Ces néo-nazis qui grouillent autour de Zelensky

Après 1945, vaincus militairement par les Soviétiques, un peu aidés par les Américains à la fin, les complices d’Adolf étaient liquidés ou en fuite. Leurs sous-fifres faisaient profil bas. Ceux qu’on n’avait pas pendus se terraient dans les pampas et les sierras sud-américaines, où des agents du Mossad viendraient les débusquer.

On a cru le nazisme mort et enterré. Malgré quelques bémols avec ces scientifiques dévoyés récupérés par l’URSS et les USA. Ou ces officiers SS à la Walter Hallstein et ces collabos façon Robert Schuman, ministre de Pétain, recyclés à la tête de l’Eurocrature sous la houlette de la CIA… On avait besoin d’eux pour gérer les champs de ruines, il fallait faire avec. Mais on ne voyait pas que le nazisme continuait à prospérer. En Ukraine, sans ostentation mais sans se cacher non plus. Et en Allemagne. Plus discrètement, en attendant l’heure de la revanche.

Comme dans un film gore, le monstre n’était qu’à moitié mort

Les théoriciens et organisateurs du national-socialisme n’étaient pas tous des brutes épaisses. Parmi eux, certains avaient une pensée cohérente, très structurée, bien qu’éminemment malsaine. Aujourd’hui, leurs héritiers spirituels ont réussi le tour de force de reprendre le flambeau sous divers déguisements en Allemagne et en Ukraine. Avec l’appui inconditionnel des USA, aveuglés par leur haine de la Russie.

Les Boches n’ont jamais digéré la raclée de 1945. Mais c’est un peuple besogneux, discipliné et patient. Ils ont rasé les murs et serré les fesses, le temps de se faire oublier. Puis l’Eurocrature qu’ils dominent économiquement leur a livré les clés de la citadelle.

Ils organisent, décident, tancent, imposent leurs volontés aux États membres rattachés au IVe Reich, et rares sont les nations qui s’y opposent. Tout s’achète. Leur plus joli coup fut d’installer à la tête des institutions, sans passer par les urnes, une mère de famille pourrie jusqu’au trognon, mais d’apparence anodine. Qui aurait pu s’appeler Adolphine tant son autoritarisme est patent. (Le führer officiel Olaf  Scholz fait juste un peu de figuration pour la galerie)

En Ukraine, ils vont faire encore plus fort : utiliser un faux Juif comme paravent. Après la Shoah, il fallait quand même oser… Jusqu’en 1991, les néo-nazis ne jouaient pas en équipe nationale. C’était le privilège des soviets. Mais dans les oblasts (régions), les mairies et les grandes entreprises, ils tissaient leurs toiles, attendant leur heure. Zelensky allait leur fournir un alibi de rêve. Quand on lui reproche son entourage de néo-nazis, il répond : « Je ne peux pas être nazi puisque je suis juif ».

En fait, il n’avait reçu aucune éducation religieuse, ne parlait ni le yiddish ni l’hébreu, et avant de devenir dictateur, il se disait laïc et athée… Ce n’est qu’en 2022, lorsque la Russie vient secourir les Russes persécutés du Donbass que le Zygomyr se la joue « rabbi Jacob ». C’est habile, sachant que New York est la plus grande ville juive du monde.

L’étiquette infamante de nazi qui colle à ses comparses ne le dérange pas

Assuré du soutien inconditionnel des cyniques US et des sinoques UE, il publie sans complexe sur son compte Instagram, le 14 août 2023, une vidéo dans laquelle il congratule le néonazi Andriy Biletsky, cofondateur du régiment Azov (dont l’emblème est la wolfsangel des Waffen SS). Un type qui avait publiquement déclaré que « la mission de l’Ukraine consiste à mener les races blanches du monde dans une croisade finale contre les untermenschen (les sous-hommes) dirigés par les Sémites. »

Dans cette vidéo et dans d’autres figure aussi Maxim Jorin, un valeureux combattant anti-Russes qui arbore fièrement la tête de mort de la 3e Panzerdivision SS Totenkopf connue pour ses innombrables crimes de guerre, y compris en Ukraine occupée.

Mais aussi Denis Prokopenko, commandant du régiment Azov qui revendique son national-socialisme, promu « héros de l’Ukraine » par le Zygomyr en mars 2022. En bonne compagnie. Celle du gauleiter Stepan Bandera, un Ukrainien binational qui avait fait ses classes au siège de la Gestapo à Berlin.

L’antisémitisme cauteleux des médias français

Acharnés contre les dérapages de Dieudonné M’Bala, et les propos ambigus du père Le Pen naguère, ils tolèrent sans sourciller les appel à la haine d’un Médine et de ses coreligionnaires, et ne se formalisent pas de l’entourage néonazi du Zygomyr. Les nazislamistes ne sont pas une vue de l’esprit mais une réalité !

