Dites non à un mahométisé, et vous aurez souvent droit à une plainte auprès de vos responsables…

Illustration : Pour les gauchos, cette affirmation est réservée aux autres, surtout pas pour eux !

Dites non à un mahométisé, et vous aurez 9 fois sur dix droit à une plainte auprès de vos responsables, auprès de votre employeur.

Comme par enchantement, ils connaissent toutes les ficelles, les interlocuteurs qu’il faut joindre, contacter afin de vous faire passer pour un tyran, et eux des victimes des méchants kouffars. Vous l’aurez compris, je baigne allègrement dans cette catégorie, avec une mention spéciale, celle de traître.

Je suis habituée à ce genre d’accusation car ne me pliant pas à cette dictature des sentiments mal placés.

Je vous le dis c’est miraculeux, alors qu’ils vous font tout un cinéma parce qu’ils ne connaissent pas, paraît-il, les procédures. Cela les lèse, leitmotiv rabâché à l’infini, dans l’accès à leurs droits, ah ah ah des droits, mais rarement des devoirs, n’est-ce pas !

Voilà donc quand c’est pour se plaindre et bien sûr obtenir ce que l’on veut, on sait bien où il faut s’adresser, on connaît comme par magie la moindre des possibilités. Leurs basses manœuvres me fatiguent, nous usent mes collègues et moi. Nous en avons assez d’être toujours remis en cause par des individus qui n’apportent rien à la société, si ce n’est que des ennuis. Ils se croient tout permis, ils s’imaginent que tout leur est dû.

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Mais, voilà ! Je suis, malheureusement pour eux, une personne qui applique les règles car je pense que la loi et son respect sont les gages d’une société pacifiée. C’est s’éviter une société livrée au chaos et à la jungle.

Je suis intraitable sur cette question et donc les pleurnicheries, les baratins, les mensonges éhontés ne marchent pas sur moi, d’autant plus que je connais la propension à la ruse et la fourberie d’une partie des musulmans. Comme dirait l’autre, je connais la musique ! Et pourtant, certains de nos chers dhimmis aimeraient FORTEMENT que je sois dans le même délire qu’eux, à savoir avaler tous les pipeaux de bien de nos gentils concitoyens mahométans.

Je dis non quand il faut dire non, et oui quand c’est oui, peu importe les arguments bidon que l’on me sert. J’en ai moi aussi des arguments, mais pour ma part, ils sont béton car ancrés dans le réel.

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Bien sûr, nous avons parfois des non musulmans qui peuvent ne pas être d’accord avec nos décisions, avec les règles du service mais avec eux, il est possible de parler, d’échanger et de finir par trouver un terrain d’entente. Il est rarissime de ne pas y arriver. Il faut vraiment tomber sur une personne bornée, mais même avec ce genre d’individus, vous n’avez pas de plaintes à vos supérieurs hiérarchiques. Cela m’est arrivé qu’une seule fois dans ma carrière, quand pour les adeptes de momo, cela s’est produit plus d’une fois, avec en prime pour chaque situation une malhonnêteté sans nom.

Trop d’enfants du chamelier savent très bien se faire plaindre, faire jouer les rouages de notre France tremblante, acculée face à leurs assauts.

Les responsables officiant dans nos services publics sont particulièrement à leur écoute. Beaucoup se prosternent devant eux, peu appliquent tout simplement le bon sens. Vous êtes agressifs, vous n’aurez rien. Vous êtes corrects, on pourra parler. Niet, tout cela, c’est apparenté à de l’inhumanité, de la méchanceté de votre part. Comme par magie, pour ces gens, les règles doivent être quelque peu assouplies, arrondies, aménagées. Et pourquoi SVP ? Parce que les pauvres vous comprenez, c’est tellement dur pour eux ! Voui voui !

Ceux qui se lèvent tôt le matin, qui doivent jongler entre leur travail, leurs enfants et tout le toutim domestique, quand pour nombre d’immigrés ou descendants d »immigrés musulmans  ’est une sinécure à laquelle ils sont soumis. Dormir jusqu’à point d’heure, se balader toute la sainte journée, papoter pendant des plombes devant les écoles de leurs enfants ou pour les hommes dans les cafés, ça c’est dur, ça ce n’est pas une vie !

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Voilà, par exemple, une situation illustrant mon propos, mon constat :

Y en avait une mahométane, douce comme un agneau, pas un mot plus haut que l’autre, nous lui avions dit que nous ne pouvions pas accéder à sa demande et là hop ni une ni deux, voilà qu’elle va pleurnicher auprès de nos instances du traitement horrible qu’on lui aurait réservé. Heureusement pour moi, on ne m’a pas trop enquiquinée car je n’ai pas la réputation d’être quelqu’un d’injuste, mais quand même cela a fait des remous dans notre service, et ce n’est pas franchement agréable.

Celle-ci, je me souviens, elle a fait des pieds et des mains pour obtenir ce qu’elle voulait, seulement ses justificatifs étaient des faux, c’était du chiqué. Elle était censée travailler alors que « que dal » ! Elle passait sa vie à ne rien faire, comme un certain nombre  de ses coreligionnaires !

