Qu’est-ce qu’ils ont tous à aller se prosterner aux pieds de notre ennemi séculaire ?
Oui, j’ai bien dit séculaire, car c’est bien parce que les Barbaresques ravageaient nos côtes, enlevaient nos filles por les vendre sur les marchés d’Alger, destinées aux harems des musulmans et enlevaient nos garçons pour les vendre aux Turcs qui les transformaient en janissaires qu’on est allés en Algérie en 1930 !
Le reste, je vous le passe, chacun connaît sur le bout des doigts le terrorisme, les voisins avec qui on fêtait le printemps ou le beau temps qui vous poignardent et clouent votre bébé sur la porte de la grange. Des gens qui ont des moeurs pareilles, on s’en méfie. Et c’était hier… même pas trois quarts de siècle !
Il y a à peine un mois, Macron allait offrir à Tebboune des milliers de visas pour que ses ressortissants -musulmans, évidemment… apparemment on n’a pas assez de voilées dans les rues et les Quartiers- puissent aller et venir des deux côtés de la Méditerranée et surtout s’installer chez nous, y faire leurs études, s’y faire soigner, y procréer des milliers de petits français de papier pour un bon nombre si l’on en croit les faits-divers.
En échange, Tebboune a dit que, peut-être, il pourrait nous vendre un peu plus de gaz… alors qu’il n’a pas les moyens de le faire, car, comme le dit Bernard Lugan : les réserves algériennes s’épuisent et sa production est aux trois-quarts consommée localement.
Et, cerise sur le gâteau, Macron offre à l’Allemagne le peu de gaz qui nous reste !!!
Jamais les Français n’ont été autant pris pour des cons !
Or, non content d’avoir signé un accord de dîner de con où la France est la grande perdante, voilà que Macron envoie Borne, à son tour, se mettre à 4 pattes, devant son homologue au nom si fortement détesté depuis Charles Martel, (Ben)abderrahmane : adorateur du tout rayonnant d’Amour (sic ! ) pour « relancer les liens bilatéraux ». Elle doit « concrétiser avec son homologue algérien Aïmene Benabderrahmane, lors d’un comité intergouvernemental, le «partenariat» conclu entre les présidents des deux pays fin août »
Qu’en termes choisis ces choses-là sont dites… Langage technocratique, vide sidéral, enfumage… encore un déplacement en avion pour rien. Mais eux ont le droit.
C’est d’autant plus pitoyable et scandaleux que le but est d’un vide sidéral : les membres des gouvernements français et algérien se réuniront pour réaffirmer leur détermination à promouvoir l’amitié entre la France et l’Algérie.
Tout ça pour répéter qu’ils sont déterminés ? Foutage de gueule… Espérons que Borne, puisque femme, sera encore plus mal traitée que ne l’a été Macron. C’est peut-être pour cela que c’est elle qui s’y colle, cette fois.
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Tebboune va apprécier la sucette car la Borne pour arriver là où elle en est sans jamais avoir été élue, elle a du passer beaucoup de temps sous les bureaux des chefs, elle doit être experte !!!!!!!!!!!!!!!
Voilà un pays dirigé par des dictateurs depuis son indépendance, soit depuis 60 ans, qui va imploser car la population a quintuplé alors qu’il n’est pas auto-suffisant sous l’angle agro-alimentaire et que ses ressources énergétiques sont en voie d’épuisement très rapide…foutriquet doit bien savoir que nous n’avons aucun intérêt à nous accaparer de cette bombe à retardement? Sa seule motivation semble être la déconstruction de notre pays. MACRON DEMISSION !!!…
Non, certaines mauvaises langues prétendent que ses penchants pour des amabilités génito-buccales avec des glands circoncisés influencerait sensiblement sa politiqsue… Comme me le disait ma concierge, « Mon bon monsieur, quand on sait ce qu’on sait et qu’on voit ce qu’on voit, on a bien raison de penser ce qu’on pense »!…
Le tebboune il est pas difficile …
Ça la changera de sucer Jean-Michel…
Rien qu’à la regarder, on perd tout espoir. Elle est lugubre, sinistre, comme un lourd nuage gris de mauvais augure sur le ciel de France.
La seule façon de traiter avec l’Algérie, aurait été, à l’époque de De Gaulle, de tester nos armessur le territoire algérien.
« Jamais les Français n’ont été autant pris pour des cons !«
Ça c’est parce qu’ils le valent bien, pardon qu’ils le veulent bien.