Elle veut revenir !
L’hypothèse de l’arrivée dans le jeu de l’ex-ministre de la Justice, candidate à la présidentielle en 2002, est brûlante. Deux possibilités sont sur la table: elle se présente via la primaire populaire ou elle lance un seul très gros coup de pression en faveur de l’union. Près de six ans après son départ de la chancellerie, Christiane Taubira, figure de la gauche culturelle, reste très populaire. Le Figaro
Si elle revient, elle va encore accuser la France de tous les maux de la Terre !
Nous n’avons pas oublié : l’esclavage, pour Taubira, c’est le péché de la France et de l’Occident.
C’est la rengaine des néo-racistes : le principal est « oublié » par le « politiquement correct ».
D’ailleurs, la loi Taubira a été critiquée dès sa promulgation, tant par des politiques que par des historiens qui ont critiqué une « instrumentalisation de l’Histoire ».
Les historiens ont également déploré que le texte ne dise rien sur les traites africaines et arabes.
Le texte ci-dessous, du est une réponse aux néo-racistes qui prétendent que l’esclavage des Noirs par les Blancs serait « Le fondement de l’Occident »
L’asservissement des Noirs par les Blancs : « Le fondement de l’Occident » ?
- Malheureusement, il n’y a pas eu dans le monde musulman de mouvement comparable à l’abolitionnisme occidental.
- C’est l’Occident, mené par un État britannique farouchement abolitionniste, qui a arrêté puis brisé le mécanisme esclavagiste millénaire et parfaitement huilé du monde arabo-turco-musulman.
- En bref, il n’y a rien de spécifiquement occidental dans l’esclavage, mais tout de spécifiquement occidental dans l’abolitionnisme.
« Manière dont les prisonniers chrétiens sont vendus comme esclaves au marché d’Alger, » Jan Luyken, 1684
Sur RR : Histoire au collège : 12 pages sur la traite négrière européenne. Merci Taubira !
Examinons la situation mondiale de l’esclavage en 1750.
…
En Afrique du Nord, de pleines cargaisons d’esclaves blancs — slaves et européens — sont importées par les régimes musulmans. Prague servit longtemps de centre de tri pour la castration des esclaves blancs, avant leur acheminement vers le Maghreb. Ces esclaves slaves et européens étaient voués à des tâches domestiques, d’esclavage sexuel, parfois militaires. Les « janissaires » du régime ottoman formaient un corps militaire d’élite majoritairement composé d’esclaves blancs.
Dans l’Inde, le Pakistan et l’Afghanistan actuels, les conquérants islamiques, dès le VIIIe siècle, imposent l’esclavage, qu’ils pratiquent sur une échelle sans précédent. Les femmes et les enfants hindous étaient voués à l’esclavage domestique et sexuel. D’interminables convois d’esclaves hindous étaient continuellement lancés vers l’actuelle Syrie et l’Iraq, ensuite vers les marchés internationaux d’esclaves contrôlés par des musulmans. La pratique de l’esclavage, dans cette région, s’étend sans interruption du VIIIe au XVIIIe siècle.
Partout dans le monde, l’esclavage au dix-huitième siècle est une institution normale, aussi ordinaire qu’elle l’était dans la Grèce antique, pratiquée sur une échelle massive. Des nuances sont discernables.
« Comparé à la traite des Noirs organisée par les Européens, le trafic d’esclaves du monde musulman a démarré plus tôt, a duré plus longtemps et, ce qui est plus important, a touché un plus grand nombre d’esclaves »,constate l’économiste Paul Bairoch.
Dans Le génocide voilé : enquête historique (2017), le franco-sénégalais Tidiane N’Diaye relève que si des millions de Noirs américains peuvent se prévaloir d’un héritage d’esclave, il ne reste quasiment rien des millions d’esclaves noirs en terre d’islam.
En effet, ceux-ci étaient souvent castrés.