Peut-on parler d’indifférence, de négligence ou d’ignorance quand le Parlement européen, après avoir soutenu le terroriste Yasser Arafat, invite toujours plus de mahométans à venir s’installer en Europe… et exprime sa solidarité aux reîtres d’Azov dont il glorifie les exploits. Comme en octobre 2022, en affichant pendant la cérémonie de remise du Prix Sakharov, une photo en tenue d’un officier du régiment néo-nazi… Compte tenu des pouvoirs exorbitants qu’elle s’est arrogés, lui permettant de tout contrôler, difficile de croire que la Bochesse Ursula la Hyène ne s’est pas délectée de cette revanche sur l’Histoire.

Personne n’a voulu voir le régime nazi de Kiev

Depuis la prétendue « révolution orange » de décembre 2004, fomentée et dirigée par la CIA, les russophones n’ont cessé d’être harcelés. Dans un premier temps, les brimades, les agressions et les humiliations se multiplient pour leur faire comprendre qu’ils feraient mieux d’abandonner leurs maisons et de s’exiler en Russie.

Mais il est difficile de faire appel aux militaires de l’armée régulière pour commettre ces exactions parce que, pour un certain nombre, des mariages et des filiations les lient à des familles russophones. Rien d’étonnant à cela. Jusqu’à ce que la CIA s’applique à envenimer les relations inter-communautaires, en amplifiant les conflits de voisinage, les deux peuples cohabitaient. Slaves, parlant des langues proches avec des modes de vie similaires, ils n’avaient aucune raison de se faire la guerre. Une autonomie régionale aurait suffi à apaiser les tensions.

Mais cela n’arrangeait pas les stratèges de Washington. À commencer par la sorcière Madeleine Albright qui, jusqu’à sa mort en mars 2022, a submergé les divers Présidents de notes et de mémorandums. Les invitant à monter en épingle le moindre prétexte pour faire la guerre aux Russes et les dépouiller d’une partie de leurs territoires et de leurs richesses naturelles. Car elle les croyait toujours faibles comme quand elle avait piloté le dépeçage de la Serbie.

Des gibiers de potence au service du mondialisme anti-russe

A-t-on déjà oublié que les paramilitaires d’Azov étaient au départ un gang de hooligans, voleurs de voitures, dealers, proxénètes, supporteurs bagarreurs de matches de foot, avec un pois chiche en guise de cervelle ? Il n’a pas été trop difficile pour des néonazis fanatiques de les endoctriner avec le culte du chef et la valorisation de la violence. En échangeant leurs condamnations contre un engagement dans la milice.

À partir de 2014, ces milices nazies, parfois intégrées dans des corps d’armée officielle, répandent la terreur dans le Donbass, massacrant, incendiant, bombardant, détruisant à tours de bras… Par la suite, leurs « compétences » seront utilisées lors de la calamiteuse contre-offensive, non pour se battre en première ligne, mais pour tirer dans le dos de ceux qui reculent. On ne fait pas des chiens de guerre avec de vulgaires assassins.

Les hostilités continueront jusqu’en 2022, faisant dans les 15 000 morts et causant l’exode d’un million et demi de personnes ainsi que la ruine de la région la plus industrialisée et dynamique de l’Ukraine d’avant. Malgré les accords de Minsk, prévoyant des consultations populaires en vue d’une éventuelle autonomie, déchirés avant même que l’encre soit sèche. Ces « chiffons de papier » selon la terminologie nazie des Boches, ne devaient servir qu’à gagner du temps pour armer l’Ukraine. La mémère Merkel l’a reconnu publiquement et cyniquement.

Tout le monde savait mais l’OTAN a interdit d’en parler

Avant février 2022, plusieurs rapports d’Amnesty International et de l’ONU relevaient un nombre inquiétant de crimes de guerre commis au Donbass par des paramilitaires soutenus par le gouvernement de Kiev : enlèvements et rackets de civils, détentions arbitraires, tortures, viols, exécutions par décapitation d’otages et de prisonniers de guerre. Mais, très étrangement, une épidémie d’amnésie sélective a frappé ces bons apôtres, dès lors que Poutine a décidé de venir s’occuper des criminels.

Nos chaînes de désinformation continue n’avaient pas attendu les opérations de février 2022 pour passer sous silence les assassinats de russophones, le renforcement des bandes des miliciens néo-nazis équipés d’armes lourdes fournies par l’Occident, la corruption généralisée à tous les niveaux de l’État mafieux ukrainien, le nombre record d’exécutions politiques, le gel des élections, et l’interdiction de tous les partis sauf celui qui soutient le Zygomyr. Un nabot insignifiant manipulé par des forces obscures, qui a fini par se prendre pour un seigneur de la guerre.

Christian Navis

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