Il n’y a pas de descendants des esclaves, castrés, de la traite arabo-musulmane pour demander repentance

Il y avait longtemps que l’on n’entendait plus la voix de Louis-Georges TIN, président du CRAN (Conseil Représentatif des Associations Noires).

Il s’adresse aujourd’hui à la France.

Non pas pour dénoncer le comportement criminel des descendants de ces esclaves noirs tout récemment, à Saint-Martin notamment, mais pour exiger que l’on débaptise en France tous les lieux et édifices rendant hommage à Jean-Baptiste Colbert qui, selon lui, serait le principal responsable de l’esclavage atlantique puisque auteur de ce « monstrueux » code noir, présenté à l’Assemblée Nationale.

Il souhaite que certaines « statues de la honte » soient remplacées par ceux ayant lutté contre l’esclavage et le racisme.

Ne sait-il pas qu’en tout premier lieu ceux qui ont lutté contre l’esclavage sont la France et les Français ?

Que l’esclavage fut aboli en France en 1848, entraînant l’abolition également à l’Algérie et à la Tunisie ?

Alors que l’Arabie Saoudite ne l’a aboli qu’en 1962, la Mauritanie en 1980 et qu’il se poursuit toujours de nos jours dans certains territoires musulmans qu’il connait parfaitement !

Qu’il me soit permis de rappeler à Louis-Georges TIN la véritable histoire de l’esclavage.

**S’il est vrai que l’esclavage peut être considéré comme un crime contre l’humanité il ne faudrait tout de même pas se tromper de coupable pour ce crime. Il s’agit en tout premier lieu des Arabes et non des européens, comme nous allons le démontrer !

La traite négrière n’a pas été une invention de l’Europe, loin s’en faut et quoi que certains en pensent !

Ce sont les Arabo-musulmans qui sont à l’origine de cet esclavage et ce sont les seuls qui l’ont pratiqué dès le 7e siècle et jusqu’au vingtième, donc durant près de 1300 ans et cela n’a pas cessé de nos jours !

Alors que la traite atlantique n’a duré que de 1660 à environ 1800.

Durant des siècles seuls les captifs africains furent soumis aux traitements abominables que leur réservaient les arabo-musulmans.

Avec la complicité des « roitelets » noirs qui vendaient leurs sujets, le continent noir a été saigné à blanc durant 13 siècles et ce sont des millions d’esclaves noirs qui furent enlevés. Les femmes âgées et les vieillards étaient massacrés, les autres garrottés et retenus par un collier de fer qui creusait les chairs tout au long de ce trajet interminable pour ces malheureux au cours duquel les pertes dépassaient les 20%.

Nombreux furent les esclaves réservés à la surveillance des harems et ils subissaient au préalable le supplice de la castration. Les autres étaient affectés, pour les plus chanceux, à des tâches domestiques ou agricoles, pour les plus malchanceux, si c’était possible, au travail forcé dans les mines de sel et d’or.

Les Arabes exigeaient que les esclaves n’aient pas de descendance en terre d’Islam et cela expliquait la castration des noirs, tout d’abord, puis, plus tard, des européens. Il ne fallait pas qu’ils se reproduisent et les chances de survies à ce supplice effroyable étaient plus que minimes, 70 à 80 % mouraient et cela explique qu’il n’y ait aucun descendant de ces esclaves, noirs ou européens, pour réclamer justice.

Quant aux « femelles », les plus belles remplissaient les harems et les autres rejoignaient le troupeau des bonnes à tout faire ou gardiennes de troupeaux de chèvres.

Le grand historien arabe Ibn-Khaldoum, écrivait : « Les seuls peuples à accepter l’esclavage sont les nègres et cela en raison d’un degré inférieur d’humanité. Leur place était plus proche du stade animal. »

Après les dizaines de millions de nègres ce fut le tour des européens : 8 à 10 millions de victimes de cette barbarie.

Il n’y a jamais eu de mouvements abolitionnistes dans le monde arabo-musulman. L’Arabie Saoudite n’a officiellement aboli l’esclavage qu’en 1962, la Tunisie et l’Algérie en 1846 et la Mauritanie en 1980.

C’est dans l’objectif de mettre fin à cette piraterie et de libérer les esclaves que la France a conquis cette terre qui ne s’appelait pas encore Algérie en 1830.

ll ne s’agit nullement de faire l’apologie de l’esclavage mais d’un simple constat.

Cette mise au point faite sur le sujet concernant l’origine de la traite négrière, intéressons-nous à présent à la traite atlantique.

Si le commerce négrier fut au long de ces treize siècles bien plus dévastateurs que la traite atlantique, vous l’avez compris : c’est d’abord par sa durée, par son ampleur et par sa cruauté. Ils n’existent plus de descendants, ni noirs, ni blancs.

En revanche,  les descendants d’esclaves commercialisés par les européens se comptent par millions et peuvent revendiquer et exiger repentance et indemnisations et cela ils le doivent à la facilité de reproduction non seulement acceptée par leurs maîtres blancs mais même encouragée, non pas pour des raisons humanitaires bien évidemment, mais uniquement économiques et financières.

