Émeutes dans les banlieues pendant le ramadan : Emmanuel Macron fait appel à l’armée

En recourant à la force militaire, le gouvernement amorce-t-il un virage à 180 degrés sur la question des quartiers populaires ?

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S’étant rendu à Pantin, mardi 7 avril, pour conforter les habitants de Seine-Saint-Denis, le président se fendait d’un tweet chaleureux à leur égard.

Las ! Le 18 avril, suite à un accident de moto à Villeneuve-la-Garenne (92), des heurts entre jeunes déconfinés et forces de l’ordre s’étaient multipliés dans les Hauts-de-Seine, à Gennevilliers ou à Nanterre.

Des feux d’artifice résonnaient dans les rues de Suresnes et des voitures s’enflammaient dans la cité des Fouilleuses, à Rueil-Malmaison, mais aussi en Ile-de-France, à Aulnay-sous-Bois, La Courneuve, Villepinte, Saint-Ouen, Neuilly-sur-Marne, Évry, Fontenay-sous-Bois, Chanteloup-les-Vignes, Mantes-la-Jolie et Trappes.

L’appel à l’armée contre l’embrasement général ?

En province, des échauffourées éclataient entre policiers et groupes d’individus au Mirail (Toulouse), à la Meinau  (Strasbourg) ou à Beaubreuil (Limoges).

Aux cris de « Allahu Akbar » et de « Wallah Macron, on va te niquer ta mère », on tentait de prendre d’assaut le commissariat de quartier déserté ou l’annexe vide de la mairie.

Alors que le journaliste Taha Bouhafs ne cesse de dénoncer les violences policières, la DGPN (Direction générale de la Police nationale) recensait 17 CRS touchés par des tirs de mortiers ou de projectiles de petit calibre.

Plus grave, des tirs d’arme automatique éclataient à Vaulx-en-Velin (69) et à Pantin (93)

En métropole, la situation semblait hors de contrôle dans la plupart des 718 ZUS (zone urbaine sensible) et les préfets craignent désormais un embrasement général pendant le ramadan.

Après 6 jours d’émeutes, Emmanuel Macron décidait donc de faire massivement appel à l’armée.

Par rapport à le doxa gouvernementale, c’est un virage à 180 degrés pour le président qui en appelle à l’union nationale, y compris avec le parti de Marine Le Pen.

Intervention télévisée à venir : ce qu’Emmanuel Macron compte dire aux Français

Ce soir, le président de la République tentera d’expliciter sa nouvelle stratégie sécuritaire.

Emmanuel Macron, dans son derniers discours, avait lancé un vibrant “sachons nous réinventer, moi le premier”…

Suivant l’abbé de Mably ou Bossuet pour qui « l’Histoire doit être une leçon de morale et de politique » et « la sage conseillère des Princes », le président semblait « sauver les valeurs de la République » en ne retombant pas dans les erreurs passées : il ferait donc appel à l’armée, traditionnel recours des chefs d’État des nations en péril.

Car l’heure est grave.

Tandis que la population se confine sous la menace d’amendes à 135€, la police semblait désarmée face aux milliers de jeunes banlieusards déchaînés…

En même temps, les services de renseignement avaient alerté le président : la plupart des 10 000 détenus relâchés par Nicole Belloubet, loin de respecter les règles du confinement, rejoignaient, de fait, les rangs des émeutiers.

Quadrillage des quartiers et intervention des unités d’élites et de l’artillerie

Ainsi, des fuites venant de l’Élysée dévoilaient un quadrillage des quartiers par des forces armées expurgées de leurs éléments douteux et peu fiables. Les militaires seraient autorisés à se servir de leur armement sans sommation.

Tous les migrants et les binationaux, celles et ceux connus défavorablement des services de police seront expulsés du territoire.

Militairement, ce plan signifiait le traitement le plus radical des poches de résistance : les unités d’élite (Légion étrangère, 1^er RPIMa, 13^e RDP, commandos de marine…) interviendraient pour éliminer les sujets les plus dangereux, quitte à utiliser l’artillerie, du mortier de 80 et 120mm au LRM, de l’AMX AuF1 au Caesar 155mm.

