Ramadan au Pakistan : des musulmans assassinent un hindou, un chrétien et un sikh

“Tuez-les où qu’ils se trouvent… (Coran 2:191, 4:89, cf. 9:5).

Le mois du ramadan est un mois au cours duquel les croyants sont censés redoubler d’efforts pour plaire à Allah, c’est aussi un mois où l’on assiste fréquemment à une augmentation de la violence du djihad, puisque cette violence est censée plaire à Allah.

“Le Ramadan n’est pas un mois de paresse, mais plutôt un mois d’activité, d’effort et de dur labeur, et comme il l’était aussi dans la vie du Prophète, un mois de djihad, de conquête et de victoire.” – Mahmoud Al-Habbash, juge suprême de la charia de l’Autorité palestinienne

“Le Ramadan est un mois de guerre sainte et de mort pour Allah. C’est un mois de lutte contre les ennemis d’Allah et du messager de Dieu, les juifs et leurs facilitateurs américains”. – Qaedat al-Jihad

Le Ramadan est le mois pieux du “Jihad-o-Qital” (Jihad et meurtre). Les portes du paradis restent ouvertes à ceux qui atteignent le martyre en menant le Jihad”. – Maulana Bashir Ahmad Khaki

The Nation

…un chrétien

Des motocyclistes inconnus ont tué un membre de la communauté chrétienne dans la région de Sufaid Dheri, a déclaré la police samedi. Kashif Maseeh était un employé de la ville III et se rendait chez lui lorsque des inconnus ont ouvert le feu et l’ont tué sur le coup.

…un sikh

Selon les autorités policières, l’attaque meurtrière de samedi est le deuxième cas d’assassinat ciblé de minorités au cours des dernières 24 heures. Kashif Maseeh a été abattu par des motocyclistes armés sur le pas de sa porte. Un jour plus tôt, un commerçant sikh a été abattu de la même manière à Peshawar. Les attentats n’ont pas été revendiqués.

Islamabad : Dans un nouvel incident d’assassinat ciblé, un commerçant sikh, Dayal Singh, a été tué par des mécréants à moto vendredi dans la colonie de Dir à Peshawar, au Pakistan.

La police de Peshawar a déclaré que M. Singh était assis dans son magasin lorsque des motocyclistes non identifiés l’ont tué et ont pris la fuite.

…un hindou

Plus tôt dans la journée de jeudi, un chirurgien ophtalmologiste de Karachi, le Dr Birbal Genani, a été abattu par des hommes armés non identifiés près de Layari, à Karachi, alors qu’il rentrait chez lui après avoir travaillé dans sa clinique.

I24 news

La  fusillade a eu lieu près de Hamra, dans la vallée du Jourdain, vendredi matin.

La femme blessée a été transférée au centre médical Hadassah dans un état critique.  Plus de 20 douilles de balles ont été retrouvées sur les lieux.

 Les victimes sont deux sœurs âgées de 15 et 21 ans, originaires de la localité d’Efrat.

Leur mère de 48 ans est très grièvement blessée. Le père était manifestement dans une autre voiture et a été témoin de l’attaque.

La Suède n’a pas encore abandonné l’idée de la liberté d’expression et n’a pas encore interdit le blasphème contre l’islam.

Nyheter 24

Cinq personnes ont été arrêtées, soupçonnées d’avoir planifié un crime terroriste en Suède. Le fait que ces projets soient liés aux manifestations qui ont suivi le brûlage du Coran en janvier ne surprend pas l’expert en terrorisme Magnus Ranstorp. La Suède est devenue une cible prioritaire.

“Cinq personnes, c’est beaucoup. Souvent, il s’agit de deux ou trois personnes, souvent au même endroit, et il est donc assez inhabituel qu’il y ait plusieurs villes différentes”, explique Magnus Ranstorp, chercheur à l’université de défense norvégienne.

La police de sécurité estime qu’une attaque n’était pas imminente. Selon la Säpo, les projets terroristes sont liés aux manifestations qui ont suivi le coran brûlé par Rasmus Paludan en janvier, et le crime est lié au groupe terroriste Daesh.

M. Ranstorp insiste sur le fait qu’il s’agit d’une évolution attendue en raison d’un changement de la situation en matière de sécurité, dont lui-même et la police de sécurité ont déjà été avertis. Les fausses informations diffusées en ligne selon lesquelles les services sociaux suédois enlèvent des enfants musulmans jouent également un rôle.