En définitif les européens, accusés à tort, sont loin d’être les responsables de la misère, de la pauvreté et des retards de développement actuels de l’Afrique.

En les privant d’une liberté qui les aurait sans doute vu mourir avant trente ans, soit d’épidémies, soit à l’issue de guerres tribales, l’esclavage leur a permis de survivre. Ils ont fondé des familles, eurent de nombreux enfants qu’ils ont pu élever et leur population s’est développée et s’est multipliée. Ils sont aujourd’hui près de cent millions sur notre planète Terre.

Bien sûr ils ont été exploités, bien sûr ils ont travaillé dur, bien sûr ils n’étaient pas «libres», mais le résultat de tous ces «bien sûr» c’est le peuple noir américain actuel et les descendants d’esclaves résidant dans les DOM-TOM, en Amérique du Sud et partout dans le monde.

Alors je pose la question : Qui devrait réclamer repentance au nom de l’esclavagisme ?

Les descendants des Africains de la traite atlantique ou ceux des esclaves « noirs » et « blancs » de la traite arabo-musulmane ?

Il est vrai que personne ne réclame justice et repentance pour ces derniers et pour cause !

 

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15 Commentaires

  1. Juste une question que je me suis posée : pourquoi les esclaves devenus libres grâce à l’abolition de l’esclavage ne sont pas retournés en Afrique pour justement reconstruire leur pays ? Ils étaient libres de le faire mais apparemment ils ne l’ont pas fait….

    D’autre part, il me semble que l’esclavage était aussi pratiqué en Afrique entre tribus dans les contexte de rivalités guerrière :

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Esclavage_en_Afrique :

    « ….L’esclavage était une institution établie de longue date dans les sociétés noires africaines6 : il permettait, comme le mariage, d’augmenter la richesse du groupe7. Il s’agissait d’une pratique courante6. D’autre part, la traite transatlantique de l’époque moderne n’aurait pas été possible sans la participation de négriers africains8 : lorsqu’ils débarquaient sur les côtes occidentales de l’Afrique, les marchands européens achetaient ou troquaient les esclaves noirs capturés à l’intérieur des terres. Sur le littoral de l’Afrique de l’est, les marchands arabes, indiens, malais et même chinois venaient s’approvisionner auprès des intermédiaires noirs. »

  2. Non contents de nous imposer leurs modes de vie ancestraux, leurs vêtements moyennageux du moyen orient, une honte pour l’image de la mode Francaise. ils veulent
    en plus que nous renoncions à notre histoire, à notre civilisation.

    Pour qui se prennent-t-ils ces invités mal élevés dépourvus d’éducation,. Ce pays comme ses habitants est français depuis plus longtemps qu’eux et malgré eux le resteront.

    La meilleure solution pour eux serait de quitter ce pays tant honni et de remigrer. Qui les regretterait?
    Pour nous, nous ne changerons RIEN.

  3. Si on fait le procès des esclavagistes, ça va être chaud, attendu qu’il n’y aura pas que la « communauté » musulmane sur le banc des accusés….

  4. Oubangui Chari (et autres régions) fin du 19ème siècle, on pouvait encore trouver sur les marchés des esclaves destinés à la boucherie !
    Cf l’ouvrage de Henri Servien « La fabuleuse épopée de l’Afrique française ».
    Toutes ces pratiques ont disparu au fur et à mesure que la colonisation s’établissait jusqu’aux fins fonds de l’Afrique.
    Ceci est la stricte vérité. Pourquoi ne pas le rappeler dans nos manuels scolaires?
    Suggestion pour en finir avec tous ces reproches : rapatriement en Afrique et réinstallation, aux frais des contribuables français, de tous les antillais qui le souhaiteraient !

    • En 86 j’étais à Bangui et je visitais le marché local. Soudain une descente de flics et la Garde Présidentielle qui arrête un commerçant : il y avait de la viande humaine sur son étal. Et il y a de fortes chances que le cannibalisme se pratique encore aujourd’hui clandestinement.

  5. Le problème, c’est que cela ne va pas ouvrir les yeux des islamogauchos. Tout ce qu’il vont faire, c’est vous traiter de raciste islamophobe!

  6. Mais cela n’a pas changé,ils nous considèrent toujours comme leurs esclaves.
    On trime dur pour leur payer la Caf, la Secu,l’assurance chômage (à vie),les minimum sociaux,les primes de naissance et de rentrée des classes,les retraites fantômes,l’hôpital gratuit (parce que jamais payé) pour les algériens.
    Il font toujours suer le burnous:le nôtre.
    Et croyez moi,ça les fait bien rigoler .
    Leurs esclaves c’est nous,les mécréants,les moins que rien.
    Il serait temps de changer le logiciel.On comprendrait mieux leur comportement :c’est nous qui les dérangeons.C’est nous qui sommes de trop.

