Ma fille a été tuée par un vaccin dont le lot ne devait pas être utilisé en France…

Suite à l’article paru sur Résistance républicaine à propos des lots de vaccin qui tuent, j’aimerais demander l’aide de lecteurs pour comprendre ce qui s’est passé avec ma fille.

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J’avais déjà eu beaucoup de mal pour trouver le lot qui a tué ma fille mais même avec cette nouvelle mouture des lots… celui qui a tué ma fille ne figure toujours pas dans la banque de données Moderna France.
Lot : 008G21A
Sur une autre plateforme d’identification j’ai pu voir que ce lot a servi en Suède mais pas en France alors que j’ai obtenu le bordereau de livraison du lot en question et qu’il a effectivement été livré à l’hôpital régional du ressort de ma fille. Elle a reçu sa 3ème injection le 17 décembre 2021.
Si quelqu’un a une idée pour trouver l’explication … je suis preneur.

Voici le récit de ce qui est arrivé à ma fille

 

Enquête sur une mort plus que suspecte

Dominique B., père de famille et fidèle lecteur de Profession-Gendarme apporte son témoignage et les preuves que sa fille est morte de sa 3ème injection de Moderna. En fait, son dossier portera sur l’oxyde de Graphène contenu dans les injections et qui a été activé par une échographie passée 15 minutes avant.

Chronologie des faits

4 janvier 2022 :

Ma fille Karin prend la route depuis chez elle pour passer un Echo Doppler Hépatique … dans le cadre d’un suivi, en vue de se faire opérer d’un bypass.

Elle à 1h40mn de route, en voiture et elle a RDV à 8h30 dans le service de Radiologie.

Elle arrive sans encombre sur le parking du lieu de son RDV un peu avant l’heure.

A 8h40, elle reçoit un SMS du chauffeur de Taxi qui s’occupe de conduire son second fils et 2 autres enfants de la commune vers l’école où ils sont inscrits.

Elle lui répond :

Après les formalités, elle passe cet examen à 8h44 (heure des radios du dossier – voir ci-dessous).

Le compte-rendu de cet examen, en notre possession n’indique aucun problème de santé.

Extrait du Compte-rendu de l’examen ci-dessous :

Approximativement vers 9H00, elle quitte le service Radiologique et se dirige vers son véhicule pour aller à son second rendez-vous, au service Diététique, prévu à 9h30 dans une autre aile de l’hôpital.

A 9h14, une amie de notre fille (B…..), essaye de la joindre mais sans obtenir de réponse. elle est sans aucun doute déjà dans le coma.

Entre 9H00 et 9H14, on suppose qu’une personne sur le parking appelle le SAMU pour signaler que ma fille Karin a un problème.

Ce n’est pas ma fille qui a appelé car l’appel au 15 n’est pas enregistré dans son téléphone.

Cette personne communique sans doute avec l’opérateur qui, sans doute, comme c’est l’habitude, demande à parler à la personne qui a un problème. Ma fille aurait juste dit :  » je ne me sens pas bien » … et c’est tout. Après c’est le Coma.

Une équipe de brancardiers, présents sur les lieux, en attendant le SAMU, pratiquent sur Karin un massage cardiaque (durant 10 à 15mn) partant sur l’idée possible d’un infarctus.

Les brancardiers ou le SAMU arrivé entre temps réussissent à faire repartir le cœur mais elle est toujours dans le Coma et, on le sait maintenant, ne se réveillera plus jamais.

A 10H51, le Dr de la Cardiologie a appelé ma 2ème fille, S….. (qui est le contact privilégié de Karin), à Paris, pour dire que sa soeur a fait un infarctus.

Il insiste sur le fait que son état est critique et qu’il faudrait venir très rapidement.

Elle nous appelle à 10h57, pour nous aviser de ce qui se passe. Karin a fait un infarctus et le médecin va l’opérer.

Elle prend le train immédiatement et arrive le même jour à l’hôpital. Elle est accompagnée d’une amie (C…..) qui l’a récupérée à la gare pour la conduire à l’hôpital. Cette amie assiste à tout ce qui a été dit par l’équipe médicale … à savoir :

« Après avoir effectué un massage cardiaque et autres manipulations durant 10/15mn, ils réussissent à faire repartir le cœur.

