ISRAËL : méfiez-vous de Soros, le juif complice des nazis !

ISRAËL : Georges Soros ou le Requiem pour Auschwitz

Après les pogroms contre les juifs en Russie en 1821 à Odessa, en ce 19^ème siècle, s’inspirant, entre autres du récit du fondateur, Theodor Herzl, apparaît le mouvement sioniste. Dès lors, des vagues d’immigration vers la Palestine s’intensifient et les juifs se mobilisent pour la création d’un foyer national. Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l’ONU en 1947, avant que David Ben Gourion ne proclame l’indépendance d’Israël en 1948

Après leur destruction industrielle par les nazis, les juifs survivants prirent leur destin en main, pour que plus jamais, une entité politique maléfique ne vienne les détruire. Le « plus jamais ça … » était né, ainsi que le mot « génocide ». C’est en 1944 que le mot « génocide » fut pour la première fois utilisé par un avocat Polonais, Raphael Lemkin. Il se compose du préfixe grec « genos », qui signifie race et du suffixe latin « cide », qui renvoie à la notion de tuer.

Israël est un micro-état avec une population réduite, dans un océan d’hostilité arabe en surnombre. Des projets d’entente se sont forgés depuis la création d’Israël. Le plus spectaculaire ayant été « Les accords de Camp David », le 17 septembre 1978, signés entre Menahem Begin et Anouar El Sadate. Premier du genre après la création d’Israël. Voir l’excellent article de « Jeune Afrique », qui dresse la chronologie des tentatives d’accords.

Derniers en date, « les accords d’Abraham » sous l’égide de Donald Trump en 2020. Changement de stratégie pour le POTUS (President Of The United States Of America). Plus question de mettre en présence Palestiniens et Israéliens. Les chiites, proches de l’Iran, mis à l’écart des négociations, visent à entamer un processus de normalisation entre Israël, Bahreïn, Les EAU, le Soudan et le Maroc. L’Arabie Saoudite était la prochaine sur la liste avant le déclenchement des hostilités du 7 octobre 2023. « Jeune Afrique » croit savoir que le processus de normalisation semble fragiliser la position palestinienne et rendre de moins en moins crédible la solution à deux États.

https://www.jeuneafrique.com/1491961/politique/israel-palestine-la-chronologie-des-tentatives-daccords/

On les trouve majoritairement à gauche et extrême. Ils sont islamocollabos. Leur chef est Mélenchon, devenu récemment l’ambassadeur du hamas, qui, pour exister, profite du système et drague, faute d’autres électeurs, les musulmans. Ce qui est anti laïque et anti-républicain. En république française, il n’y a que des Français sans distinction. Melenchon n’a jamais rien fait d’autre qu’être un apparatchik politique, inciter à la haine raciale sans être arrêté, sous prétexte de défendre les Palestiniens, sans nommer le hamas, groupe terroriste, pour lequel les Palestiniens ont voté.  Parmi cette faune, en France, bien peu de patriotes. Je ne dis pas qu’il n’y a pas de patriotes à gauche, puisque certains se disent toujours de gauche et souverainistes. Je pense à Finkielkraut et Onfray, je dois en oublier quelques-uns, ajoutez les anonymes.

Georges Soros, juif Hongrois de famille aisée, a commencé sa funeste carrière anti-juive, en se faisant passer pour chrétien, pour échapper à l’holocauste.  Selon ses aveux propres, sous l’occupation nazie de son pays, il dépouillait pour le compte des nazis des juifs fortunés pour remettre le fruit de ses pillages à l’occupant. Il avait 14 ans. Tout sourire, il affirme, cynique, dans cette interview que : « Si ce n’avait pas été moi, ç’aurait un autre ». Le modérateur lui demande s’il a des regrets. Pas de regrets.  Il est né le 12 août 1930 à Budapest sous le nom de György Schwartz. Un psychopathe, je ne peux dire mieux.

Récemment, Elon Musk fut traité d’antisémite pour avoir critiqué Georges Soros, comme nous le révèle entre autres, le Belge « BUSINESS AM ». Ce cher Elon en remet des couches en lançant qu’il n’en a rien à foutre de perdre de l’argent, la liberté d’expression avant tout. Courageux Elon, qui ne dit que la vérité sur ce funeste personnage « qui hait l’humanité » selon lui,  et les juifs en particulier, selon moi.

https://fr.businessam.be/musk-soros-polemique-accusations-antisemite-tesla-twitter/

C’est en 1956 qu’il s’établit à New York pour y exercer la profession de trader pour F.M. Mayer jusqu’en 1959. Il se spécialise dans les bourses européennes qui commençaient à devenir populaires auprès des investisseurs institutionnels US, suite à l’inauguration de la Commission Européenne du charbon et de l’acier (CECA), qui devint plus tard, le marché commun. Il continue son chemin européen, en faisant sauter la Banque d’Angleterre en 1992, empochant au passage des fortunes, qui lui permettent entre autres de corrompre plus de 200 députés Européens, ce dont l’accuse ouvertement et en séance, l’homme du Brexit, Nigel Farage.