L’administration a bien voulu y croire dans un premier temps, alors que franchement tout allait dans le sens du pipeau. Cela sautait aux yeux ! Les documents qu’elle nous avait présentés sentaient le faux à plein nez !!!

Elle avait voulu jouer à la plus fine avec nous, en portant plainte contre notre décision justifiée au millimètre près, eh bien cela s’est retourné contre elle. Pourquoi ? Parce que son stratagème a été déjoué. En se plaignant, elle a réveillé la bête sommeillant, celle qui se tait parce qu’on l’a sommée de le faire. Mais là, sa plainte était celle de trop ! Faut pas pousser mémé dans les orties ! On veut bien être con, mais il y a des limites à ne pas franchir. Eh bien, celles de nous faire passer, auprès de nos responsables hiérarchiques, pour des salauds, des incompétents. Cela est rédhibitoire !

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Ces dernières années, je constate que la flagornerie mahométane prend toute sa place et n’est jamais, ou que très peu inquiétée. Ce sont ceux qui la dénoncent qui vont l’être. Le monde à l’envers avalisé par bien des couillons.

Nous voyons régulièrement des aberrations dans nos services publics, mais chut faut pas le dire, c’est motus et bouche cousue !

Nombre de musulmans, eux, avancent, toujours plus d’ailleurs, et nous, nous reculons, toujours plus aussi. La boucle est bouclée. Ce qui a pour fâcheuse conséquence, des plaintes en cascade dès le moindre refus. Et là bim bam boum, il faut se plier aux demandes, que dis-je, aux exigences de ces adeptes de la sinistre peste verte.

On va dans le sens de gens infernaux, on leur trouve toujours d’ailleurs des excuses pour expliquer leurs comportements hors normes, inadmissibles, quand vous qui servez avec sérieux, engagement, votre service, depuis tant d’années, vous êtes lâché allègrement dans la fosse aux lions.

Voilà où nous en sommes dans notre France aujourd’hui. Permettez-moi de dire, que c’est tout simplement déplorable !!!

C’est chut chut chut, pas parler, pas dire, pas énoncer, pas déclarer, pas pas pas pas. Ça sonne comme une chanson mal ficelée. Les paroles de cette ritournelle finissent par démotiver beaucoup d’entre nous, agents de la fonction publique. Beaucoup sont usés, en arrêt maladie car faisant face à toujours plus d’agressivité de la part de certains. On ne nous dit jamais qui, mais on sait très bien de qui il s’agit. Tout le monde d’ailleurs le sait dans son for intérieur, même ceux qui les défendent.

Souvent ces derniers, eux, ne sont pas aux prises avec les adeptes de la RATP. Ils sont planqués dans les arrière-cours, ils ne sont pas en direct avec les féroces. C’est donc facile de dire mais non non, il ne faut pas se formaliser, ce n’est rien, ce n’est pas grave.

Bien sûr, je comprends surtout quand ces mêmes, qui vous demandaient d’être indulgents avec les enfants de momo, finissent par ne plus l’être quand eux-mêmes sont agressés. Alors là, bizarrement, nos chers responsables bienveillants, eux, pas comme nous les méchants, ben ils nous disent que ça va pas se passer comme cela, et donc qu’il faut renvoyer dans leurs pénates les sacripants ayant osé mal leur parler. Quand ce sont les agents du terrain qui dénoncent les comportements odieux d’arabo-musulmans, là faut pas être susceptible !!!!!, et quand ce sont eux les destinataires des gentillesses mahométanes, alors là hors de question d’accepter ces douceurs.

Oui pour vous, non pour nous, je dirais une philosophie partagée par bien des gauchos. Gentils, bienveillants de loin, de très loin, les embêtements laissés aux autres, et pas question d’être enquiquinés ainsi que tranquillité préconisée pour soi.

Pour avoir dénoncé les agissements de certains de nos chers adeptes de la plus belle religion ayant jamais existé sur Terre, on m’a bien fait comprendre qu’il fallait que je mesure mes propos, d’autant plus que j’avais refusé fermement d’être leur ballon de frappe.

Dans un monde à peu près logique, je n’aurais pas besoin de parler de tels faits dans un article, nous marcherions sur nos deux pieds et sûrement pas sur notre tête. Ce genre de faits n’existeraient pas, chacun devrait être à sa place, à savoir respectueux des institutions, des lois, des règles, surtout dès le moindre débordement, les contrevenants à l’ordre civique seraient sanctionnés sévèrement. Et là, je peux vous garantir qu’il n’y aurait pas beaucoup d’oreilles qui bougent.

Mais on peut attendre longtemps que cela arrive tant la soumission, dans notre France démocratique et humaniste, est la règle d’or ! Oui mais pour qui ?

Les donneurs de leçon sont de sortie. Eux, ils se pavanent loin des emmerdes quand vous, eh bien vous êtes aux prises avec une faune indomptée, indomptable qui vous cassera les pieds, quoi qu’il arrive, avec la bénédiction de ceux qui sont censés assurer la paix civile !!! Et c’est précisément cela qui est terrible…

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