Le service de cardiologie la prend en compte et la met sous respirateur …

Ils font une coronographie et là ils voient que ce n’est pas un arrêt cardiaque le problème. Par contre, ils constatent que son coeur est paralysé à 50% … sûrement dû à un choc, à un stress ou à un AVC. Ils la maintiennent dans le coma.

Ils constatent que les extrémités des pieds de Karin sont cyanosées (blancs). Ils font une IRM de tout son corps en fin d’après midi et c’est là qu’ils ont vu tous les caillots de sang (foie, reins, rate …) et les AVC massifs (présence d’oedèmes cérébraux).

Ne trouvant pas d’explication à ce cas, ils supposent qu’elle doit avoir une maladie génétique rare.

Des neurologues spécialistes sont contactés. Au vu de l’IRM du cerveau, ils donnent le diagnostique de multiples AVC non réparables. Ils précisent au Dr de la Cardiologie que, si il coagule le sang pour arrêter les caillots, elle sera en hémorragie cérébrale et c’est la mort, et s’il traite les œdèmes cérébraux, les caillots de sang vont détruire un à un tous les organes et elle mourra aussi. Pas de possibilité de la sauver ».

Ils précisent qu’ils devaient faire un scanner et qu’ils l’ont annulé au vu des résultats de l’IRM qui étaient suffisamment clairs.

L’équipe médicale a insisté auprès de S…. pour qu’elle avertisse les enfants de Karin et sa famille de son état critique, laissant entendre que l’issue serait forcément tragique.

5 janvier :

S….. revient à l’hôpital avec son frère D….., les 2 enfants de Karin et F….., le père des enfants.

Le médecin annonce que la veille au soir (le 4/01), elle avait une thrombose de la jambe droite et que le foie et la rate étaient détruits. Il précise que comme le cerveau de Karin est maintenant considéré comme détruit par les AVC, c’est avec les appareils qu’ils maintiennent artificiellement son cœur en service. Mais elle est en coma dépassé donc morte.

De notre côté :

4, 5 et 6 janvier :

Nous prenons immédiatement des dispositions pour aller retrouver nos filles.

Nous traitons les affaires courantes et préparons notre camping car.

Nous avons réservé un bateau pour la traversée du 6/01 (Bastia-Toulon) en soirée.

Nous débarquons à Toulon le 7/01 à 9h00 et prenons la route vers le département où vit notre fille.

Nous arrivons chez elle le 7 Janvier 2022 vers 17h00 où nous retrouvons notre seconde fille S……

8 janvier 2022 :

A 10 heures ½ nous avons rendez-vous avec le Dr de la Cardiologie pour voir une dernière fois Karin et faire procéder au débranchement des appareils de maintien en vie artificielle.

Le Dr de la Cardiologie fait débrancher notre fille à 11H00 et c’est d’ailleurs cette date du 8 janvier 2022 qui sera retenue pour donner la date officielle de sa mort mais elle avait déjà cessé de vivre le 4 janvier aux alentours de 9H00 du matin sur le parking de l’hôpital.

L’avis de décès botte en touche avec le terme plutôt laconique … (mort naturelle). Certains morts dans les même conditions ont eu droit à « suicide »

Quand on sait qu’ils n’ont pas été capables de nous dire de quoi elle était morte …

 

Extraits du compte rendu de l’Hôpital au médecin traitant de Karin, notre fille :

J’attends impatiemment les résultats des mutations des facteurs II et V qui, je l’espère nous apprendrons précisément et véritablement quel a été le problème.

Mon médecin de famille à qui j’ai montré un résultat d’analyse sanguine de ma fille en date du 20 Décembre 2021 m’a bien certifié qu’il n’y avait rien de particulier dans ce compte rendu. A la vue des autres documents en ma possession, lui non plus ne comprend pas ce qu’elle a eu et confirme à demi mot que c’est sans doute le graphène des injections qui a été le problème.

A partir de là, notre conviction à ma femme et moi-même est que notre fille n’a pas pu mourir si brutalement alors qu’1/4 d’heure avant, pour son examen radiologique, elle allait très bien. En plus, Karin bénéficiait génétiquement d’un cœur « en béton », le même que le mien et ceux de mes ancêtres de la branche maternelle.

