Enzo, tu es parti conduit par la main de Saint Nicolas dans un scandaleux silence médiatique

Cher, très cher Enzo, ou plutôt, du moins si tu le permets, bien que je n’ai pas eu le plaisir, je dirais même l’honneur de te connaître tant tu étais, j’en suis certain, un type formidable :

Cher, très cher Bezo,

Toi qui es un véritable Ange, tu pars sous la protection d’un Saint qui aime les enfants et tu en étais encore un : Saint Nicolas auquel est dédiée l’église du village de La Haye-Malherbe, village où tu vivais heureux, choyé par tous ceux que tu côtoyais tous les jours. Ce qui se comprend quand on sait que tu étais des plus respectueux envers chacun d’entre eux à commencer par ta famille et, bien évidemment, avant tout autre personne, ta Maman dévastée par ton départ trop tôt dans ta vie, si tôt dans sa vie… Et donc tous les autres membres de ta famille, ainsi que tes copines et copains, tes amies et amis, tous ceux avec qui tu avais des relations pour ta future vie professionnelle ou pour tes loisirs, tels ces motards…
-pas deux ou trois motards, non au moins une centaine qui t’ont rendu hommage devant l’égalise Saint-Nicolas avec au moins un millier de personnes, hommage que ni le Chef de l’État, ni les autres personnalités ne t’ont rendu sauf ton maire ravagé de chagrin, Serge Marais, qui a su trouver les mots sur toi lors de son discours (1.
Toutes ces personnes  sont effondrées depuis cette agression qui les prive de ta présence, elle, jamais agressive bien au contraire, tu étais toujours prêt à aider autrui. Certainement parce que tu avais bénéficié d’une éducation traditionnelle au sein de ta famille et auprès de tous ceux qui ont fait le jeune homme que tu étais déjà : prometteur d’une vie d’adulte des plus sérieuses, des plus remplies et des plus respectueuses envers toute personne rencontrée même celui qui t’a arraché à ta Maman, à ta famille et à tous ceux qui t’aimaient !

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Et parmi elles, la dernière personne -une adolescente- qui t’a permis de ne pas être seul au moment d’être contraint, pris par la douce main de Saint Nicolas, de quitter notre Terre pour le Ciel… La seule qui a pu recueillir tes dernières paroles… Ton dernier souffle de vie… Adolescente qui a dû se trouver là -diront les croyants qui ne croient pas au hasard- pour toi, pour être en cet endroit pour t’accompagner en cet instant des plus importants pour toi.

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Ta Maman a ainsi pu savoir ce que tu as dit, comment tu l’as dit, et si ta souffrance a été longue ou rapide… Si tu as craint que cette agression ne te soit fatale ou si tu as perdu connaissance sans avoir eu cette terrible peur de partir définitivement si jeune, trop jeune ?… Seule cette adolescente a pu en être le témoin et a pu -je ne le sais et n’ai pas à le savoir- rapporter à ta Maman des paroles de toi ayant pu l’apaiser même quelque peu -même si c’est peu, trop peu face à un tel drame-… des paroles ayant pu atténuer l’immense, l’incommensurable chagrin de celle qui t’avait donné la Vie, mais aussi le chagrin de tous tes proches…

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Par ailleurs, je regrette -mais ce mot est trop faible tant j’en suis scandalisé !- que, comme pour la Marche Blanche en ta mémoire, une Marche Blanche des plus dignes, les « grandes » chaînes de télévision surtout d’État n’ont ni fait de transmission de tes obsèques en direct -hormis une seule CNews(2)- France3 pas nationale mais Normandie a passé un reportage en… différé, ni envoyé une équipe voire un seul reporter-caméraman, ni, dans les Journaux Télévisés, fait un sujet-titre,
ni même donné l’information en bref !

Ce que j’ajoute, sous un coup de colère, n’est pas le sujet de cette lettre mais j’ose rappeler à ces mêmes chaînes qu’elles n’ont cessé de faire des heures de direct avec une précédente Marche Blanche où, en particulier, la mère du défunt se comportait d’une façon que, par politesse, je qualifierais de « curieuse » ! En effet, son attitude faisait plus penser à une personne sous des, disons… des « médicaments excitants » transformant cette Marche Blanche en « Corso fleuri » mais à chacun sa culture… Ce n’est pas la nôtre…

En ta mémoire, la cérémonie a été pleinement conforme à notre culture : respectueuse de ta mémoire, de celui que tu fus -j’emploie le passé simple qui traduit la brièveté de ta vie qui, effectivement, fut tragiquement trop courte.

