Je viens de parcourir l’article ci-dessous, je suis horrifié… Je vous laisse découvrir.
Les vaccins COVID multiplient par mille les irrégularités menstruelles et par cent les anomalies fœtales
De nouveaux signaux inquiétants de pharmacovigilance du VAERS concernant l’utilisation des vaccins COVID sur les femmes en âge de procréer ont incité un groupe de médecins à demander l’interdiction des vaccins de thérapie génique COVID-19.
Au cours des deux dernières semaines, le Dr James Thorp , un expert en médecine materno-fœtale, a minutieusement analysé et vérifié les données les plus récentes du système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) relatives aux vaccins COVID-19 et les a comparées aux vaccins contre la grippe.
“Les vaccins COVID-19 par rapport aux vaccins contre la grippe sont associés à une augmentation des troubles menstruels , des fausses couches, des anomalies chromosomiques fœtales, de l’hygroma kystique fœtal, des malformations fœtales, des arrêts cardiaques fœtaux, des arythmies cardiaques fœtales, des troubles cardiaques fœtaux, des anomalies de mal-perfusion vasculaire fœtale, tests de surveillance fœtale anormaux, schémas de croissance fœtale anormaux, thrombose placentaire et mort fœtale », a déclaré Thorp à Epoch Times la semaine dernière.
Ses découvertes sont listées ci-dessous :
- Les saignements utérins anormaux (irrégularité menstruelle) sont 1000 fois plus importants
- Les fausses couches sont 50 fois plus importantes
- Les anomalies chromosomiques fœtales sont 100 fois plus importantes
- La malformation fœtale est 50 fois plus importante
- L’hygroma kystique fœtal (malformation majeure) est 90 fois plus important
- Les troubles cardiaques fœtaux sont 40 fois plus importants
- L’arythmie fœtale est 50 fois plus importante
- L’arrêt cardiaque fœtal est 200 fois plus important
- La mal-perfusion vasculaire fœtale est 100 fois plus importante
- Les anomalies de croissance fœtale sont 40 fois plus importantes
- Les tests de surveillance des anomalies fœtales sont 20 fois plus élevés
- La thrombose placentaire fœtale est 70 fois plus importante
Thorp a déclaré avoir vérifié son analyse auprès d’un consultant statistique du DOD (ministère de la Défense) qui a accepté de l’aider sous couvert d’anonymat.
Absence de tests de sécurité
En ce qui concerne les données du VAERS, le vaccinologue Dr Robert Malone, un contributeur clé de la technologie de l’ARNm, a déclaré jeudi à Epoch Times : « La stratégie risquée d’autoriser l’utilisation d’urgence des produits de “vaccins” à ARNm avant l’achèvement de tests rigoureux non cliniques sur les animaux pour les risques de reproduction et de génotoxicité, suivis d’un plaidoyer en faveur d’une utilisation généralisée pendant la grossesse, semblent maintenant avoir entraîné une toxicité reproductive importante et évitable.
“Les données non cliniques antérieures (modèle animal) de l’ensemble de données d’autorisation d’utilisation d’urgence de Pfizer, ainsi que l’absence de données adéquates et de tests de sécurité pendant la grossesse ont entraîné des toxicités reproductives et fœtales évitables“, a ajouté Malone.
Il a souligné que les futures mères devraient éviter les vaccins COVID « expérimentaux » et que leurs nourrissons ne devraient pas en être injectés.
“Ces nouvelles données et analyses du VAERS démontrent que les mères en âge de procréer et leurs nourrissons ont été endommagés en acceptant des vaccins génétiques autorisés à utiliser en urgence sans licence, insuffisamment testés”, a déclaré Malone.
Plus tôt cette année, Jessica Rose Ph.D. co-auteur d’une analyse VAERS qui a été retirée par la revue académique Elsevier.
Elle a déclaré à Epoch Times que l’analyse de Thorp correspondait parfaitement à la sienne.
«Je crois qu’il est non seulement important, mais nécessaire, de retirer ces produits des femmes enceintes / allaitantes et des nourrissons car il n’y a pas de données de sécurité à long terme et les données à court terme semblent mauvaises. Conformément aux documents de sécurité de Moderna et de Pfizer présentés au VRBPAC avant l’octroi de l’EUA pour les enfants de 0 à 4 ans, cela s’applique. Ils ont tous les deux montré un risque terrible », a déclaré Rose.
