Avant, dans la presse subventionnée, tout était simple : il y avait les médias « de gauche » (Le Monde, Libé, le Nouvel Obs, L’Humanité, La Croix, tous les quotidiens régionaux) et… UN média « de droite », Le Figaro.
Jusque dans les années 2000, les lecteurs allergiques au socialisme, à Mitterrand, à Lang et ses colonnes de Buren ou aux 35h pouvaient encore se raccrocher à ce dernier titre pour défendre leur point de vue.
Désormais, l’appellation presse de « gauche » ou de « droite » ne veut plus rien dire puisque le monde médiatique se divise entre progressistes-mondialistes du Camp du bien – ceux qui détiennent l’information certifiée donc la vérité – et les autres, identitaires ou rebelles à la doxa (genre Valeurs Actuelles ou France Soir), forcément pourvoyeurs de fake news, adeptes du complotisme et de la désinformation, voire du fascisme et de l’antisémitisme.
Pourtant, depuis l’avènement du « progressisme », on remarquera que le débat, la nuance, le doute, la remise en question et même l’humour ont progressivement disparu des médias : on ne discute pas/plus des bienfaits de l’immigration, de la diversité, de l’islam, de la vaccination ou du (néo)féminisme.
A ce titre, hormis quelques éditorialistes nauséabonds bientôt sur la sellette (Zemmour, Rioufol, Bock-Côté…), Le Figaro, faisant fi de sa devise « Sans la liberté de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur », est heureusement rentré dans les rangs (de la Macronie). Faut dire qu’il n’allait pas cracher sur les millions généreusement attribués par l’État pour soi-disant encourager la pluralité de la presse.
On peut même dire que son édition féminine – Madame Figaro – coche toutes les cases du progressisme en reprenant les poncifs à la mode des cultural studies et autres billevesées amerloques (wokisme, cancel culture, LGBTQuisme, décolonialisme, genre…)
Tapez, par exemple, « charge mentale Le Figaro« et vous obtiendrez des dizaines d’articles dénonçant l’horrible condition féminine en Occident (et particulièrement en France) face au repoussant patriarcat hétérosexuel. D’ailleurs, c’est clair, pour Madame Figaro, TOUT est charge mentale : le travail, les tâches ménagères, les enfants, le confinement, les courses, le maquillage, la manucure, l’épilation, les ragnagnas et même le sexe avec la contraception (pourtant rendue gratuite jusqu’à 25 ans par Véran !)
Ainsi, avec cette notion de « charge mentale », Madame Figaro donne l’impression qu’être une femme en Occident serait un vrai supplice donnant vraiment aux hommes l’envie de réciter, comme les juifs orthodoxes, la bénédiction « Loué sois-Tu, Éternel… qui ne m’a pas fait femme » !
Alors, pour alléger la vie des femmes confrontées, par exemple, au pesant problème de la contraception, Madame Figaro préconise tout simplement aux hommes « désireux de se contracepter » de… se faire stériliser (vasectomie) ou, au moins, « chauffer » les valseuses pendant 15 heures par jour (slip chauffant ou anneau thermique).
Évidemment, il ne viendrait pas à l’esprit des néoféministes de proposer la vasectomie ou cet affreux remonte-boules thermique à ceux qui font le plus d’enfants (comme la tribu polygame Traoré), ces méthodes étant, sans doute, réservées à l’homme blanc honni, métrosexualisé mais toujours coupable de tout.
Et, bien sûr, aucune n’écrira d’article sur la « charge mentale » des femmes afghanes, saoudiennes ou somaliennes, sans doute mille fois plus insupportable que celle de ces fragiles bobo-journaleuses parisiennes…
La contraception, l’autre charge mentale des femmes
Olivier Véran a annoncé, ce 9 septembre, la gratuité de la contraception pour toutes les femmes jusqu’à 25 ans à partir du 1er janvier prochain.
Comme son prix, les douleurs, la charge mentale ou les effets secondaires indésirables de la contraception incombent aux femmes, jusqu’au sein des couples […]
Une charge solitaire
[…] «Aucun garçon ne m’a jamais demandé ce qu’il fallait faire après un rapport non protégé», affirme Louise (1).