Et, malgré le manque d’informations de mes confrères journalistes, extrêmement nombreux ont été les personnes venues pratiquement que des environs de ta ville. Des gens du terroir, de ton terroir ! Des gens qui te connaissaient et, donc, qui t’appréciaient, qui aimaient l’adolescent que tu étais et qui, donc, aimaient déjà la personne, l’adulte que tu promettais de devenir, c’est-à-dire l’adulte avec lequel ils savaient qu’ils aimeraient se retrouver, avec lequel ils étaient certains d’avoir un « bon copain », un « ami intime », un « proche fidèle » et, parmi cette foule dont chaque regard, à ton égard, était immensément bienveillant, peut-être…

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Je tiens à le préciser : ce qui, en cet instant, me vient à l’esprit n’est que le fruit de mon imagination et non d’un fait que, en journaliste, j’aurais vérifié avant de le rendre public. Ce n’est qu’une hypothèse possible mais non étayée.  Peut-être que dans cette foule, une jeune fille a ressenti une douleur plus importante car, il y a peu, quelques jours, quelques semaines, quelques mois, elle a eu un coup de coeur en faisant ta connaissance et toi aussi envers elle, mais ni l’un, ni l’autre n’aviez encore osé faire le premier pas… Et je l’imagine, seule, plus seule que la dernière fois où vos regards se sont croisés… Plus que toute autre jeune fille, elle a assisté à tes… disons à ton départ car, elle seule, sait que sa douce main aurait été préférable à celle de Saint Nicolas. Préférable pour elle mais aussi pour ta Maman et pour chacune des centaines de personnes qui te connaissaient et, depuis le tragique samedi 22 juillet, les 67 millions de Français ! Oui, les 67 millions de Français, même si cela en gêne quelques-uns au fin fond de leurs rédactions,  dont la plupart pleurent, à l’unisson avec ta Maman, avec ta famille, avec tes copines et copains, avec tes amies et amis, ton si injuste départ…

Cela d’autant plus qu’ils sont en colère de l’indifférence du plus haut de l’État au plus bas des salles de rédaction qui croient appartenir à de « grands » médias. Là également, le qualificatif « grand » ne convenant qu’au mépris qu’ils accordent à de tels événements puisque, celui-ci et d’autres qu’ils négligent, sont ceux qui sont, lors d’un tel drame, l’Honneur de la France de les « couvrir » mais le déshonneur de ceux qui, ayant pour mission d’informer les Français, s’arrogent le droit -qu’ils n’ont pas- de ne pas rendre compte d’un drame devenu évènement national !

 

Enzo, ce n’est pas parce que quelques dizaines de journalistes refusent de parler de ton drame que la quasi totalité des 67 millions de Français ne pleurent pas ton tragique départ en serrant, par la pensée, dans leurs bras ta Maman, chaque membre de ta famille, chacune de tes copines, chacun de tes copains, chacune de tes amies, chacun de tes amis. Sans oublier, bien évidemment, l’éventuelle jeune fille qui pleure de t’avoir perdu avant même de t’avoir connu…
Je te prie de croire, cher Bezo, que le souvenir des circonstances de ton départ et de l’adolescent modèle que tu étais, restera ancré en ma mémoire, dans le recoin le plus vif de mon cerveau.
Permets-moi, comme je l’ai fait pour mes parents et tous les proches déjà partis, de t’embrasser délicatement et très amicalement sur le front.

Signé : Jacques, un des 67 millions de Français pleurant ton départ avec Saint Nicolas.

