Dans la rubrique « métiers à risques » on peut indéniablement ajouter aujourd’hui « édile » ; autrement dit « maire » ou « conseiller municipal ».
Depuis la décision du grand timonier de France, exécutant à la lettre la feuille de route de ses « maitres de l’ombre » (via la punaise qui sévit au sommet de l’UE), de semer « équitablement » partout dans nos campagnes, les prochains nouveaux « migrants » ainsi nommés par les crapules en col blanc, en réalité les « envahisseurs illégaux » … des « remous » de contestations ont commencé dans différents endroits.
Riposte Laïque peut se targuer, grâce à l’engagement de Pierre Cassen, Bernard Germain, et bien d’autres courageux intervenants, d’être en bonne place dans l’organisation de ces contestations, depuis le premier combat, couronné de succès après plusieurs mois de lutte, à Callac pour les opposants au projet Horizon, portant sur l’implantation de 70 familles africaines à Callac (2200 habitants !), pour « revitaliser la vie du bourg ».
Forts de ce succès, et bien au fait que Callac n’était pas le seul village concerné, Bernard Germain annonçait la création d’une « Coordination Partout Callac », dont l’objectif était d’aider les autres villages, victimes des menées complémentaires, mondialistes et gouvernementales, à combattre, notamment en les faisant profiter de notre expérience.
Ce fut donc le deuxième combat auquel nos deux amis précités ont pris une grande part, contre les menées d’un maire indigne s’apprêtant à imposer aux habitants majoritairement réfractaires, l’implantation d’un CADA qui accueillera 120 migrants… juste à côté d’une école maternelle !!!
Elsa Caduc a dénoncé l’attitude hautaine, arrogante et méprisante du maire de la ville, un médecin nommé Yannick Morez, qui se permet, exactement comme son homologue de Callac, Jean-Yves Rolland, d’insulter grossièrement ses opposants, les qualifiant de “racistes”, et de mépriser leur aspiration au référendum, alors que le projet d’un Centre d’Accueil de Demandeurs d’Asile (Cada) ne figurait absolument pas dans son programme.
L’affaire à fait grand bruit, au point que tous les rouages de la bien-pensance de gauche (pléonasme !) s’en est emparée pour soutenir le malheureux maire, victime des incendies successifs de ses véhicules et sa maison… forcément en provenance de l’extrême droite, selon l’argument dénoncé sans la moindre preuve par les gauchistes haineux, jamais en peine de brocarder leurs adversaires politiques, à tous propos !
Aujourd’hui nous en sommes à la démission du maire, tellement soutenu par la mouvance pro-migrants-à-tout-va… qu’après avoir regretté « l’abandon de l’Etat » des maires en difficulté comme lui, a vu celui-ci faire amende honorable, via Elisabeth Borne, première ministre, qui l’a reçu ce 17 mai, après avoir demandé au préfet de « ne pas encore accepter sa démission »… selon les dires du très impartial « Libération ».
L’ennui c’est que pour différentes raisons… qui n’intéressent pas toutes à égalité, les supposées « élites » qui nous dirigent, une véritable épidémie de démissions se fait jour chez nos maires de France, sans que pour autant ceux-ci soient reçus à Matignon, et bénéficient de l’affliction du chef de l’Etat…
Emmanuel Macron dit sa “solidarité et celle de la Nation” au maire de Saint-Brévin-les-Pins, qui a démissionné mercredi sous la pression de l’extrême droite. Dans un tweet publié jeudi, Emmanuel Macron a affirmé que les attaques contre Yannick Morez et sa famille “sont indignes”.
