Bonne Nouvelle !
JO 2024 : les athlètes françaises n’auront pas le droit de porter le voile, a annoncé la ministre des Sports
Amélie Oudéa-Castéra, la ministre des Sports, a indiqué ce dimanche 24 septembre que les athlètes françaises ne pourront pas porter le voile lors des Jeux olympiques de Paris 2024. La ministre justifie cette décision pour “la neutralité absolue du service public”.
À dix mois des Jeux olympiques de Paris 2024, la ministre des Sports a affirmé que le port du voile sera interdit pour les athlètes françaises. Amélie Oudéa-Castéra a fait cette déclaration ce dimanche 24 septembre sur le plateau de Dimanche en politique, diffusé sur France 3. “Pour ce qui est de la position française sur le sujet [des athlètes voilées, NDLR], nous avons, à la faveur d’une décision récente du Conseil d’État, exprimé de manière très claire avec la Première ministre notre attachement à un régime de laïcité stricte, appliqué strictement dans le champ du sport”, a expliqué la ministre en précisant : “Ça veut dire l’interdiction de toute forme de prosélytisme, la neutralité absolue du service public.” Et cette neutralité absolue, pour le Gouvernement, c’est d’interdire le port du voile aux athlètes.
Les sportives françaises qui participent aux JO ne pourront pas porter le voilependant les épreuves et les matchs qui se dérouleront du 26 juillet au 11 août 2024. Une décision qui va à l’encontre de celle de la Fifa qui autorise le hijab (voile ou foulard qui laisse le visage découvert) pendant les matchs depuis 2014, rappelle 20 Minutes. Pendant la Coupe du monde de cet été 2023, la Marocaine Nouhaila Benzina est devenue la première joueuse de l’histoire de la compétition à jouer en hijab
Le sport et le port du voile en France
La FFF, Fédération française de football, interdit depuis 2016 “tout port de signe ou tenue manifestant ostensiblement une appartenance politique, philosophique, religieuse ou syndicale”. En juin dernier, le Conseil d’État avait décidé de maintenir l’interdiction du port du voile pendant les matchs organisés par la FFF, après avoir été saisi par le collectif Les Hijabeuses. Ce collectif de joueuses milite depuis 2020 pour que les sportives puissent garder leurs foulards pendant les matchs. “C’est une question de dignité. Personne ne doit choisir entre sa dignité et le fait de jouer au football”, explique Founé D., la présidente du collectif sur son site officiel. La fédération française du Handball autorise le port du hijab mais pas du foulard autour du cou, comme pour la fédération française du rugby, par mesures de sécurité pour les joueuses, rappelle TF1
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Une tarte dans la gueule, un coup de pied au cul et retour au bled avec leur torchon sur la tronche !
Pauvres filles ! s’obliger à porter ce bout de tissu sur la tête, symbole de soumission pour nous françaises, et vouloir nous faire avaler que c’est pour cette religion de paix et d’amour, quel mensonge ! On peut dire que des muzzs deviennent vraiment très lourds et insupportables, avec toutes leurs exigences à deux balles : voile, ramadan, halal, mosquées mais aussi hélas leurs agressions, crimes, viols, vols. Et dire que nous n’en serons jamais débarrassés grâce aux foldingues politicards et médias qui veulent nous les imposer de toute manière qu’elle soit.
Proposons-leur d’immigrer au Pakistan ou en Iran, c’est là-bas qu’est leur place.
Du vent !!! on ne les supporte plus !!
Pour celles qui ne veulent pas respecter les lois françaises, on peut leur proposer un retour en pays islamique.
Elles ne peuvent pas avoir le beurre et l’argent du beurre.
Marre de ce prosélytisme envahissant, comme les migrants qui arrivent sans être invités.
Donc pour la foufoune celles qui ne mettent pas de serpillères sur leurs têtes sont des femmes indignes. Difficile de faire mieux dans l’intolérance. Qu’elle aille jouer à la baballe dans un pays musulman et qu’elle arrête de nous emm..der
Dire qu’en Iran des femmes meurent pour ne pas le porter, qu’en Afghanistan d’autres sont tenues de le faire , et qu’ailleurs des connes râlent parce qu’on l’interdit. Ce monde est bizarre.