“Auparavant, la Suède était une cible légitime, mais pas prioritaire. Mais aujourd’hui, nous sommes devenus une cible prioritaire en raison des incendies de Coran et de la rumeur des enfants enlevés. Cela a mis la Suède sur le devant de la scène, surtout en ce qui concerne les récents brûlages de Coran”, explique-t-il.

Il s’agit du sud de Kaduna, où les chrétiens prédominent.

La prise d’otages a pour but de gagner de l’argent. “Quant aux captifs, l’émir a le choix de prendre la mesure la plus avantageuse parmi quatre possibilités : la première est de les mettre à mort en leur coupant le cou ; la deuxième est de les réduire en esclavage et d’appliquer les lois de l’esclavage concernant leur vente et leur manumission ; la troisième est de les rançonner en échange de biens ou de prisonniers ; et la quatrième est de leur faire grâce et de leur accorder le pardon.

Sahara Reporters

Pas moins de 10 étudiants ont été enlevés par des terroristes, localement surnommés bandits, dans la zone de gouvernement local de Kachia de l’État de Kaduna.

Le commissaire de l’État pour la sécurité intérieure et les affaires intérieures, Samuel Aruwan, l’a confirmé dans un communiqué lundi, où il a révélé que les étudiants étaient de l’école secondaire gouvernementale (une école secondaire).

Illustration : la mosquée Jama Masjid de New Delhi est la plus grande d’Inde, elle peut accueillir jusqu’à 25 000 fidèles pour la prière du vendredi.

OpIndia

Au cours de perquisitions menées en divers endroits du Bengale occidental, la National Investigating Agency (NIA) a arrêté vendredi deux autres personnes qui impliquées dans une affaire de livraison de détonateurs.

L’une des deux personnes détenues a été identifiée comme étant Mir Mohammad Nurujjaman, qui, selon la NIA, travaillait en tant que contractuel dans le département informatique du ministère de l’éducation du Bengale-Occidental, Bikash Bhawan.

La NIA a ajouté que l’autre individu a été arrêté après une perquisition à Asansol, qui fait partie du district de Paschim Bardhaman. Le second accusé a été identifié comme étant Seikh Miraj Uddin. 27 000 kg de nitrate d’ammonium, un ingrédient utilisé pour fabriquer des bombes suffisantes pour raser des villes, ont été retrouvés chez les accusés.

En juillet 2022, l’unité spéciale du Bengale occidental a effectué une descente dans le quartier de Mahammad Bazar, dans le district de Birbhum, et a arrêté une camionnette qui aurait transporté 81 000 détonateurs.

La police a déclaré que les criminels avaient planifié une explosion, mais que les autorités avaient compromis leur projet en arrêtant trois personnes dans le cadre de cette affaire. Le ministère de l’intérieur de l’Union avait demandé à la NIA de mener une enquête après la découverte d’une quantité importante de matériaux explosifs.

Rintu Seikh, qui serait le cerveau de l’affaire et le fournisseur des détonateurs, a été arrêté par la National Investigation Agency (NIA) au cours de l’enquête. Deux autres identités sont apparues après l’interrogatoire de Rintu Sheikh par la NIA….

Sahara Reporters

Jacob Wodi Hulobu, un pasteur résident de la Living Faith Church à Aloko-Oganenigwu, Dekina Local Government Area de l’Etat de Kogi, a été tué par des hommes armés.

Les hommes armés, soupçonnés d’être des bergers, ont envahi la ville dimanche.

Le pasteur s’était enfui avec certains de ses membres vers une zone plus sûre lorsqu’ils ont frappé pendant l’office matinal, mais il est revenu pour vérifier l’état de l’église après l’attaque, lorsque les envahisseurs lui ont tiré dessus et l’ont tué.

“Le pasteur s’est échappé pendant l’office du matin. Il pensait que tout était calme et il est retourné vérifier si l’église avait été touchée, lorsqu’il a été tué”, a déclaré la source au Daily Post.

Hulobu, qui laisse derrière lui sa femme et un enfant, aurait organisé un cycle d’évangélisation prévu entre le 13 et le 15 avril dans l’église avant l’incident.

“Préparez-leur tout ce que vous pouvez de force et de chevaux de guerre, afin de frapper de terreur l’ennemi d’Allah et votre ennemi…” (Coran 8:60)

Morning Star News

Le 15 mars, des extrémistes musulmans ont grièvement blessé un pasteur et son fils de 14 ans alors qu’ils se préparaient à une nuit de prière sur le site de leur église dans l’est de l’Ouganda.

