9 Commentaires

  1. En tout cas, superbe coup de chausson ! Un plaisir pour les yeux ! Et c’est pour la bonne cause ! Allez, encore une fois, j’y retourne…

  2. Déception car ça ne se passe pas chez nous. En Russie, bien sûr, où les hommes ont encore des c…

    • Bonjours Huineng,
      J’ai même vu après dans uns supérette en Belgique les gérants corriger deux braqueurs.
      Les Arts Martiaux est important les amis, il faut y penser, et même le stand de tire aussi bien les hommes que pour les femmes.
      Et si même des anciens Légionnaires et Paras, même pensionnés au service de la France, même dans des camps d’entraînements aux combats tactiques, d’attaques d’approches, d’analyse et de défense aussi bien en campagne qu’en centre urbain.
      Rien que le faite déjà de prendre les transport en commun à plusieurs en cercle défensif, de défendre vos quartiers contre les envahisseurs et d’arrêter les zones perdu de république, avant que la France soit complètement perdu.
      Les agresseurs doivent savoir qu’ils risquent leurs vies aussi, bon Dieu nous sommes plusieurs dizaine de millions, nous sommes les plus forts en nombres déjà, nous devons plus compter sur les politiques, c’est des lâches.
      Protégez vos commerçants, vos familles, vos quartiers, la France, les Européens, et même contre ces antifa imbéciles.

    • oooohhhhh, merci. Je viens de bien rire, qu’est-ce que cela fait du bien! Trop bien le coup du nettoyage!

  3. c’est en Russie, ce serait en France le client serait poursuivi pour violence par l’avocat du braqueur.
    le client serait trainé devant les tribunaux et le braqueur relâché sans suite.

  4. Bravo le jeune asiatique ! Personnellement, quand j’étais ceinture blanche de karaté shotokan à Bordeaux , j’ai descendu de suite plusieurs arabes venant de Paris, en jiu-kumite ( combat à deux comme en boxe).
    Ces gars-là étaient ceinture marron, grandes gueules, arrêtant le combat pour “m’expliquer ( ?)” en détail, et souvent fuyants et bien lâches.
    En général, ils ne restaient pas longtemps dans notre dojo avec de vrais maîtres japonais.
    Nous, on ne parlait jamais, on s’entraînait.

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