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[…]selon une étude de chercheurs de l’université de Bielefeld, 8 victimes sur 10 de violences antisémites disent avoir été agressées par des musulmans. En Allemagne, comme en France, c’est le même phénomène : l’antisémitisme traditionnel n’est redevenu virulent que par le nouvel antisémitisme musulman.
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C’est la « féministe » Alice Schwarzer qui le dit… En réaction à l‘attentat de Halle, elle a écrit au Point pour protester contre la propagande qui voudrait que l’antisémitisme soit lié à l’extrême-droite.
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Déjà, en 2016, elle avait osé dénoncer la communauté turque et l’islam à propos des viols en augmentation en Allemagne.
Et elle s’opposait clairement au port du voile à l’école.
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Mais… mais cela reste une « femme de gauche » qui a conservé nombre des blocages de la gauche.
J’ai rencontré Alice Schwarzer qui est son amie chez Anne Zelensky, féministe historique ayant travaillé avec Simone de Beauvoir pour créer la Ligue du Droit des Femmes. Et les discussions furent âpres… Elle voue une haine mortelle à l’extrême-droite (on le voit dans l’article du Point, où elle accuse de tous les maux les dirigeants de l’AfD), et elle considère que l’on ne doit pas interdire le foulard mais discuter avec celles qui le portent…
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J’avais soulevé dans l’un de nos articles, en juin dernier, les contradictions et limites d’Alice Schwarzer, qui résument mieux qu’un long discours, nos divergences différends idéologiques.
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Tant que les féministes comme Alice Schwarter exonèreront l’islam de tous les maux, les femmes dégusteront
Et pourtant, Alice Schwarzer n’est pas une neo-féministe dégénérée, c’est une amie de notre amie Anne Zelensky, qui était si proche de Simone de Beauvoir…
Mais même les féministes historiques ont peur d’appeler un chat un chat. Et c’est à elles et à leurs jeunes successeurs, encore plus dhimmis que les journaleux font appel dans les medias pour porter la bonne parole au peuple.
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La dernière affaire en date est tout à fait symbolique.
Cela se passe en Allemagne.
L’Allemagne se déchire à son tour sur des caricatures sur l’islam
La dessinatrice Franziska Becker est accusée d’« islamophobie » et de « racisme » pour ses caricatures sur des femmes voilées. Comme l’était « Charlie Hebdo »…
Par Thomas Mahler
Sale temps pour les caricaturistes. Le 10 juin, le New York Times, quotidien le plus prestigieux du monde, a annoncé l’arrêt des caricatures dans ses pages, à la suite de la parution en avril d’un dessin jugé antisémite. En Allemagne, c’est au tour de Franziska Becker d’être au cœur d’une polémique qui rappelle tristement celles sur Charlie Hebdo. La caricaturiste et auteur de bande dessinée doit, le 29 juin, recevoir à Berlin le prix Hedwig-Dohm (une grande pionnière du féminisme allemand au XIXe siècle) récompensant l’ensemble de son œuvre. Mais sur Twitter, l’annonce a déclenché une avalanche de critiques.
En cause : des dessins jugés « islamophobes » et « racistes ». L’auteur féministe Sibel Schick estime ainsi que ce prix récompense un travail « misogyne » et qui « invite à la violence contre les femmes ». Le journaliste et éditeur Jakob Augstein a expliqué que « les caricatures sont bonnes quand elles rapetissent les grands, et non pas quand elles tapent sur ceux qui sont tout en bas. C’est pour cela aussi que les caricatures antimusulmanes deCharlies Hebdo étaient mauvaises. C’est une question de pouvoir ». Theresa Bücker, rédacteur en chef du magazine féminin en ligne Édition F, a, elle, twitté : « Pfff. Je viens de regarder quelques-uns de ses dessins, cela donne le vertige, ils sont si souvent racistes, surtout contre les femmes portant le voile. »
Lire aussi La fin du dessin politique dans le « New York Times » désole les caricaturistes
Une féministe qui n’épargne pas l’Église catholique
Née en 1949, Franziska Becker s’est engagée dans le mouvement féministe dans les années 1977. Pionnière dans un monde des caricaturistes très masculin, étant l’une des premières à traiter par l’humour du sexisme, elle collabore depuis 1977 au magazine Emma fondée par Alice Scharzer, amie de Simone de Beauvoir et féministe la plus célèbre outre-Rhin. Franziska Becker a aussi travaillé pour le magazine satirique Titanic ou l’hebdomadaire Stern. Dans un de ses dessins, on voit par exemple une nounou voilée qui explique « mon voile est mon choix de confort vestimentaire personnel. Cela n’a rien à voir avec mon travail ! », alors que, à ses côtés, des enfants jouent avec des « camions kamikazes » ou des poupées voilées. Un autre montre une banquière voilée qui déclare à un client : « Désolé, les versements ne se font plus qu’avec un accord écrit de l’époux, père, frère ou fils. » Si l’artiste ironise sur des personnages portant le voile intégral, elle n’a jamais épargné l’Église catholique par le passé.
