Coronafolie : ils ont refusé de soigner le cancer de sa mère et l’ont laissée mourir

Covid-19 et folie sanitaire. Un Américain raconte comment par peur et par refus de soin, des médecins ont ignoré le cancer de sa mère et l’ont laissé mourir

 

La période Covid-19 a été une effroyable période de tyrannie et de folie sanitaire. Masques obligatoires, vaccinations obligatoires y compris pour des publics n’en ayant pas besoin, persécution mentale des enfants et des réfractaires…mais aussi, terreur sanitaire, et abandon d’une partie de la population, par peur, par irrationnalité totale.

L’exemple de cet américain patriote, très suivi sur les réseaux sociaux, et qui témoigne de l’horreur qu’a vécu sa mère, est particulièrement significatif de la folie furieuse dans laquelle se sont enfermés y compris des membres du corps médical. Nous avons authentifié, puis traduit pour vous son récit.

 

Les morts inattendues des années 2020, ceux qui restent derrière. Ma mère était l’une d’entre elles, elle s’est vu refuser des soins à plusieurs reprises par plusieurs médecins parce qu’ils disaient aux gens de rester à la maison. Une brève chronologie –

1. Ma mère a découvert une grosseur à l’arrière de son genou. Elle a contacté son médecin traitant, qui lui a dit que cela ressemblait à un kyste. Son médecin traitant n’a pas voulu la voir en personne, et ils ont échangé des messages par vidéoconférence. Elle a ensuite été orientée vers un dermatologue.

2. Le dermatologue a refusé une visite en personne pour cause de paranoïa. Ils ont procédé à une consultation par vidéo et par messagerie. Le dermatologue lui a diagnostiqué un kyste de Baker et a déclaré qu’il ne s’agissait pas d’une priorité et l’a renvoyée en disant que c’était quelque chose qui pourrait être vérifié plus tard, lorsque les choses se seraient calmées. Refus absolu d’une visite en personne.

3. Le “kyste” s’est développé et ma mère a programmé une autre visite en ligne avec le dermatologue qui a une fois de plus refusé une visite en personne. On lui a dit que si le kyste grossissait encore, elle devrait se rendre aux urgences, mais seulement en dernier recours.

4. Le “kyste” a commencé à percer la peau, et ma mère s’est alors rendue aux urgences. On lui a prescrit des antibiotiques et on l’a drainé. Ils ont refusé d’autres examens et voulaient qu’elle quitte l’hôpital le plus rapidement possible.

5. Le “kyste” a commencé à sortir de sa chair derrière son genou. Les antibiotiques n’ont fait que retarder l’infection. Elle consulte à nouveau son médecin qui lui dit qu’il s’agit probablement d’une mauvaise infection et refuse de la recevoir en consultation. Elle se rend à nouveau aux urgences, où on lui administre de nouveaux antibiotiques par voie intraveineuse et où on lui refuse des examens complémentaires.

6. Je ne savais toujours pas ce qui se passait. Ma mère n’était pas du genre à se plaindre et ne me dérangeait donc pas. Je suis allée lui rendre visite et je l’ai vue à peine capable de marcher avec un bandage autour de sa jambe. J’ai demandé à la voir et elle a piqué une crise. J’ai crié que c’était un cancer et je me suis demandé pourquoi elle n’était pas soignée. Elle m’a montré un diagnostic de kyste de Baker et d’infection.

7. Le kyste avait à peu près la taille de 3/4 d’une balle de baseball et était totalement exposé. Il était de différentes couleurs et suintait. J’ai demandé à un ami médecin ce que nous pouvions faire et lorsqu’il a vu les photos, on m’a orienté vers un oncologue en dehors de son réseau. J’ai dit : “Pas de problème, je paierai”.

8. On lui a diagnostiqué un sarcome rare et extrêmement agressif. L’oncologue était choqué qu’une personne ayant une formation médicale quelconque puisse considérer qu’il s’agissait d’un simple kyste. Le cancer s’est propagé aux ganglions lymphatiques de l’aine et des poumons.