Nous nous sommes mis en quête d’informations sur Internet et avons trouvé une association de défense des victimes des injections (VerityFrance). Nous nous y sommes inscrits et avons fourni pas mal de documents. Néanmoins, l’action collective qu’ils ont lancée et à laquelle nous nous rattachons mettra un temps infini avant d’éventuellement aboutir à du concret. Nous sommes, pour le coup, un peu pessimistes sur ce sujet.

Sinon, ils nous ont conseillé de faire nous-même la déclaration de Pharmacovigilance concernant le problème de notre fille. Ce que nous avons fait.

Entre temps, M….., un ami et ancien collègue de l’Arme, me contacte et, apprenant que Karin venait de passer un examen radiologique juste avant nous fait part d’une piste intéressante … à savoir … l’oxyde de Graphène (extrêmement toxique), contenu « secrètement » dans toutes les doses injectées à celles et ceux qui ont dû, comme ma fille, le faire pour pouvoir travailler ou ceux qui, plus étonnamment, l’on fait de leur propre volonté. A moins d’avoir voté Macron …, je ne comprends pas comment on peut faire confiance à cette sinistre clique gouvernementale mais, bon, … c’est leur choix ; advienne que pourra.

Je ne saurais que trop vous inciter à prendre connaissance du site : https://lafinducovid.com/oxyde_de_graphene et surtout la vidéo du milieu de page (en VO sous titrée en Français) où le Dr Karen KINGSTON balance ses dossiers à charge contre Pfizer, Moderna et les autres. Je vous assure que vous en apprendrez beaucoup sur ces injections.

Pour info, ma fille Karin avait reçu sa 3ème injection de Moderna 18 jours avant.

On y apprend que l’oxyde de graphène contenu dans ces injections est inerte … par contre, il n’est indiqué nulle part que lors d’un examen radiologique quelconque (comme un écho doppler) ce graphène pouvait être réactivé et provoquer tout un tas de réactions du corps déclenchant des maladies auto-immunes, des paralysies, plein d’autres choses pas sympathiques et éventuellement, comme pour ma fille, faire mourir la personne injectée … Pour Karin, ça a été plutôt foudroyant.

Un père et une famille en colère !

https://www.profession-gendarme.com/enquete-sur-une-mort-plus-que-suspecte/

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10 Commentaires

  1. Mes condoléances pour votre jeune fille qui avait la vie devant elle, et qui a été fauchée prématurément par des décisions arbitraires injustes et criminelles.
    Une décision politique et économique qui ne tient pas compte de la santé de la population qui a rendu ce vaccin quasiment obligatoire pour une majorité de personnes qui ont dû l’accepter pour pouvoir continuer à travailler, manger ou se soigner.
    Macron, Buzin, Véran, assassins.

    • Merci de vos condoléances et votre analyse qui rejoint nos idées.

  2. Le crime de la « vaccination » continue, impuni. Et les criminels aux manettes, qui savent ce qu’ils font, font tout pour le dissimuler. C’est une course contre la montre et contre la mort.

  3. Pour faire du fric ils sont prêt à tout, même à faire des morts, lot pour la France ou pas.

  4. Nous comprenons la douleur de ces parents, de toute la famille de Karin, qui est morte d’une soi-disant mort naturelle sans raison aucune!
    Trois injections de Moderna ,non par Choix eclaire mais par contrainte et chantage! Nos sinceres condoleances
    Notre colere reclame justice!
    Respectueusement

    • Merci de vos gentils mots pour nous et les enfants de notre fille.
      Cordialement

  5. Je compatis à votre chagrin et à votre douleur. Perdre un être cher dans de telles conditions est atroce et inacceptable. De toute façon, numéros de lots ou pas, ce vaccin, qui n’en est pas un, a tué, tue, et tuera encore. Il faut le retirer du marché et en revenir à la pharmacothérapie. Mes sincères condoléances. Dans votre cas, la vérité devra être recherchée à tout prix, ainsi que pour tous les autres, et les responsables poursuivis et punis. Malheureusement, le principal complice de cette hécatombe est reconduit pour cinq ans. Bon courage.

    • Grand merci pour vos paroles sympathiques et compatissantes.

1 Rétrolien / Ping

  1. Big pharma empoisonne le monde à dessein. Jocelyne, 74 ans : AVC hémorragique 7 jours après la 1ère dose Pfizer. Puisqu’on sait tout cela, pourquoi y a-t-il encore des gens qui se font vacciner, surtout à cet âge où l’on est plus fragil

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