Le pasteur John Balidawa, 35 ans, et son fils ont été hospitalisés après qu’une foule d’extrémistes musulmans les a attaqués après 20 heures et a détruit le bâtiment de leur église dans le village de Kigulu, dans le district de Mayuge.

Le pasteur Balidawa et son fils, Gilbert Sanja, se préparaient à la veillée de prière nocturne de l’Ebenezer Christian Center lorsqu’ils ont entendu des pierres frapper le toit de l’église. Six extrémistes musulmans sont alors entrés, et le cheikh Shafi Mukama a ordonné au père et au fils de partir, tandis que d’autres membres de la foule faisaient le guet à l’extérieur, a déclaré le pasteur.

“Lorsque j’ai refusé d’obéir à leurs ordres, le cheikh et deux autres personnes ont commencé à me gifler, puis m’ont poussé au sol et m’ont ensuite marché sur le ventre”, a déclaré le pasteur Balidawa à Morning Star News. “D’autres ont commencé à boxer mon fils, qui s’est mis à gémir et à appeler à l’aide. Si mon fils et moi avons survécu, c’est grâce à la grâce de Dieu”.

Après avoir perdu connaissance, le pasteur s’est réveillé avec son fils dans un hôpital de Buluuba pour découvrir le pasteur principal de l’église, Gerald Kato Wakabi, 39 ans, à côté de leur lit. Le pasteur Balidawa a appris que les assaillants avaient pris leurs téléphones portables et les avaient détruits, ainsi que le bâtiment de l’église et ses plus de 70 chaises.

Le pasteur Balidawa a eu une jambe cassée, un os cassé dans la main, un gonflement du visage et des blessures aux intestins et à l’estomac, a déclaré le pasteur Wakabi. Le fils du pasteur Balidawa a subi une profonde coupure au front, une fracture de l’os de la main droite et un gonflement du visage.

Le pasteur Wakabi a déclaré avoir trouvé le 16 mars une note écrite sur le site de l’église démolie, qui disait : “Plus d’église dans cette zone. Cette zone est une terre sacrée réservée à l’adoration d’Allah”….

La constitution ougandaise et d’autres lois garantissent la liberté religieuse, y compris le droit de propager sa foi et de se convertir d’une foi à l’autre. Les musulmans ne représentent pas plus de 12 % de la population ougandaise, avec de fortes concentrations dans les régions orientales du pays.

Portrait robot du suspect diffusé par la police lundi.

onmanorama

Trois passagers ont été tués et neuf autres, dont trois femmes, ont subi de graves brûlures et sont en cours de traitement après qu’un musulman a versé un liquide inflammable sur les passagers de la voiture D1 de l’Alappuzha-Kannur Executive Express. L’incident s’est produit vers 21 h 45 le dimanche 2 avril 2023. L’accusé a été identifié comme étant Shahrukh Saifi, qui résiderait à Noida, en Uttar Pradesh, et qui travaillait comme charpentier à Bulandshahr.

Selon les autorités policières, l’incident s’est produit lorsque le train express a atteint le pont ferroviaire de Korapuzha. On a d’abord cru que le suspect avait eu une altercation avec les autres passagers, qui aurait pu dégénérer et conduire à l’attaque, mais les passagers du compartiment ont confirmé qu’il n’y avait pas eu d’altercation entre un passager et l’accusé. L’accusé a versé la substance inflammable sur un passager, l’a incendié et s’est échappé après que d’autres passagers ont tiré sur la chaîne de secours et que le train a ralenti. Les passagers ont immédiatement alerté la Railway Protection Force (RPF) et ont aidé à éteindre l’incendie. La police du Kerala a également découvert trois corps gisant sur la voie ferrée près de l’endroit où l’incident s’est produit. On suppose qu’ils ont tenté de descendre du train en voyant l’incendie. Les trois victimes, une femme, un enfant et un homme d’âge moyen, ne présentaient pas de brûlures.

L’accusé a été arrêté après que la police a récupéré son téléphone portable dans un sac trouvé sur les lieux du crime. La police du Kerala a ensuite contacté la police de l’Uttar Pradesh pour tenter d’appréhender Shahrukh Saifi. L’inspecteur général de la Force de protection des chemins de fer, Easwara Rao, a été vu en train d’inspecter le train. Il a déclaré aux médias : “Il s’agit d’un incident malheureux. Nous sommes en train de revoir les lacunes en matière de sécurité. Nous devons installer des caméras de surveillance dans les wagons et les petites gares”.

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