Attentats : la propagande belkacénienne a lassé les plus “ouverts” des collégiens

Propagande et manipulation sont les deux mamelles de Belkacem. On s’en doutait, mais la diarrhée envoyée dans tous les établissements, remise à tous les enfants, en est la caricature.
On signalera en passant que dans nombre d’établissements des élèves n’ont pas travaillé de la journée, les professeurs, appliquant à la lettre les prescriptions de leur Ministre de tutelle ayant proposé aux élèves de discuter, de débattre, de prendre la parole qui libère… Et nos collégiens de recommencer, heure après heure, à éculer tous les poncifs en se gardant bien, naturellement, de dire un mot de travers sur le vrai responsable des attentats, l’islam.
Le Ministre l’avait prévu, le Ministre l’avait écrit. Les enseignants étaient là pour discuter, non seulement avec les enfants, mais aussi avec les parents…
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Et il semble que les enseignants n’aient pas été avares de leur temps ni de leur salive…
Au point de voir supprimés, de fait, tous les cours d’une journée dans certaines classes.
Au point de lasser les élèves et même de brouiller les quelques repères qu’ils avaient en tête. Gabrielle B, qui nous a fait un superbe compte-rendu, a raconté à son  Routier de père qu’à la fin de la journée tous ses camarades en avaient ras le bol, et qu’aucun d’entre eux ne faisait plus de distinction entre djihadistes et musulmans, ce qui est plutôt rassurant finalement.
On signalera que, naturellement, le document appelait clairement à ne pas “stigmatiser”, à ne pas haïr, à tolérer, respecter… Discours à double sens naturellement, qui renvoie dos à dos les terroristes et ceux qui pourraient être tentés par la haine de ceux par qui l’horreur arrive.
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Interdit d’admettre que des tarés, parce qu’éduqués dans l’islam se permettent de commettre un massacre ?
 Il n’était évidemment  pas possible de le dire hier dans les établissements scolaires où l’on a fait croire à de jeunes enfants qu’ils devaient attendre passivement la prochaine attaque, en continuant à  penser que tout se vaut, que toutes les religions se valent.
On habitue les enfants à croire qu’il n’y aurait rien à faire, et, avec eux, ce sont les parents que l’on manipule également.
Christine Tasin. 

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10 Commentaires

  1. Parce que les parents se laissent manipuler, Christine ! Ils sont lobotomisés et plus préoccupés de leur bien-être que de l’éducation “spirituelle” de leurs enfants. Toutes les religions se valent, pas une pour racheter l’autre, et les chrétiens, ils ont fait pareil, alors ? Qu’est-ce qu’ils reprochent à l’islam ? Eh bien , c’est simple . Les chrétiens ont commis des horreurs, des massacres, oui ! Mais…c’était il y a des siècles. Depuis, ils ont quand même évolué, preuve que le christianisme est moins con que l’islam et lepape J.Paul II a demandé pardon. Okay ! Je rappelle que ce sont les chrétiens qui morflent le plus depuis quelque temps… Mais les chrétiens qui ont commis ces crimes au nom de la religion, ils les ont commis CONTRE l’enseignement du Christ ! Relisez les Evangiles ! Il n’y est question que d’amour et de pardon et Jésus n’a jamais demandé à ses disciples d’aller massacrer en Son Nom ! ça va pas non ? Par contre, les musulmans appliquent les préceptes du coran et des hadiths qui appellent à tuer les juifs et les chrétiens et les athées…et les autres tant qu’on y est ! Pas de quartier ! Et les enfants innocents! Les 200 gosses ligotés, massacrés à la kalach en Syrie, ça interpelle non ? Alors, si on tue des fauves dangereux, et des serpents (brrr!!) aussi dangereux, et des chiens comme les pittbulls et autres rottweiller aprce qu’ils sont dangereux, pourquoi ne pourrait-on faire la même chose avec des “êtres humains” combien plus nuisibles et dangereux, hein ? Allez, et comme dirait la disciple du mahomet qui sévit à l’éducation nationale “inch allah”! Cabourde ! (cinglée en langue d’oc).

  2. Le réveil des Français va être très, très douloureux car ils vont se retrouver au milieux d’une guerre civile, qu’ils auraient pu éviter si ils en avaient pris conscience plus tôt. Quand ils verrons ses barbus courir après leurs filles de 13 ans la bite à la main et le couteau entre les dents, il sera trop tard. Mais bon pour leur faire peur on met des bougies. Vade retro satanas j’ai une bougie . Si le mec s’écroule c’est qu’il est mort de rire.