  7. Et les gouvernements musulmans, comme chez nous en Europe d’époque n’étaient un peu complice là, de l’esclavage Transatlantique!, non!.
    Comme aujourd’hui ils avaient déjà les mêmes accointances pour l’esclavage musulmane à ces époques là, bizarre non!.

  8. Encore un qui inverse les rôles des criminels aux victimes, il faudrait dire à ce crétin que si il y avait eu affectivement des esclaves en Europe, c’est parce que justement il y a avait bien des vendeurs d’esclaves en amont, et que les esclaves n’étaient pas venus tous seules, coucou nous voilà nous sommes des esclaves pour vous servir.
    Et que la France est le premier pays au monde à avoir aboli l’esclavage et que de vouloir éliminer le passé, que nous exposons d’ailleurs, rien à cacher, c’est se demander comment les lois d’abolitions avaient leurs raisons d’être s’il veut éliminer ce passé, il serait déjà un peu moins con l’allumé.
    Encore un qui ne veut pas citer les vendeurs esclavagistes musulmans de l’époque et qui pratique le pas d’amalgames avec les musulmans esclavagistes encore aujourd’hui, en inversant les rôles.
    En couvrant les musulmans et l’Islam esclavagiste, c’est lui qui devrait avoir honte de couvrir les esclavagistes musulmans et que l’Islam ne veut pas dire liberté, mais soumission comme seules les esclavagiste savent bien faire.
    L’Islam est toujours esclavagiste si les musulmans ne change pas le nom Islam à un autre nom qui ne désigne pas la soumission.
    Ce type est grotesque, une honte à la France, il doit arrêter de manipuler les gens et d’inverser les rôles, de porter accusation à ceux qui ont combattu l’esclavage, en protégeant les vrais esclavagistes, et qu’il ne lutte pas contre l’esclavage, mais il le continue, il serait déjà plus honnête et moins escroc imposteur.
    Mal nommer les choses apporte des malheurs aux monde, en voilà un, et encore un escroc imposteur pervers de plus, amis résistants.

  9. Du coup, en 1846 ce sont les occidentaux qui ont fait abolir l’esclavage au Maghreb, puisque les pays concernés avaient perdu leur indépendance. Ils ne l’auraient pas fait d’eux-mêmes. C’est le fruit de l’héritage des Lumières, des valeurs chrétiennes et plus largement occidentales.
    En effet, même quand il existait en Occident, l’esclavage était perçu comme un moyen de permettre aux citoyens libres de faire progresser leur civilisation. La civilisation grecque antique par exemple n’aurait pas pu être si brillante s’il n’y avait pas eu autant d’esclaves. Au contraire, les pays musulmans n’ont pas su profiter de leur esclavage pour développer une civilisation digne de ce nom.
    De plus, en Occident, l’esclave a toujours bénéficié d’un statut protecteur. Celui qui tuait son esclave ou lui faisait subir de mauvais traitements à Rome sans qu’une grave faute de l’esclave soit caractérisée était passible de poursuites pénales. Il n’en était rien dans les pays barbares.
    Ce respect de l’esclave se justifiait par le fait qu’on ne considérait pas l’esclave comme intrinsèquement inférieur car on devenait esclave à cause d’un « accident de la vie » : défaite militaire, incapacité de payer ses dettes notamment. Certains esclaves étaient ainsi précepteurs des enfants de leurs maîtres et reconnus comme doués d’une intelligence supérieure à celle de leur maître.

  10. Lire ou relire (et voir ses vidéos) Le Génocide Voilé de l’historien sénégalais Tidiane N’Daye.

  11. « Pour obtenir un crédit, mieux vaut ne pas être noir ou d’origine maghrébine »

    Le Point il y a 1 h

    ////////

    ah bon ! et pourquoi ?? salauds de banquiers méfiants !! 😆

    Manuel Gomez, notre grand noirpié vient ajouter »…..Il n’y a jamais eu de mouvements abolitionnistes dans le monde arabo-musulman. L’Arabie Saoudite n’a officiellement aboli l’esclavage qu’en 1962, la Tunisie et l’Algérie en 1846 et la Mauritanie en 1980. »

    hahahaha! la Mauritanie! le pays des Ould bidule et ould trucmuche…les Maures belliqueux, fainéants, vendant leurs bijoux a Dakkar dans la trop fameuse Cour des Maures…grands escogriffes en robe bleue, insolents et musulmans au sang bien mêlé de mélanine négroïde…

    allez! disons le: on peut toujours acheter un/une esclave noir dans ce paradis environ 800 euros la tête pour un mec vigoureux…et un millier d’ euros pour la femelle noire…qu on continue a accoupler avec un mâle esclave pour récupérer ses petits et pouvoir les vendre aprés sevrage

    un élevage !

    et on viendra s’ horrifier devant les  » Lebensborn » nazis….

    tandis que ces voyous pratiquent leurs horreurs sous la djellaba..

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