites !

  4. quand on voit dans les rayons des strings taille 5 ans et des soutifs pour gamines pas plus agées faut pas s’étonner.
    Regardez les concours de « mini mis » elles sont maquillées comme des prostituées, se trémoussent en racoleuses et leurs mères, de vraies maquerelles!

  5. Ah les années 70 ma petite enfance, il y avait aussi Goldorak, le club des cinq, Rémi sans famille, il était une fois la vie, diabolo et satanas..
    À l’époque où on appelait un arabe un arabe ou un noir un noir les choses étaient claires et cela n’était pas considéré comme raciste car nommé le réel était encore de prime à bord toléré.. ce temps me paraît tellement lointain que j’arrive à me demander s’il a vraiment existé 😢

  6. Ça fait longtemps que nos députés et nos sénateurs, à coups de décrets…; les médias et leur novolangue ont bossé pour que nos esprits s’habituent et acceptent la pédophilie.

    Rare quand on lit : « fillette, une jeune enfant, petite fille, jeune adolescente, adolescente, jeune fille » ; c’est directo : « jeune femme , femme ».

    Voilà comment on forge les mentalités et les mène là où l’on veut que les sociétés aillent.

    ET ÇA MARCHE ! Les parent ne voient rien ils veulent seulement que leurs petiots soient dans le mouvement, soient progressistes et surtout « vedettes ».

  7. Bonjour @ Christine,
     » au fond, le véritable problème n’est – t’il pas la démission des parents qui laissent leurs enfants se gaver de télé et ordi et passer leur vie devant de mauvaises séries? » certes , vous avez tout a fait raison . mais voilà les parents , (peut ont encore appeler ça des parents ) , ne son même plus des adultes , ceux sont des homo – festivus , des adulescent , ils font des enfants mais sont encore eux même des enfants , certains fument le joints avec leurs enfants , certaines  »mères » couchent avec les copains de leurs fils , ou  »pères » avec les copines de leurs filles ou fils (ça touche tous les milieux ) . l’inversion des valeurs théorisés par les  » théoriciens » gauchistes , popularisés par les journaux pédophile comme libération , a fini par porter ses fruits , nous voilà désormais dans une société complétement décadente ou  »l’homme est une femme comme les autres  » et » la femme un homme comme les autres  » ce qui fait que ont en arrive a  »l’enfant un adulte sexué comme les autres » bref le monde  »magnifique » des soixante huitard , nous y sommes .

  8. Quel beau et grand réservoir de petites « putes » et « salopes » on nous prépare……….Nos millions de muzz frustrés du membre vont se régaler………

    Interdisons cette diarrhée télévisuelle au plus vite ou alors il faut donner la légion d’honneur à G. Matznef .

    Je vais vomir ………

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