Témoignage d’Aliza
Cas N° 1 – une femme de ménage/dame de compagnie embauchée pour ma mère de 1985 à 1996. Prénom : Khadija – très serviable mais ne parlant pas un mot de français. Elle le comprenait et habitait dans le 93, puis le 91.
Première demande : est-ce que tu peux remplir une attestation d’hébergement pour mon fils resté en Algérie car il veut devenir français. Stupeur, car j’avais besoin d’elle. Puis, je touve la parade en lui disant que » je n’ai pas le droit de le faire , bla-bla », c’est ce qu’on m’a dit à la Mairie. Elle a gobé. Ouf!! Elle a peut-être trouvé une autre personne plus malléable.
Suite : j’en suis encore toute étonnée – Elle exhibe quelques temps après sa CNI FRANCAISE. Elle ne dit pas un mot de FRANCAIS, ne sait ni lire, ni écrire. Analphabète XXL, mais très maligne. Elle connaît tout sur la SECU. Je me suis dit : » c’est l’ère Mitterand » ou un trafic de fausses cartes. Depuis, ma mère étant décédée, je l’ai perdue de vue.
NATIONALITE FRANCAISE DE NAISSANCE.
Mon frère et moi sommes nés en TUNISIE dans les années »50 » FRANCAIS de naissance (protectorat français de 1881 à 1956). Il y a eu des personnes devenues françaises sur demande au début du 20ème siècle, puis un decret de nationalisation, pour ceux qui le voulaient, publié au JO du 20 décembre 1923. Nous avons quitté la Tunisie (invivable) vers 1968/ 1970. Auparavant, mon frère a été appelé sous les drapeaux à 18 ans et a effectué son service militaire dans le corps des chasseurs alpins de la Valbonne (Ain). De Tunis, certains auraient pu avoir l’excellente idée de se débiner. Chez nous, cela ne se fait pas. Quant au frère de ma mère, Georges ( né en 1912), il a participé à la bataille de Monte Cassino en 1944 et a eu les pieds gelés. Jusqu’en 2000, quelques temps avant son décès, il a tenu à être porte-drapeaux des anciens combattants à Nice où il demeurait.
Tout cela, pour en venir au fait suivant : Demande de renouvellement de la CNI par mon frère périmée en août 2010 à la mairie de son domicile Paris 13 ( passeport valable jusqu’en 2014). Il faut prouver votre nationalité et celle de vos parents. Quoi ? mais voici mon passeport. Que nenni ! Puis, ce fut : présentation du carnet militaire : REFUSE – Acte de mariage de mes parents au Consulat de France à Tunis : REFUSE – Carte d’électeur de ma mère : REFUSE – ma propre CNI avec confirmation de ma nationalité par le TGI : REFUSE – Puis, CNI de ma mère, passeport de ma mère, carte de sécu : REFUSE. Finalement, par miracle, je trouve un document du TGI certifiant que ma mère est bien française eu égard au décret cité plus haut. Cela fut convaincant et il a obtenu le renouvellement. Cette bonne blague nous a » occupés » pendant 6 MOIS. Voilà ce qui est fait à d’honnêtes patriotes, travailleurs, payants leurs impôts et ne bénéficiant d’aucune aide.
Cette nouvelle facilité pour devenir français me met donc HORS DE MOI. ILS SONT DEVENUS FOUS. CE N’ EST PLUS VENDRE SON PAYS, C ‘EST LE DONNER !!!!!
Bonne soirée,
Aliza
Témoignage de Maria
Bonjour,
Je viens d’apprendre que des policiers ont été blessés lors d’un contrôle pour le port de la BURKA à Marseille !! Le plus fort c’est que les interpellés sont restés libres ! Mais où est-on ? Si vous faites la moindre remarque à un gendarme et qu’il la juge attentatoire à son autorité vous êtes sur le champ, arrêté et gardé à vue. Et là une bagarre générale sur la voie publique, pour un contrôle d’identité, et les musulmans impliqués sont libres !!!! On croit rêver… L’interpellée a 18 ans et porte la burka intégrale !! Vous n’allez pas me dire que ce n’est pas de la provocation… Elle a frappé les policiers et les « jeunes » de la cité sont venus frapper les agents de police.
Je me demande où cela va aller tout ça mais c’est très grave. Je n’ai jamais voté pour le Front National, j’ai par habitude (car la politique je n’y comprends rien) voté socialiste comme feu mes parents mais maintenant j’ai peur parce que ma fille s’est fait agresser par quatre jeunes (musulmans) de notre cité ( ils sont nés en France) et on est sur nos gardes tout le temps maintenant car j’ai eu tort (il parait) d’avoir porté plainte!