9. Elle a décidé d’elle-même d’essayer la radiothérapie et la chimiothérapie. Elle a été obligée d’y assister seule, car je n’étais pas autorisé à entrer dans le bâtiment.

10. Tous les traitements ont été arrêtés car le cancer avait progressé de façon spectaculaire dans sa jambe et son aine. Son aine s’est tellement élargie à cause des lymphes qu’elle ne pouvait plus uriner sans un cathéter qui devait être placé chirurgicalement.

11. On lui a refusé une amputation parce qu’elle était au stade 4, en phase terminale, et que cette amputation était considérée comme “facultative” puisqu’elle ne lui aurait pas sauvé la vie. Sa jambe s’est lentement auto-amputée à cause de la tumeur qui n’était traitée que par des soins infirmiers à domicile. La plaie sentait la chair en décomposition et remplissait toute la maison si la porte était ouverte. Elle était obligée de se sentir pourrir. Ils l’ont essentiellement forcée à perdre sa jambe.

12. Elle est morte dans d’atroces souffrances à la maison, avec nous, dans le cadre de soins palliatifs. Elle était très allergique à la morphine et à d’autres médicaments administrés par voie intraveineuse, si bien qu’elle a souffert tout le temps, y compris en gémissant de douleur alors qu’elle était pratiquement dans le coma.

Les seules personnes qui l’ont traitée avec compassion ont été son oncologue et les infirmières de l’hospice, qui ont été des anges. Mon avocat a déclaré qu’il s’agissait de l’un des pires cas de négligence médicale qu’il ait jamais vu. Nous nous battons toujours, mais ce n’est pas une question d’argent. Quelqu’un doit payer pour cela.

Alors non, je ne pardonnerai ni n’oublierai jamais.

Crédit photo : DR
[cc] Breizh-info.com, 2023, dépêches libres de copie et de diffusion sous réserve de mention et de lien vers la source d’origine

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7 Commentaires

  1. Quelle horrible histoire.
    Les médecins ne sont pas tous philanthropes.

  2. Absolument ignoble !
    Si tous ces lâches auraient cela à un musulman. Les musul les auraient butés !
    Et d’ailleurs, des le départ, ils n’auraient pas pu faire à un musul, le centième de ce qu’ils ont fait à cette pauvre femme blanche ! Et ils le savent !
    C’est ça, aussi, l’un des bons coté du communautarisme !

  3. Quand je lis cela, cette ignominie, des envies de meurtres me traversent l’esprit. Je souhaite à ces médicastres de crever dans les souffrances les plus atroces. Je suis de l’avis de ce monsieur, ni oubli ni pardon. Les chrétiens doivent pardonner à leurs ennemis. Cela prouve qu’il s’agit là d’une morale de faibles, faite pour les faibles. Je suis de l’avis de Heine : Oui, il faut pardonner à ses ennemis, mais pas avant de les avoir vus tous pendus. Je rajoute tous crevés. Et j’assume mes propos.

    • Les chrétiens peuvent pardonner à leurs ennemis, mais rien n’a été dit au sujet des assassins ou des tortionnaires.

  4. Ces non-médecins devraient être radiés tout comme les non-juges du SM !!!!!!!!!!
    Et encore, c’est gentil la radiation comme punition…

  5. c’est digne d’un scenario d’horreur absolue : le covid a révélé la folie furieuse et criminelle de ceux censés soigner et protéger les populations : à méditer

  6. Comme c’est cruelle ! Chez les Amerloques des médecins refusent de soigner la mère d’un type qui souffre d’un cancer et qui a besoin d’un d’organe parce qu’elle n’est pas vaccinée contre le Covid 19 d’où l’absurdité de la méthode est contestable car en laissant mourir cette femme les médecins ont commis un crime.

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