Ce livre des « alliés sûrs de Georges Soros au sein du Parlement Européen et autres instituts de l’UE » a disparu de son site européen, en revanche, on peut le trouver sur celui-là.  Les métastases Soros au sein des institutions européennes.

https://legacy.gscdn.nl/archives/images/…

Simplement parler de Georges Soros est immédiatement considéré comme antisémite. Ceux qui lancent cette affirmation, distordent la réalité. C’est Georges Soros qui est antisémite, comme l’affirme le fondateur de JNS (Jewish News Syndicate), Farley Weiss, qui est aussi le président de la ISRAEL HERITAGE FOUNDATION et ancien président du NATIONAL COUNCIL OF YOUNG ISRAEL, ainsi qu’un avocat de propriété intellectuelle, associé au cabinet Weiss & Moy.

https://www.jns.org/george-soross-role-in-the-rise-of-american-antisemitism/

Ce sont les défenseurs de Georges Soros qui insultent d’antisémites ceux qui le critiquent, arguant bêtement que Soros est juif lui-même. Et alors ? Il finance des associations antisémites, comme J Street, qui s’annonce sans rire, être pro Israël, mais pas seulement et nie sur son propre site être financé par le soi-disant « philanthrope ».  

https://jstreet.org/about-us/myths-facts-about-j-street/our-contributors/

Il y a Kenneth Roth, qui préside Human Rights Watch, qui a transformé l’ONG en une machine anti israélienne, qui a persuadé Soros de lui faire la largesse de 1 million €. On notera que le très à gauche « HAARETZ » désigne que la générosité de Soros est accordée à des associations « libérales-pro Israël ». Voyez la différence de vocabulaire qui distord la vérité de la destination de ces fonds, comme chez J Street.

Le MAGYAR NEMZET de Budapest en anglais, dans son article du 12 octobre 2023 titre : « Georges Soros soutient depuis longtemps les mouvements anti Israël ». Illustré par une liste de donateurs du radical Al-Shabaka, dont est la Open Society de Georges Soros. L’on peut consulter une vidéo du célèbre avocat Américain juif, Alan Dershowitz, qui défendit les positions anti Soros de Elon Musk en déclarant : « Personne n’a jamais autant nui à l’existence d’Israël, spécialement parmi les ‘progressistes’, que Georges Soros. » Fin de citation.  Le journal croit savoir, document à l’appui, que le milliardaire « philanthrope » a fondé le groupe radical pro hamas : AL SHABAKA, qui déclare, un jour avant l’attaque génocidaire du hamas, dans un tweet en anglais relayé par le journal dont je traduis les propos « d’une rare subtilité » pour expliquer qu’il faut effacer Israël de la surface de la terre.

7 octobre et ses atrocités du hamas, comparables à celles des nazis, dont Hitler appréciait tant l’islam. Une division SS islamique fut même créée en Bosnie, passée en revue par le Grand Mufti de Jérusalem, Hussein Husseini. On se souviendra de Leila Shahid, dont j’ai fait la connaissance durant un cocktail à l’AN, sous Jean-Louis Debré, qui est la nièce de ce Mufti et qui fut de 1994 à 2005 déléguée de la Palestine en France. Une femme enjouée mais qui se fermait à l’évocation d’Israël avec le lambda que je suis. Petit souvenir en passant.

Si jamais cette funeste situation menait à la rupture de tous les accords entre Israël et les Arabes, au regard des manifestations très denses, globalisées, pro palestiniennes en Occident ou des masses musulmanes bien plus nombreuses qu’avoué par les pressetituées sont établies, j’imagine que l’accomplissement d’un Auschwitz 2 pourrait être possible sur le sol même de la terre promise. Que peut faire Israël contre des milliards de musulmans, qui ont aujourd’hui les moyens de leurs ambitions, effacer « l’enclave juive », grâce au gaz et au pétrole ? Contre des hordes sauvages islamiques qui aiment la mort ? J’arrête mes funestes pensées, espérant que des hommes raisonnables, influents et suffisamment charismatiques, pourront mettre un terme à cette très dangereuse situation pour le monde, afin qu’un Requiem pour Auschwitz ne reste qu’une vue de l’esprit et que ce conflit ne dégénère pas sur notre terre, la France.

Sylvia Bourdon

24 octobre 2023

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