Cette étudiante de 23 ans est catégorique : ses partenaires sexuels occasionnels ne se soucient pas de contraception […] «Je me souviens d’un garçon, avec qui j’ai fait l’amour sans préservatif, raconte l’étudiante parisienne. J’étais trop angoissée pour m’endormir, tandis que lui dormait paisiblement, même quand je me suis levée tôt pour aller acheter la pilule du lendemain.» À son retour de la pharmacie, il est réveillé et lui demande où elle était. «Je lui ai répondu, et ça ne l’a pas préoccupé le moins du monde. Il a fait une vanne, et c’est tout.»
Une solitude difficile à admettre lorsqu’on se sent «coupable de ne s’être pas protégée et que la pilule du lendemain amplifie ce sentiment, en nous rendant irritable et fragile».
« Toute une organisation »
Comme Louise, la majorité des femmes s’occupent seules de leur contraception […] 71,8% d’entre elles ont recours à une méthode médicalisée (pilule, stérilet, implant, patch, anneau, injection, stérilisation tubaire ou encore vasectomie du conjoint) […] C’est donc le plus souvent à elles que revient la tâche d’éviter une grossesse non désirée.
Et leurs partenaires ont une fâcheuse tendance à ne pas s’en soucier dès qu’il ne s’agit plus de préservatif.
«Certains posaient quelques questions, mais c’est tout. Quand je leur rappelais qu’ils avaient étudié le système reproductif comme tout le monde, ils me disaient que ça ne les regardait pas», déplore Fanny, une journaliste de 25 ans. Avant l’implant qu’elle s’est fait poser il y a quatre ans, elle a essayé la pilule et le patch. Elle oublie souvent la première, et le second lui provoque des irritations cutanées et des règles douloureuses. Pour couronner le tout, ils ne sont pas entièrement remboursés.
«Et aucun homme ne m’a jamais proposé d’en payer la moitié», assure-t-elle.
Pourtant, la contraception peut constituer une charge importante, entre les rendez-vous gynécologiques, l’obligation de régularité, les effets physiques éventuels…
«Ça représente toute une organisation, un ensemble de choses auxquelles penser et plusieurs charges qui se catapultent les unes les autres : physique, émotionnelle, matérielle, financière», résume Claire Alquier.
Les méthodes naturelles, qui se développent depuis la crise de la pilule de 2012-2013, ne sont pas moins lourdes. Connaître son cycle et sa période d’ovulation implique d’être «très disciplinée et de surveiller ses symptômes tous les jours, explique Léa, 24 ans, adepte de la méthode […]
« Ingérence » masculine
Chez certains couples capables d’en parler ouvertement, le sujet devient une préoccupation commune [mais] un homme se mêlant de contraception «peut être vu comme une ingérence», par lui comme par sa compagne, explique Cécile Thomé.
C’est le cas d’Antoine (1), en couple depuis dix ans. Chez cet ingénieur de 30 ans, le sujet est devenu tout naturel lorsque sa compagne a souhaité arrêter la pilule. Pourtant, il ne l’a jamais accompagnée à un seul rendez-vous gynécologique […] «j’imagine aussi que je ne me sentirais pas à ma place dans sa relation à sa gynécologue», explique Antoine […]
Légalisée tardivement (en 2001), la vasectomie est l’une des contraceptions masculines les plus connues, mais elle traîne beaucoup d’idées reçues.
[…] L’intervention, légère – «quinze minutes, sous anesthésie locale et la cicatrisation se fait vite» – fait peur. En 2013, seuls 0,8% des hommes y avaient eu recours d’après les Nations unies, quand 3,8% des femmes choisissaient la ligature des trompes.
Le caractère irréversible de la vasectomie représente un frein pour de nombreux hommes.
Pourtant, il est possible de congeler son sperme avant l’opération ou de le récupérer chirurgicalement dans les testicules […]
Si Mateo envisage lui aussi une vasectomie, il a pour l’instant opté pour une solution réversible. À 25 ans, ce régisseur son […] a commencé à porter le slip chauffant mis au point par le Dr Mieusset, du CHU de Toulouse.
La méthode, purement mécanique, est exigeante : le slip doit être porté quinze heures par jour minimum. Rien d’insurmontable, pour Mateo : «Je le porte de 9 heures à 23 heures, ce qui correspond à mes horaires de travail».
Là où la plupart des hommes crient à l’inconfort et à la pénibilité, comme si les femmes ne les subissaient pas déjà, Mateo se dit «fier d’avoir mis ça en place» […]
(1) Le prénom a été modifié.
Cet article, initialement publié le 28 février 2019, a fait l’objet d’une mise à jour.
https://madame.lefigaro.fr/societe/la-contraception-lautre-charge-mentale-des-femmes-280219-163883
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Plus con tu meurs !!!
Ce sont des instruments de torture !!
c est quoi ces conneries? je comprend rien de rien!
je tiens a mon pieu….personne ne touchera rien et modifiera rien!!!!!
Ca vient parler de charge mentale…j’ai tellement RI en lisant cet article! Tout est dans le titre mais le contenu vaut le détour!
https://www.aubedigitale.com/des-gauchistes-se-sont-autoproclames-educateurs-culturels-mais-ils-nont-rien-a-enseigner/
Exercice pour un élève en école de cinéma :
Scène de dialogue. Madame Figaro présente l’engin de la photo à J.P. Belmondo et lui montre le schéma : imaginez la réaction et la réplique du personnage…(ils se trouvent dans une pièce avec un bon feu de cheminée).
Ha! Elles parlent de castrer les hommes et réclament toujours plus de clandos en rut…La logique féministe….
Pour les hommes, il existe aussi des cages de chasteté, vendues sur des sites spécialisés. Efficacité garantie ! Vous pouvez même confier les clés de la cage à votre compagne !
Que mme figaro propose d’abord la vasectomie et son calbar chauffant aux parasites qui n’arrêtent pas d’emmerder nos filles et nos femmes.
C’est du bon sens , ils se reproduisent plus vite que les cafards grâce aux allocations « braguette »
Pourquoi s’intéresser de telles connasses embourgeoisées et plus connes que la lune !
Elles n’ont rien dans les caboches à part sortir des conneries incommensurables !
Qu’elles aillent chez les (…) islamistes se faire traître et qu’elles ne reviennent plus nous seriner avec leur conneries monumentales, ça devient plus casse burnes !
C’est énervant d’entendre les inepties des connes pareilles !!!
Louise n’a qu’à ne pas s’accoupler un peu partout avec un peu tout le monde. Si elle a toujours besoin de copuler, c’est peut-être que la Nature lui dicte de devenir maman.
Les papas inconscients éjaculateurs d’un jour pourront être rattrapés par l’action en recherche de paternité… ça les rendra un peu plus responsables aussi.
Je suis de votre avis .
Ils sont bêtes ou quoi au Madame.Figaro ? Zut alors bandes d’étourdis, je vous conseille l’Afghanistan qui est la solution suprême. Des femmes sont même descendues dans la rue pour soutenir les Talibans et clamer leur bonheur et leur sécurité avec ce régime. Pas de pilule pas de contraceptions diverses, que du bio garanti. La Charia c’est bon pour la santé !
Il y a un truc qui marche bien aussi, c’est la chaise percée avec les deux briques.
Mais il faut faire très attention à ses pouces, ça peut faire très mal !
et il y a l’asile psychiatrique pour les décérébrées qui écrivent ce type d’articles : effectivement le figaro est définitivement rentré dans le rang de la bienpensance : bienvenue en absurdie
là, on ne peut plus dire qu’on marche sur la tête, mais plutôt qu’on roule sur la béquille!
eh bien si ces pauvres femmes occidentales sont tellement mal dans le monde occidental, qu’elles se rassurent bientôt leur vie sera régie par la charia et tout sera pour le mieux dans le meilleur des mondes
Il y a aussi les crises de migraines, très pratiques , pour les hommes, il y a le bromure dont l’Armée sucrait le jus du matin de crainte que la soldatesque ne pratique le vice dit italien, mais le slip chauffant, très peu pour moi, ainsi que la vasectomie. Finalement la ménopause est le moyen le plus efficace, quoique tardif.