Cela fait quatre roues que je trouve crevées et on m’a cassé mon parebrise, des mots d’insultes sont dans notre boîte aux lettres et on nous a tagué notre porte. Nous allons être obligées de déménager de la cité car c’est devenu un enfer. Les policiers nous disent qu’ils ne peuvent rien faire car autrement cela va dégénérer en bataille rangée et le préfet ne veut pas de vagues !!!! Mais que devient notre France ?? Je regrette franchement de ne pas avoir voté pour Mme Le Pen car au moins elle ne leur fera pas de cadeau et stoppera l’immigration car si on continue cela va exploser. Je suis veuve et totalement désarmée contre ces agissements. C’est la première fois de ma vie que j’ai peur de sortir dans la rue en plein jour. Que dois-je faire ? C’est une amie qui m’a donné l’adresse de votre site, elle aussi s’est fait agresser en pleine rue à 4 h de l’après midi et elle a été battue car elle ne voulait pas lâcher son sac. Merci de m’avoir écoutée.
Maria
Témoignage de Philippe, à propos du ramadan
En prenant mon poste à minuit trente j’ai parlé à un collègue musulman dont l’épouse et ses enfants l’ont injurié car il ne jeûne pas.
Comme s’il pouvait conduire (ça c’est plutôt simple) charger (c’est plus dur) et décharger (encore pire car ça suit le reste et la fatigue est plus forte) puis recharger (on rentre pas à vide) et redécharger (au bout de 12 ou 13 heures de job) en faisant le ramadan !
La femme et les enfants de ce type sont simplement stupides, ils veulent du fric sans effort. Lui raisonne bien, il sait que le ramadan lui est impossible, il a d’ailleurs pris ses congés en septembre puisque comme il dit « avoir du temps libre le ventre vide il trouve ça idiot » mais les imams deviennent plus radicaux d’année en année et comme l’éducation nationale aà montré à ses enfants que savoir est inutile et qu’ils ont pleins droits à tout ils ne réfléchissent plus, la loi du bled a franchi les frontières et leur père devient un exemple à ne pas suivre.
Il est tellement excédé par tout ça qu’il à prétendu qu’il travaillait samedi pour ne pas rester chez lui.
Au final, un musulman passera la journée chez un vilain partisan FN pour être tranquille. Nous ça ne nous gène pas, il est sympa, mais comment pourra-t-il supporter ça jusqu’au bout du « mois sacré » ?
Philippe
513 total views, 2 views today
Finalement mon collègue musulman n’a pas passé l’apres midi chez nous, notre patron avait trouvé un transport entre Amiens et le Havre, ca à offert quelques heures de tranquillité à ce musulman qui en à marre d’être…musulman !
Aujourd’hui samedi, une journée qui semblait ordinaire, banale, ce ne fut pas le cas.
Ma femme et moi travaillons beaucoup. Moi pour un salaire faisant vivre ma famille, ma femme sans salaire pour pouvoir s’occuper de sa mère qui lentement s’approche de la fin.
Des courses à faire, je déteste ca mais bon, je pouvais pas laisser rouler ma femme elle est épuisée. Mon beau frère que nos filles adorent accepte donc de les garder.
Nous avons donc du temps devant nous et aucune raison de nous presser.
Nous voila dans un hypermarché à côté d’Amiens ou nous venons chaque semaine.
Quasiment pas de musulmans, deux ou trois tchadors, sommes nous victimes d’une faille du continuum espace-temps ? Avons nous été projetés dans les années 80 ?
Non c’est juste le ramadan et ca ce remarque facilement.
Nous croisons des femmes joliment vêtues, belles (moins que ma femme mais belles quand même) faire leurs courses sans se hâter d’éviter les pseudo don Juan spécialistes du « tu me plais file moi ton numéro »
Des mecs tranquilles, vêtus normalement mais avec soin qui profitent du calme créé par l’absence des musulmans ne supportant pas de voir un homme et tentant souvent de poser leur supériorité par ce regard haineux qu’ils ont toujours à dix contre un.
Des jeunes couples mignon et amoureux pouvant jouir du bonheur d’être deux et de pouvoir montrer leurs sentiments sans risquer le musulman jaloux de voir un mec bien dans sa peau au bras d’une beauté non désireuse de se cacher sous une tente mobile.
