Levée de boucliers contre les barbares de Bruxelles qui veulent nous interdire le mot Noël !

Découvert par le Giornale, un document de la Commission européenne dédié au fonctionnement interne édictant les “lignes directrices pour une communication inclusive” fait débat. Raisons : des indications qui interdisent l’utilisation du terme Noël, des prénoms tels que Marie et Jean, l’expression ” mesdames et messieurs” et même des interdictions paradoxales telles que “coloniser Mars” (la formule correcte devrait être “envoyer des humains sur Mars”).

Marco Zanni, président du groupe Identité et démocratie au Parlement européen et chef de la délégation de la Lega Marco Campomenosi a écrit dans une note commune : « Il est inquiétant que ce mode de pensée soit adopté par les institutions européennes : il vaudrait mieux que l’Europe utilise l’argent des citoyens pour résoudre des problèmes beaucoup plus concrets et urgents. Nous ne nous rendrons pas complices : nous continuerons à défendre les valeurs judéo-chrétiennes de l’Europe et la sacro-sainte liberté d’expression des citoyens ». Condamnation unanime même au sein du groupe Ecr où, si Carlo Fidanza affirmait que « Nous sommes des fous ! Encore un petit pas vers le néant », l’eurodéputé espagnol Jorge Buxadé, vice-président de Vox, ne mâche pas ses mots pour condamner le document : « Les barbares sont arrivés ».

Pourtant, les folies de la « communication inclusive » de la Commission européenne ne s’arrêtent pas à Noël et à l’abolition des hommes et des femmes, mais embrassent tous les domaines de la société à 360 degrés, remettant en cause des principes tels que l’appartenance nationale et la famille.

Le document met en garde contre les offenses aux “apatrides ou immigrés” en les invitant à éviter d’utiliser le terme “citoyen” car “tout le monde dans l’UE n’est pas citoyen”, il est donc interdit de dire “tous les citoyens ont le droit d’être en sécurité”. “.

Enfin, une attaque contre la famille ne pouvait pas manquer avec l’invitation à ne pas qualifier les personnes de mariés ou célibataires et « d’éviter de lier la notion de famille à un statut juridique ». Le principe est que nul ne doit se sentir offensé sauf les chrétiens, ceux qui croient à la valeur de la famille et au respect de leur nation, tout est permis envers eux, même effacer des millénaires d’histoire.