Résume ainsi les faits la très également impartiale chaine d’information, BMTV …
Ainsi Francis Comby, maire LR de Beyssenac (Corrèze), commune de 357 habitants, opposé au projet local, mais qui n’a pas osé contester les ordres de l’insipide et ridicule Etienne Desplanques, lequel se la pète néanmoins avec sa casquette de préfet, osant dire à la population de la Corrèze « qu’il faut qu’ils fassent encore des efforts pour accueillir encore des migrants, et bien les répartir ! » …
Ce « planqué » comme son nom l’indique, et comme beaucoup de ses semblables, oublie que ce sont précisément les contribuables français et non les envahisseurs, qui le payent !.
https://ripostelaique.com/beyssenac-357-habitants-40-migrants-merci-m-le-prefet-desplanques.html
Ce maire frileux qui a été témoin des affrontements entre membres de l’Action française et militants antifas, des cagoules et des fumigènes devant sa mairie, fin février. 150 personnes réunies, du jamais-vu… s’inquiète de subir le même sort que celui du maire démissionnaire de Saint-Brévin.
« Sur les réseaux sociaux, c’est horrible. » Maire de Beyssenac depuis vingt ans, Francis Comby n’avait jamais vécu un tel déferlement d’invectives et d’interpellations. Jusqu’à une menace de mort reçue par courriel, pour laquelle il a déposé plainte. À l’origine d’une colère locale et nationale dont il a été un temps le réceptacle – « ça se tasse », assure-t-il –, l’installation d’un centre d’accueil de demandeurs d’asile (Cada) à 4 kilomètres du centre-bourg. Alors, quand il apprend que le domicile du maire de Saint-Brevin-les-Pins (Loire-Atlantique), cible d’une forte contestation contre un Cada, a été incendié le 22 mars, il interpelle le sous-préfet par SMS : « Qu’allez-vous faire à Beyssenac ? ».
Réponse : « vigilance accrue » et trois passages des gendarmes par jour.
Et pour le coup monsieur Comby n’a pas été récompensé de son obéissance, puisque, à ma connaissance, bien qu’il soit sûrement à deux doigts d’envisager la démission, il n’a pas encore reçu son bristol d’invitation à Matignon… Il attend…
Dans un autre registre, mais tout aussi inquiétant… sauf pour Matignon et l’Elysée, du moins pour l’instant… Lou Bailly-Biichlé, maire de Vandellans (Haute Saöne) vient également d’envoyer sa démission (24e démission d’élus dans de département depuis 2020) au préfet, qui l’a acceptée.
Bien qu’en raison de multiples raisons (le travail de maire d’une petite commune se résume à un « monstrueux truc administratif » explique-t-elle), l’agression au couteau, avec injure à caractère homophobe (« Je vais t’égorger sale gouine (sic) ») dont elle et son premier adjoint ont été victimes en mars dernier, n’a été que la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, puisque sa décision était déjà arrêtée dès fin 2022.
Comme l’identité et la description de l’agresseuse, ne sont précisées nulle part, cela pourrait nous conduire à suspecter une certaine communauté… toutefois, le temps n’étant pas aux accusations sans preuve (sauf pour le camp du bien qui en use et abuse, impunément) … le mieux est donc d’adopter la grande discrétion des médias qui ont traité l’incident… pas de vagues, pas d’ennuis…
Autre domaine où le silence des grands médias, et surtout d’un Etat qui vient encore de confirmer à quel point le sort des maires lui était précieux… les suicides ou tentatives de… également importants dans cette catégorie de citoyens que sont nos maires.
Ainsi c’est à Pénestin, une petite commune du Morbihan que le maire, Pascal Puisay, a tenté de mettre fin à ses jours, en avril dernier.
Outre un climat de tension avec ses opposants écologistes, c’est en apprenant, à l’issue d’une réunion municipale, qu’une plainte pour agression sexuelle avait été déposée contre lui par une élue du conseil municipal, que rentré chez lui il a fait une tentative de suicide, heureusement ratée.
Il est désormais hors de danger, mais son épouse, déplore un climat délétère, dont est victime son mari : « Il est harcelé, violenté, malmené ».