La France idéale quoi, une France telle qu’elle n’aurait du cesser d’être.
Bonjour à vous.
Je suis nouveau ici bien que je vous suis depuis un certain temps sans commenter, ainsi que d’autres sites résistants avec lesquels il faut bien dire vous êtes d’une utilité vitale pour le peuple souffrant.
Je profite de ce billet pour vous apporter mon témoignage personnel, qui est typique de la mode de l’inversion des valeurs que nous assistons au quotidien.
En réalité, les faits se sont déroulés il y a bientôt 2 ans, mais ce qui vu de l’extérieur pourrait être malheureusement devenu un banal fait divers est un traumatisme assez profond pour moi-même.
Donc voilà. C’était un début d’après-midi de septembre 2010. J’étais en route pour ma fac lorsque j’étais abordé par un groupe de ce l’on appelle des « chances pour la France » bien typiques devant la gare de ma ville de banlieue parisienne. Leur but ? Comme vous savez tous qu’ils sont friands de technologie gratuite et de violence, c’est donc de mon mobile dont ils avaient un faible pour. Je précise que ce n’était pas un mobile haut de gamme, mais passons.
Mauvais concours de circonstances, je recevais un appel au même moment, je vous laisse donc deviner la suite des événements : vol, assorti d’insultes racistes (je ne suis pas français de souche, mais asiatique d’Extrême-Orient) et de menaces de mort. Bref, tout ça sous le regard complaisant des passants !
Mais l’histoire ne s’arrête pas là. Après avoir été contraint de renoncer à assister aux cours prévus dans l’après-midi pour pouvoir porter plainte, j’eus toutes les peines du monde pour l’enregistrer. En effet, l’agression au eu lieu dans l’enceinte d’une gare sous vidéo-surveillance. Je me suis réjoui trop tôt car il s’est avéré que les caméras n’ont RIEN enregistré ! Évidemment, les images me sont interdites d’accès sous prétexte de respect de la vie privée des gens. J’ai dû également faire face aux accusations de faux témoignages portées contre moi-même par l’officier de police qui traitait ma plainte !
Finalement au bout de 4 heures de bataille, j’ai pu enfin déposer plainte sans me faire trop d’illusions sur les suites. La plainte a été immédiatement classée !
Mais le pire dans l’histoire ne fut finalement pas l’agression en elle-même, mais le comportement de mon entourage par la suite. En effet, j’ai eu droit non pas à des compassions, mais un lynchage en règle. Aucun soutien, juste des mots du style « bien fait pour toi », « c’est mérité », « honte à toi ». Je ne vous cache pas que j’ai entendu mes oreilles siffler pendant un bon bout de temps.
Bon le temps a passé, mais mine de rien, cette collaboration, car c’est bien de cela dont il s’agit, avec la racaille haineuse et raciste n’augure rien de bon pour ma pomme et celles de tous les résistants.
J’ai aussi d’autres histoires personnelles avec la racaille et l’islam que celle-ci, mais tous les raconter me prendra trop de temps et me mettrait en danger physique.
Bonne journée à vous et battons-nous !
Merci Valentin de ce témoignage supplémentaire d’une vie quotidienne de plus en plus difficile et du sentiment d’être terriblement seul, abandonné de tous et même des forces de l’ordre ! Oui battons-nous, nous ne pouvons compter que sur nous
J’ai un témoignage tout aussi édifiant.
Je suis Français pur jus depuis (au moins) une dizaine de générations. Je suis typé « français » ainsi que ma femme. Je me rends au tribunal d’instance pour avoir un certificat de nationalité pour passer un concours administratif, ma carte d’identité étant périmée depuis peu.
A l’accueil on me demande ma carte d’identité, je la donne, mais on me dit qu’elle est périmée. Forcément, sinon je ne serais pas venu… Je donne mon passeport en cours de validité mais on me dite que la nationalité écrite n’a pas de valeur (« le passeport est un titre de voyage, pas une pièce d’identité » SIC !!!). Je fournis la copie intégrale de mon acte de naissance de moins de 3 mois. Sur la marge de celui-ci est indiqué que je suis marié… Oups… Ma femme m’accompagne, heureusement. Car On lui demande de présenter une pièce d’identité prouvant qu’elle aussi est française. Elle l’est aussi depuis moult générations. On lui demande alors si ces parents sont Français. Ils le sont, mais ils ne sont pas avec nous pour le confirmer. On lui demande alors où sont nés ses parents. Sa mère en France, son père en Allemagne, après la guerre, fils de militaire. Répond-elle.