  3. Pour lutter contre l’endoctrinement des jeunes il faut leur expliquer la vérité pour qu’ils comprennent enfin comment notre pays et notre peuple ont été attaqués par le biais d’une technique de subversion afin de les pervertir et détruire.

  4. Pauvres collègiens et lycéens qui baignent dans un galimatias putride de glose pédago-administrative.
    Ont-ils, seulement, conscience que les barbus à kalach ont un trop plein d’amour à démontrer ? Et, qu’évidemment, ça n’a rien à voir avec la belle religion…

    Allez j’arrête mon ironie : nous sommes entrés dans une ère de grande fatigue collective, les cerveaux sont embrumés et les veaux beuglent, larmes aux yeux, mais il est déjà trop tard.

    Le sol colle aux pieds et l’atmosphère devient irrespirable.

    Diogène

  5. Tu as raison, Christine. Je fais ce que je peux de mon côté pour dire que l’ouverture d’esprit doit avant tout se produire sur un minimum de lucidité sans laquelle l’émotionnel demeure un univers trompeur, mais le matraquage est tel que même les adultes que je connais restent totalement hermétiques à ce que j’essaie de faire entendre. Complètement bouchés, c’est l’expression qui convient le mieux pour qualifiés leurs attitudes. Pire, la violence dont ils font parfois preuve – et qui devrait plutôt nous unir contre un ennemi commun – n’est utilisée que pour tenter d’abattre des types comme moi! Ils ont la hargne, ah ça oui, mais seulement quand l’ennemi, c’est moi!
    A les écouter, ils semble qu’il ne peut rien leur arriver de grave, puisque ” nous, on est les gentils” !..
    Ah bon?
    Faut quand même être sacrément con pour croire que montrer à un requin combien on aime se baigner fera de lui un ami fidèle…
    Mais c’est pourtant ce qui se passe.
    Même ma copine est à l’opposé de mes idées. Et ça, ça me fait vraiment mal. Mais j’ai l’impression qu’elle ne tient sa route que parce qu’elle ne voit en moi que ce qu’on lui a appris à voir, c’est à dire un salaud de facho. Si elle n’avait pas cette béquille à quoi se raccrocher, je suis certain que les discussions s’en trouveraient grandement facilitées.
    Mais pour le moment, c’est sans issue…

    • Oui nous livrons un combat désespéré et désespérant, Gentilitas, mais nous n’avons pas le droit de baisser la garde, même si nos plus proches ne nous suivent pas. Se rappeler, sans cesse, que toutes les révolutions, tous les changements historiques ont été mis en oeuvre par des minorités… Courage, tiens bon, on a besoin de toi.

      • Christine, dites “parfois désespérant”, ne dites pas “désespéré”, pas vous ! Ce n’est pas vous du tout.
        Je conçois que vous soyez épuisée et vous adresse cette remarque comme un amical signe de gratitude pour ce que vous avez fait jusque là. C’est énorme.

    • Gentilitas,
      tu te sentiras moins seul, si d’autres te témoignent qu’ils vivent le même ostracisme, surtout lorsqu’ils sont des humanistes bien éduqués. J’entends par “bien éduqués -avec une pointe d’auto-dérision- le fait d’être issus d’un milieu où l’on a toujours abhorré l’injustice, le racisme et la violence et où, élèves appliqués, on a été imprégnés à l’Ecole républicaine d’une lecture de l’Histoire favorable aux “minorités opprimées”.
      Lorsque nous nous éveillons du rêve bobo pour lequel nous étions si bien programmés, notre famille, nos amis nous rejettent en nous qualifiant de “fachos-qui-font-le-jeu-du-Front-national”. Ainsi me suis-je vu traiter par ma propre soeur qui, ayant vécu en Tunisie (pas pour des vacances) et y ayant enduré mille difficultés, sait MIEUX que moi la bêtise et l’intolérance que charrie le Coran.Mais en tirer la conséquence, c’est faire le dernier saut hors d’un monde d’illusion où tout devrait s’arranger par la magie de l’amour du prochain.C’est sans doute une névrose consolatoire et les gens préfèrent rester dans leur névrose, un opium comme un autre, à moins d’un choc qui les placerait dans une situation plus inconfortable que leur paisible statu quo intérieur..

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