(1)Extrait de l’hommage que Serge Marais, ton maire, t’a rendu : «Enzo, ta famille tes amis tous ceux qui t’ont connu, tout le monde est là pour te dire au revoir. » 
Et il a rappelé comment il a appris la tragique nouvelle : 
« Le lieutenant nous annonce ton décès. Un vent de panique arrive dans ma tête. Comment annoncer cela à tes amis ? Anthony, ton beau-père, essaye de joindre ta mère. Une fois arrivée, j’appréhende ce moment. Une mère ne pouvant voir son fils, criant « mon bébé ». Ces images, je ne pourrai jamais les oublier. Voilà la fin tragique d’un adolescent de 15 ans, qui n’avait rien demandé.»
(2) CNews : https://www.cnews.fr/france/2023-08-04/obseques-denzo-tue-pour-un-mauvais-regard-cetait-un-adolescent-qui-navait-rien
JACQUES MARTINEZ,  ex-journaliste 
 de RTL (1967-2001), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

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8 Commentaires

  1. Je suis aussi scandalisé par l attitude des médias aux ordres, qui comme des robots obéissent au doigt et à l œil aux autorités fascistes française
    Honte à ce président qui n à pas fait un seul geste pour aller présenter ces condoléances à la famille, alors qu’il l’a fait pour l’autre ordure musulmane de Naël.
    Quand aux chaînes de TV qui aiment pas. Les français qu’ils aillent se faire foutre.

  2. Quelle honte!! Quel contraste entre une assemblée nationale pleine à craquer pour faire une minute de silence à la mémoire d’une petite racaille accidentellement flinguée alors qu’elle tentait de fuir la police et le silence assourdissant de toutes cette politicaille et de tous ces médias pourris devant l’assassinat pur et simple d’un jeune français par des racailles pour un simple regard. Honte à tous ces médias et à toute cette politicaille indigne. Bien sûr toute mon sympathie va à cette famille dévastée et toute ma haine va à ces pourris de politicards et de journaleux minables

  3. Jacques Martinez, vous avez mis toute votre émotion dans votre texte. Merci. Précision supplémentaire: ce jeune homme, qui se destinait a la maçonnerie – dur métier comme chacun sait – se levait chaque jour a six heures pour se rendre sur le chantier. Nous perdons un garçon courageux, assassiné parce que Français authentique, et nous heritons, chaque jour, de nuisibles, de parasites, de profiteurs, de degeneres héréditaires, d’assistés, d’arrieres, d’incapables, d’ignorants, de porteurs de maladies infectieuses et tropicales, de fainéants, de consanguins, d’incompetents, d’incapables, de crasseux, de bons a rien, d’inaptes (liste non exhaustive).

  4. Oui mais au moins il faut que la famille d’Enzo se dise que ceux qui sonts venus étaient des gens sincères touchés par le décès de Enzo ,pas des gens qui viennent là pour faire du cinéma ou pour se montrer ,qu Enzo repose en paix ,ça n’empêche pas la colère y en a marre que des personnes se fassent tuer pour un oui pour un non et la encore un homme de 46 ans aux fêtes de Bayonne tabassé à mort par trois salopards à qui il demandait de ne pas uriner contre la porte de son immeuble, tabassé, dans le coma et mort juste pour CA .maintenant en France on meurt juste pour une réflexion, juste pour un regard ,bande de cinglés je vous hais .

  5. Le jeune Enzo alias Bezo a été tué par deux Racailles étrangères qui eux risque de ressortir libre par la justice Française avec les juges Rouges et les avocats Rouge mais le traitement médiatique de cette affaire est marquer l’indifférence des médias dominants d’extrême gauche qui voient que Enzo est blanc et qu’il ne mérite pas qu’on parle de son meurtre par une Chance pour la France mais en revanche quand Abdelkadir, Hedi et les autres dégénérés issus de la diversité victimes des méchants policiers là les Gauchiasses du monde Politico Médiatique en parlent en utilisant le prétexte de la violence policière. Le Francocide ça existe mais pour les Gauchiasses les minorités ethniques sont leur priorité malheureusement !

  6. J’espère que ça va renforcer la haine des collabos chez toutes les familles des victimes qui n’ont pas eu le bon « profil » ! C’est tout les jours et partout dans notre pays que les Français se font assassiner, la guerre de civilisation « contre les Français DS » à commencé depuis plusieurs années, maintenant sa s’intensifie et ouvertement de surcroît, y a t’il encore des Français dubitatifs avec tout ça ??

  7. Mais quand le peuple français va-t-il bouger ? Combien de ses enfants lui seront encore enlevés avant d’agir ? Comment supporter ça ?

  8. C’est quand même réjouissant de savoir que notre Mbappé national n’a plus « mal à sa France… »

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