Et là, tout se complique. On me refuse mon certificat de nationalité. Car le père de ma femme étant né en Allemagne, on n’a pas la preuve de sa nationalité française. Cela pourrait alors avoir une conséquence sur la nationalité de ma femme (malgré sa carte d’identité valide) et donc – par le fait du mariage – sur la mienne !!! Je repars avec le sentiment de ne plus être tout à fait Français. Et surtout avec ce mauvais sentiment qu’on refuse de me reconnaitre en tant que tel par la justice de mon pays… C’était il y a 13 ans dans un Tribunal d’Instance de France.
Ben je suis atterrée. Au pays d’UBU… quand je vois en comparaison le trafic de faux papiers, les escroqueries à la sécurité sociale, les naturalisations et l’immigration à grande échelle je pense que je vis un cauchemar, je vais me réveiller, c’est sûr !
En 1996, j’ai occupé pendant 4 mois un poste de secrétaire chez un avocat, en intérim, pour remplacer une jeune femme en congé maternité. C’était une très bonne secrétaire, de nationalité tunisienne, qui avait fait une demande de naturalisation. Lorsqu’elle est venue nous faire admirer son bébé, elle nous a annoncé en même temps qu’elle avait obtenu sa naturalisation, ce dont je l’ai félicitée en lui disant « ah, que vous devez être heureuse! ». La-dessus elle m’a répondu « oui, car je vais enfin pouvoir retourner en Tunisie où se trouve mon mari, mais je ne voulais surtout pas y retourner les mains vides! Elle voulait aussi se faire renvoyer par son employeur pour pouvoir bénéficier des avantages accordés aux chômeurs. (Ce dernier, en bon Français n’a pas voulu céder et elle a été obligée de donner sa démission). Sa mère, qui vivait en France, avait pour consigne de renvoyer chaque mois à l’ANPE la feuille qui justifiait de sa présence en France. Comme je ne l’ai plus revue, je ne connais pas la fin de l’histoire, mais avouez que c’est édifiant !
Nous sommes escroqués par ce genre de gens et Valls les aide..
L’ennemi attaque partout . La preuve dans ce qui suit (et c’est avec nos impôts en plus):
Les menaces de SOS Racisme : « L’heure du grand coup de filet approche »
http://francaisdefrance.wordpress.com/2012/07/24/ca-sera-a-nuremberg-ou-a-moscou/
Une avalanche de « Twitts » pour les moins explicites (à voir et à diffuser) . La hache de guerre va-t-elle être déterrée bientôt ?
Ils sont en train de la déterrer mais.. nous ne serons pas en reste. Nous ne sommes pas de ceux qui tendent l’autre joue
C’est trés bien Christine de donner la parole aux « vrais gens » qui vivent dans leur quotidien les dérives communautaires de notre société. Celà n’est pas sans m’évoquer les registres de doléances remplis dans les paroisses à l’aube de la révolution. Peut-être est-ce une idée à creuser : établir des cahiers de doléances départementaux à transmettre à nos élus ?
Excellente idée Athenaïs, je garde pour les projets de rentrée de Résistance républicaine
Je plains tous ces gens, et je compatis aux turpitudes qu’ils doivent endurer. Ils vont (tristement) venir rallonger la liste quotidienne de tous ceux déjà dans leur cas. Marie-Neige Sardin commerçante au Bourget était la »précurseur » en la matière, puis plus récemment Sybil Vergnes, commerçante à Sumène, dans le Gard… et combien d’autres, comme elles, depuis.
Comme le « Bobo Jocelyn » … Maria finit par regretter d’avoir voté à gauche, et de ne pas avoir voté FN et constate, amère, l’étendue de la conséquence de son acte citoyen, et par extension de tous ceux qui ont fait de même.
Des agressions pléthoriques, des fermetures en cascades, des « belles » promesses en forme de « chant des sirènes » assorties de trahisons et de mensonges, une lâcheté patente des dangereux pantins irresponsables au pouvoir, etc… : tout est réuni pour une rentrée extrêmement mouvementée. D’aucun se diront surement que « lorsqu’on a plus rien à perdre, on a tout à gagner ». À ce rythme le carrosse va quitter la route avant la fin de l’année, et tant mieux oserais-je dire, car ça peut difficilement être pire.
La Clique, le Siècle, toute la Caste avec les « associations » : Terminus, tout le monde dehors !
A ce rythme il devrait se passer quelque chose en effet. Quoi ? Telle est la question