« La traite des Noirs africains par les arabo-musulmans a concerné dix-sept millions de victimes tuées, castrées ou asservies, pendant plus de treize siècles, sans interruption, » relève N’Diaye, dont la puissante et émouvante enquête complète la somme Les traites négrières: Essai d’histoire globale que publiait, en 2006, Olivier Pétré-Grenouilleau.
Cette normalité esclavagiste, jusqu’à ce que la Modernité occidentale y mette un terme, est-elle déplorable ? Du point de vue de nos valeurs, à n’en pas douter. L’asservissement d’hommes, de femmes et d’enfants nous est répugnante, abjecte. Mais nous ne sommes pas ce que Raymond Aron nommait avec mépris des « belles âmes, » qui jugent le monde comme on distribue des bonbons. Nous savons qu’il n’y a aucun sens à lancer des imprécations vers le passé. Si l’on institue ce tribunal des Temps, tâchons du moins de ne pas sélectionner de façon arbitraire les périodes et régions considérées.
C’est l’Occident qui a mis fin à l’esclavage !
Dans la deuxième moitié du dix-huitième siècle, monte dans l’orbe culturel anglo-saxon un mouvement qui lui est d’abord circonscrit et que l’on nomme abolitionnisme. Ce mouvement, notamment sous l’influence chrétienne, spécifiquement puritaine et même quaker, puis méthodiste, considère l’esclavage comme une abomination; en exige l’abolition.
Des sociétés civiles abolitionnistes sont créées, qui portent l’idéal abolitionniste partout dans l’Empire, jusqu’à sa tête. Quand la Couronne se fut approprié cet impératif moral, il ne fallut que quelques années pour que l’abandon de la traite soit décrété dans l’Empire en 1807, l’abolition de l’esclavage en 1833. Dès 1807, Londres initiait une ambitieuse campagne abolitionniste internationale, imposant l’abandon de la traite puis de l’esclavage à ses adversaires vaincus comme à ses alliés dépendants. À la même époque, la Royal Navy constituait en son sein un British African Squadron pour l’assister dans sa chasse aux navires négriers au large de l’Afrique. Entre 1808 et 1860, l’escadron d’Afrique a capturé 1 600 navires négriers et libéré 150 000 Africains.
Malheureusement, il n’existe, dans le monde musulman, aucun mouvement comparable à l’abolitionnisme occidental.
Ce qui enraie puis brise la mécanique esclavagiste millénaire et parfaitement huilée du monde arabo-turco-musulman, c’est l’Occident, emmené par un Etat britannique farouchement abolitionniste.
En somme, l’esclavagisme n’a rien de spécifiquement occidental; l’abolitionnisme, tout.
Instituer l’esclavage en fondement de l’Occident est un mensonge révisionniste, et négationniste. Un mythe « complotiste » au sens strict, dont la puissance évocatrice n’est pas sans évoquer la formidable carrière internationale de cet autre faux grossier, les Protocoles des Sages de Sion.
Histoire : La traite oubliée des esclaves blancs en Afrique du Nord
Sur RR :
Il n’y a pas de descendants des esclaves, castrés, de la traite arabo-musulmane pour demander repentance
2,799 total views, 3 views today
La fille de Cheeta serait mieux logée chez les LFI, même niveau de QI général.
D’ailleurs taubiracaille la garce , des soupçons n’ont ils pas peser sur elle concernant sa déclaration de patrimoine et de dissimulation de sa sci en Guyane lorsqu’elle fut pressentie pour être sinistre de l’injustice ? De toute façon taubiracaille ne sera jamais élue , et je prie le Ciel pour qu’il en soit ainsi !
Je ne supporte plus Taubira. Elle me fait penser à une vieille sorcière Vaudou.
au secours ! pitié ! la revoilà l’indépendantiste haineuse à la méchanceté débordante qui a vite retourné sa veste quand mitterand lui a proposé des postes !
Voilà comment finira la gauche…
https://issoutv.com/storage/videos/is-6197a833726b7.webm
Ils ont tendance à oublier que les lois de la pesanteur s’appliquent aussi à EUX
Taubira, c’est Adolf Hitler sans moustache : la même intolérance, le même racisme, la même absence d’écoute !