Franziska Becker estime ces accusations « absurdes ». Selon elle, ses dessins ne se veulent pas critiques de l’islam, mais de l’islamisme. Pour Alice Schwarzer, qui s’engage depuis longtemps contre les islamistes, ces « fascistes du XXIe siècle », cette polémique représente « la première querelle allemande autour de caricatures ». « L’heure de l’idéologisation, de la police de la pensée et de la censure a sonné », assure la septuagénaire, qui est remise en question par les jeunes générations de féministes. Alice Schwarzer explique que Franziska Becker traite depuis 1991 des « fanatiques de l’islam » et des « propagandistes de la burqa », sans avoir jamais suscité d’indignations. « Vingt-huit ans après sa première caricature contre l’islamisme (et non pas l’islam !), voilà que Becker se voit reprocher d’être islamophobe et raciste. Une blogueuse d’origine turque a initié ces protestations – et certains l’ont suivie ». Alice Schwarzer rappelle que son magazine Emma est « fier » d’avoir été, au côté de Charlie Hebdo, le premier journal au monde à publier les caricatures de Mahomet en solidarité avec le danois Kurt Westergaard du Jyllands Posten. Le quotidien Die Tageszeitung, à gauche, a lui rappelé le célèbre mot du grand écrivain Kurt Tucholsky : « La satire a droit à tout. »
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Et voilà le travail. Au lieu de défendre le droit de caricaturer des voilées, de critiquer l’islam, Et l’artiste Franziska Becker et la féministe Alice Schwarzer d’affirmer, la main sur le coeur, que tout cela n’est que critique de l’islamisme…
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Nous avions déjà regretté, à propos des agressions sexuelles de Cologne, la réaction à la fois courageuse et ambiguë d’Alice Schwarzer :
[…]Note de Christine Tasin
L’analyse d’Alice Schwarzer est globalement juste mais on ne pourra que regretter qu’avec son expérience et son engagement de féministe historique elle erre encore quelque peu (voir passages surlignés dans la traduction), faisant la différence entre islam et islamisme, entre islam et fanatisme, qu’elle croie encore aux mirages de l’intégration et qu’elle n’ose pas dire que c’est l’islam et non la guerre qui fait des barbares… Quant à donner une autre chance à ces barbares, on est bien obligés d’y voir un vestige de plus d’une idéologie gauchiste primaire qui préfère l’autre aux siens.
Pas d’intégration possible pour des musulmans, c’est Hassan II en personne qui le répétait… Alors les barbares qui agressent et violent à tour de bras… Tout cela jette hélas un discrédit sur la parole sans langue de bois de la féministe historique qu’est Alice Schwarzer à propos des Turcs.
Elle a encore du chemin à faire, des efforts mais peut mieux faire… Surtout quand on sait que, faisant partie du jury du prix Simone de Beauvoir elle a voté elle aussi pour le gagnant, le maire dhimmi de Lampedusa, Giusi Nicolini, « pour son action courageuse et pionnière en faveur des réfugiés« . ..
Décevant, pour ne pas dire désespérant…
[…]
Y a-t-il autre chose à ajouter ?
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On ne le dira jamais assez. L’heure n’est pas plus aux demi-mesures, aux « mais quand même », aux « on ne peut pas dire cela ». L’heure est à la dénonciation claire, sans ambiguïtés, de l’islam, de l’islam tout court. Et le reste n’est que littérature enculage de mouches nous menant à notre disparition ou à la guerre.
Arrêtez de bouffer des cachetons, arrêtez de jouer les autruches, arrêtez d’avoir peur de choquer, il y a le feu au lac.
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« Selon elle, ses dessins ne se veulent pas critiques de l’islam, mais de l’islamisme. »
Il faudrait qu’elle explique ce que « islamisme » signifie exactement.
Car si l’islam est à « l’islamisme » ce que l’alcool est à l’alcoolisme, alors il est à consommer avec modération et si possible s’abstenir (et en interdire la diffusion aux mineurs)
Le Sursaut : Talk de David Vallat, ex-djihadiste
https://www.youtube.com/watch?v=i1Tbuxp_jbU
15 avr. 2016
Le 4 avril 2016, s’est tenu au Théâtre Déjazet, à quelques pas de la place de la République, devant près de 1000 personnes, « Le Sursaut ».