De toute façon, la politique de la ville prévoyait à terme la destruction des tours et barres HLM, des zones de droit chariatique appelées « ghettos » par grotesque comparaison avec ceux de Venise ou de Varsovie.

Pour ceux qui se rendraient ou seraient fait prisonniers, le président (opposé à la peine de mort) leur propose une alternative progressiste et joyeuse à l’incarcération : la détention à l’air libre.

En effet, respectant le principe gauchiste que « la prison n’est pas la solution », Emmanuel Macron prévoit le transfert de tous les détenus islamistes – Tarik Ramadan et Salah Abdeslam compris – à l’Île Longue.

L’Ile Longue… ce n’est pas une célèbre base sous-marine du Finistère mais une terre stérile du golfe du Morbihan dans… l’archipel Kerguelen, à 2000 km de l’Antarctique.

Magnanime et « parce qu’on n’est pas des bêtes », le président précise que l’on fournira aux anciens détenus les tentes Quechua des migrants expulsés ainsi que du matériel de survie : Coran, tapis de prière, smartphone dernier cri, bancs de musculation et l’ouvrage « Survivre loin des kouffars pour les nuls ».

Moutons et choux des Kerguelen permettront des méchouis quotidiens et le ramadan toute l’année. Quand les vents catabatiques ne souffleront pas trop forts, on pourra également fumer lichens et pissenlits de la toundra.

Volet politique, judiciaire et diplomatique : le principe de la réciprocité

Amorçant également, un virage idéologique à 180 degrés, Emmanuel Macron décide de dissoudre tous les partis politiques islamistes et les associations de protection des musulmans (CCIF, CFCM, ex-UOIF…)

Dans un contexte de récession économique, il supprimera (aussi) toutes les subventions aux syndicats et aux associations (hors protection animale, du patrimoine ou de santé publique).

Emmanuel Macron aurait lancé au nouveau premier ministre, le général de Villiers, un trivial « qu’ils se démerdent avec l’argent de leurs adhérents ».

Pour en finir avec le laxisme de la justice, tous les juges seront révoqués pour des juges élus. Mais pour faire bonne mesure et distraire leurs anciens protégés, ceux des « Mur des Cons » accompagneront Nicole Belloubet avec les détenus aux Kerguelen…

Dans ce long exil sans retour, ils seront toutefois autorisés à emmener leurs codes de procédure judiciaire.

Avec l’étranger, le président de la République souhaite établir un “principe de réciprocité” vis-à-vis des pays de l’OCI en exigeant un nombre égal de ressortissants ou de lieux de prières.

Par exemple, on rabaissera le nombre d’Algériens en France au nombre d’expatriés français en Algérie (40 000) ou bien le nombre de mosquées financées par l’Arabie saoudite et le Qatar au nombre d’églises existantes dans ces pays.

Pour finir, Emmanuel Macron clôturera son discours par l’annonce d’un remaniement ministériel.

« Je tiens à rassurer toutes celles et ceux qui m’écoutent en ce moment : je me suis réinventé et j’ai décidé, mes chers… heu Gaulois, de vous protéger enfin contre l’islam, les wesh wesh et les Black Bloc.

A l’Intérieur, Marine Le Pen remplacera Christophe Castaner qui retrouvera donc sa table de poker du bar-PMU « Le Kéké » de Forcalquier. Sibeth N’diaye se verra offrir des cours de maintien de masque FFP2 à Dakar tandis que, Marlène Schiappa, remplacée par Marion Maréchal, ira rejoindre définitivement la loge maçonnique “Rillettes du Mans”….

Pour ce nouveau gouvernement, j’ai décidé de nommer

– Christine Tasin, ministre de l’Education nationale

– Pierre Cassen, ministre de l’Agriculture

– Maxime, ministre de la Justice

– Machinchose, ministre de la Culture

– Pikachu, ministre des Affaires étrangères

– Anne Lauwaert, ministre de la Santé

– Marcher sur des Œufs, ministre chargé des Relations avec le Parlement

– Régis Guillem, secrétaire d’État chargé des Anciens Combattants

– Vent d’Est Vent d’Ouuuuesst mmmiiinnzzzzzzzz

– RIchard Mil+++polski+++ MilaaHAHAHAH…ZZZZ Z

Chéri ? Mon loukoum d’amour ? Ça va ? Hou hou ?

Haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa !