Accuser Israël d’apartheid, c’est plus qu’une insulte, c’est une injustice flagrante et criminelle.

Il faut comprendre ce qui se trame derrière cette accusation infamante. Il est vraiment inutile de préciser qu’en d’Israël plus de 20% de la population est composée de musulmans, de chrétiens, de druzes et de bédouins. Ils sont traités comme tous les Israéliens et bénéficient de tous les droits, alors que certains d’entre eux refusent de s’enrôler à l’armée ou de servir l’État d’une manière ou d’une autre en compensation.

Mais comme le ridicule ne tue pas, les pays occidentaux omettent de pointer du doigt les véritables pays où l’apartheid est maintenu et prospère.

Il faut préciser que la majorité des terroristes est musulmane et prétendument milite pour la récupération des terres qu’ils revendiquent. Rappelons aussi le fameux dicton d’Arafat, «  grâce à l’utérus de nos femmes, nous reprendrons nos terres perdues démographiquement et Israël sera vaincue et les juifs deviendront une minorité – un petit rappel du bédouin avec ses 60 enfants. Grâce aussi à la démocratie, son gouvernement sera élu démocratiquement et sera arabe et islamique.

Mais est-ce qu’Israël qui souhaite conserver son intégrité, son identité, sa foi et ses droits, doit se plier à l’application à la lettre de la démocratie, lorsque celle-ci ne joue pas en sa faveur ? Et que dire des méfaits infligés à Israël par l’abolition de l’apartheid et des frontières ?

Les Israéliens n’ignorent pas qu’une fraction des Arabes d’Israël œuvre ouvertement pour la destruction de l’État juif d’Israël et même contribuent à la terreur au sein du pays.

Le ministre de la Sécurité nationale, Itamar Ben-Gvir, a été critiqué pour avoir poussé à des restrictions supplémentaires de la liberté de mouvement des Palestiniens en Judée et Samarie après que trois Israéliens ont été assassinés dans deux attaques terroristes la semaine dernière. Et ce n’est que la partie visible de l’iceberg. Les juifs sont réellement devenus des lapins de cible pour les Palestiniens.

Dans une interview accordée à la Douzième chaîne la semaine dernière, Ben-Gvir a déclaré : « Mon droit, ainsi que celui de ma femme et de mes enfants, de circuler sur les routes de Judée et de Samarie, est plus important que la liberté de mouvement des Arabes ».

Et pourquoi ne le serait-il pas ? « Dès qu’une personne menace mon droit à la vie, je diminue légèrement ses droits civils », a déclaré le ministre des Affaires et du Patrimoine de Jérusalem, Amichai Eliyahu, dans une interview accordée au site d’information israélien Ynet.

L’Apartheid n’existe pas en Israël ni dans les territoires disputés, et c’est d’ailleurs une des façons de permettre aux Arabes de perpétrer leurs crimes contre les juifs. Les juifs circulent sur les routes israéliennes sans jamais porter atteinte à tout voyageur, chose que nous ne pouvons malheureusement pas prétendre en ce qui concerne les Arabes de Palestine. Les juifs sont devenus des cibles humaines pour les terroristes arabes. Et comme, il est impossible de séparer le grain de l’ivraie, Israël n’a d’autre choix que de choisir la vie et sa protection… ? Et qui ne le ferait pas ?

Jusqu’où allons-nous pousser notre masochisme, notre sacrifice, notre immolation au nom des lubies occidentales ?

Car, en fait, ces démocraties folles de leurs convictions, sont en train de disparaître et d’être substituées par ceux qui ont intelligemment calculé leurs démarches et attendent le moment opportun d’opérer les remplacements tant redoutés. Et tout ce scénario dérive des règles démocratiques et de l’abolition des frontières.

Alors, les vaches sacrées de l’Occident n’auront servi à rien… sinon à nous miroiter des visions irréelles et trompeuses sur des régimes suicidaires.

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