Christiane Northrup, MD., membre de l’American College of Obstetrics and Gynecology, soutient également l’analyse.
«Ayant été en première ligne de la catastrophe du DES en tant que jeune OB / GYN, je suis étonné que nous répétions le même genre d’erreur mais à un niveau beaucoup plus dévastateur. Les injections de COVID-19 doivent être arrêtées immédiatement chez toutes les femmes enceintes avant que d’autres dommages ne soient causés à la prochaine génération », a déclaré Northrup à Epoch Times.
Thorp a poursuivi : « Tous ces effets indésirables sont statistiquement significatifs (valeur p < 0,0001) – en d’autres termes, la probabilité que ces effets indésirables se produisent par hasard seul est inférieure à 1 sur 10 000. Il incombait aux fabricants de vaccins COVID-19, à la FDA, au CDC, à l’American College of Obstetrics and Gynecology, à la Society for Maternal-Fetal Medicine et à l’American Board of Obstetrics and Gynecology d’avoir exigé ces données de sécurité avant de pousser ces « vaccins » dangereux. pendant la grossesse.
« Ces institutions ont violé la règle d’or de la grossesse : de nouvelles substances, qu’il s’agisse de nutraceutiques, de médicaments ou de vaccins, n’ont JAMAIS été autorisées pendant la grossesse jusqu’à ce que des données sur les résultats à long terme soient disponibles. Désormais, les vaccins COVID-19 font ressembler les catastrophes obstétricales antérieures du diéthyl stilbesterol (DES) et de la thalidomide à des vitamines prénatales. Je demande une interdiction mondiale et un moratoire sur l’utilisation de toute thérapie génique expérimentale et/ou de “vaccins” COVID-19 pendant la grossesse jusqu’à ce que les données de sécurité à long terme soient irréfutables”, a déclaré Thorp.
Selon medalerts.org , “Le gouvernement américain recueille les rapports d’événements indésirables pour la santé qui suivent l’administration d’un vaccin” et peut être consulté publiquement dans la base de données VAERS.
Selon OpenVAERS , « VAERS est le système de déclaration des événements indésirables liés aux vaccins mis en place en 1990. Il s’agit d’un système de déclaration volontaire dont on estime qu’il ne représente que 1 % des blessures causées par les vaccins. »
La clause de non-responsabilité officielle du VAERS stipule cependant : “Bien qu’ils soient très importants pour surveiller la sécurité des vaccins, les rapports du VAERS ne peuvent à eux seuls être utilisés pour déterminer si un vaccin a causé ou contribué à un événement indésirable ou à une maladie.”
Enrico Trigoso (journaliste d’Epoch Times qui se concentre sur la région de New York).
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Et que font la Police ? La Justice ? Et MACRON l’assassin ? NADA !!!
Et que fait la majorité des Français ?… ils continuent à avancer comme des veaux !!!
Toujours aucun écho chez nous.
Les merdia d’une obéissance absolue au Morpion, ne cessent de lécher la fontaine aux euros.
“Mais puisqu’on vous dit partout que sans le vaccin il y aurait beaucoup plus de morts ! Informez vous voyons avant de dire des âneries. Tout ça c’est des fake news pour faire du sensationnalisme. Allez, il y aura toujours des effets secondaires pour n’importe quel traitement. Et puis, rendez vous compte du nombre de vaccins administrés ! Cela fait très peu d’effets secondaires en fin de compte”.
Voilà une synthèse non exhaustive de la rhétorique des provax.
3/4 de siècle, cyborg depuis 13 ans, mais groupe “O”, facteur rhésus négatif , sous anti-coagulants , une protection naturelle contre les effets secondaires du vaxxin(et du virus ) , non vaxxiné, tout au début j”ai chopé le CC19 ( mais pas encore de vaxxin ) 2 jours de fièvre, un peu fatigué quelques jour, et je suis toujours là.
Une grippe, sans plus.
Avec une expérience de vie de 80 berges, mourir à 90 du CC19 ou autre chose ?