Ainsi Pascal Puisay aurait été pris à partie le dimanche 16 avril sur le parvis de l’église alors qu’il se rendait à la messe. Le tout dans un contexte de tension avec l’opposition qui pourrait trouver son origine, notamment, dans la vente du presbytère au diocèse que l’opposition voudrait faire annuler.
« C’est la goutte qui a fait déborder le vase, dit Thi Thanh An Puisay. J’en ai marre de cette violence. Mon mari est quelqu’un de gentil. Je ne suis pas une femme politique mais une femme en détresse. Je veux retrouver mon mari. Un homme catholique ne mérite pas ça. Ce n’est pas parce qu’on n’est pas d’accord avec vous qu’il faut harceler quelqu’un jusque devant l’église ».
Or, cette fois, le doute n’est pas permis, les harceleurs sont des écologistes de gauche fanatiques et violents. Donc, hors de question de les accuser d’avoir poussé Pascal Puisay au suicide.
L’épouse du maire souhaitait organiser début mai, une marche blanche pour une société plus apaisée ; laquelle n’a finalement pas eu lieu…
« Quant à la plainte pour agression, cela me surprend énormément. On est sous le choc », disait le premier adjoint, Michel Bauchet
Quels que soient les dessous de cette affaire, il est évident que cela n’intéresse pas les deux grands dirigeants que sont Macron et son acolyte Borne… bien plus empressés à « se rendre au chevet », ou bien « inviter au Palais ou à Matignon »… quand il s’agit d’événement touchant de gentils humanistes ; bien sous tous rapports puisque prêts accueillir toujours plus de « clandestins illégaux » déguisés en « pauvres migrants fuyant leurs pays en guerre » …
En revanche, quel intérêt de se pencher sur les malheurs de maires refusant d’être des « maires à migrants » ? Je vous l’demande.
Du coup, Francis, Lou et Pascal attendent toujours leur invitation à Matignon…
Mais qu’est-ce qu’ils font à la Poste ? Ils ne sont tout de même pas (encore) en grève ?
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
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REMONTONS LE MORAL de ces 3 maires :
IMPRIMER le présent article et l’ENVOYER par La Poste à l’ADRESSE POSTALE PUBLIQUE de chaque maire, qui se trouve respectivement pour chacun sur les pages
https://www.beyssenac.com/ (bas gauche)
https://www.annuaire-mairie.fr/mairie-vandelans.html
https://www.penestin.fr/ (bas gauche)
Pour imprimer l’article , c’est facile avec https://www.printfriendly.com/p/g/fMzkLv
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Cliquer sur les icônes et chiffres « parasites » en fin d’article pour les effacer puis sur PDF, choisir Taille de la page A4, télécharger la version PDF en 4 pages et l’imprimer 2 feuilles recto-verso 1-2 & 3-4.
En option, vous pouvez écrire un petit mot personnel dans l’espace blanc au bas de la dernière page.
Pour envoyer, mettre dans une enveloppe, écrire l’adresse, timbrer et poster.
L’invasion se poursuit coute que coute.
Les Français ont beau regimber, le dictateur a sa feuille de route de l’UE et du NOM.
Nous ne sommes plus rien, d’ailleurs c’est lui qui l’a dit.
Francis Comby , Lou Bailly Biichlé et Pascal Puisay : Trois maires victimes de la pression du gouvernement pour accueillir des migrants , menaces d’opposants politiques , chantage , agressions mais ils ne sont pas médiatisés contrairement à l’ex maire de Saint Brévin Yannick Morez qui crie à la prétendue extrême droite qui avaient incendier ses deux voitures devant son domicile mais il faut conclure que c’est l’extrême Gauche qui a provoquer cet incendie ….
Merci pour toutes ces précisions ..que j’envoie à des édiles comme vous dites .. il faut qu’ils sachent qu’on ne peut dire tout et son contraire !!
Bientôt, les Français de nos belles campagnes seront obligés de migrer. Y aura-t-il des maires pour les accueillir dans des CADACDLT (centres d’accueil des autochtones chassés de leurs terres)?