« Comment créer de l’engagement civique ? » par David Vallat, ex-djihadiste.
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UPOP – Témoignage de David Vallat – du Djihad à la laicité républicaine
https://www.youtube.com/watch?v=zYAM8VtvlfM
20 mai 2018
Le 3 mai 2018, l’upop et le Lyon Bondy Blog recevaient David Vallat à Chasse sur Rhône, ou il témoignait sur son parcours, entre formation au djihad pour le GIA, la prison, la réinsertion et l’adhésion aux valeurs de laicité républicaine.
David Vallat le décrivit dans son livre « terreur de jeunesse » paru en 2017
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Les 4 vérités – David Vallat – 2016/04/29
https://www.youtube.com/watch?v=wt8uRST-hzA
29 avr. 2016
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David Vallat
https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Vallat
Bof ! » Ce n’est pas une critique de l’islam mais de l’islamisme »
Je ne connaissais pas cette dame, et je continuerais à ne pas la connaitre . Une féministe qui ne critique pas l’islam est comme une pièce de 2€ qui passe de main en main.
et en France c’est combien ?!
Je parle des assassinats seulement !
100%
Avec le même livre et les mêmes mots les musulmans peuvent soit nous faire un baiser (de vipère avec la taggiya) ou nous égorger… le problème est là ! il faut bruler ce livre par principe de précaution. Les cheminots foutent le bordel aujourd’hui au nom du principe de précaution et bien faisons de même avec les musulmans que nous devons boycotter au nom du principe de précaution : une voilée veut accompagner nos enfants en sortie scolaire, boycottons ces sorties, un musulman veut vous parler, et bien ignorez le au nom de ce même principe, un gars ou un fille (moins de fille) musulmane est chanteur, acteur,… on ne lui donne pas de pognon en achetant,. Les kababs, leurs commerces,…idem et les petits cons qui achètent du shit à ces muzs des cités allez faire du sport….(tiens un sport de combat comme toutes ces racailles qui préparent leurs générations futurs en en faisant des armes de guerre avec leurs poings)
Partout où passe le musulman, passe le texte de l’islam. Chaque musulman est le vecteur dans le monde du texte de l’islam. Le texte de l’islam enjoint le musulman au meurtre, à la duplicité qui le précède, au terrorisme qui l’accompagne, au viol qui l’agrémente. Les gangsters de Mahomets étaient illetrés et terroristes au service de l’islam. Les attaques perpétrées par des individus isolés qui se taisent sont aussi bien au service de l’islam que celles réalisées par des individus qui se concertent en groupe et s’identifient comme militants de l’islam. Tous les faits sont là. J’imagine que les féministes ne le voient qu’à moitié car 50% des victimes sont des hommes… plus le pourcentage constitué par les enfants qui sont le dernier des soucis des féministes médiatiques sauf pour les avorter ou changer leur genre dans l’univers des alphabets. Par « solidarité entre vagins » idiote les féministes ne condamneront certainement pas l’éducation des petits musulmans au jihad, élément fondateur et fondamental de l’islam. Maternage criminel des enfants par les voilées, soldates agressives approuvant l’incroyable mais très réelle violence systématique de la secte de Mahommet.
Les féministes font la leçon à la terre entière en expliquant que dans la violence contre les femmes les mots méchants précèdent et signalent l’imminence des coups.
Et voilà l’islam étalé sous leurs yeux dans toute sa « splendeur »: des mots ultra violents et sans équivoque menaçants mur à mur dans tous les textes de l’islam de base jusque dans l’interprétation sophistiquée, puis la violence autorisée, elle aussi présente mur à mur sur toute la terre où passe un musulman (consulter le site thereligionofpeace.com qui recense les attentats meurtriers perpétrés au nom de l’islam depuis 2001: déjà presque 37000, activer le traducteur sur la barre d’adresse pour le français, additionnez les nombres de morts par attentat meurtrier, prenez en compte les blessés et les dégâts matériels).
Meurtres, viols, terrorisme, torture dirigés contre les pas musulmans, tous annoncés textuellement et très exactement actés physiquement.
Ces « féministes » qui tournent autour du pot ensanglanté de l’islam qu’elles s’évertuent à ne pas voir font monter en moi un mépris profond vis-à-vis cette élite auto-proclamée et sans honte de sa propre vacuité, irresponsabilité, imbue d’elle-même malgré un cerveau d’amibe destructeur, criminalité de déni de réalité et de mise en danger de la vie d’autrui par leurs mensonges vis-à-vis leurs contemporains et les générations futures.