Hommage à Gilles Soulas, notre ange gardien, disparu ce matin

Ci-dessus une des très rares photos de Gilles, quand il assurait la protection d’Eric Zemmour, venu faire une dédicace dans la « nouvelle librairie » menacée par les antifas.  Eh oui, Gilles passait sa vie à se dévouer pour les patriotes, tous les patriotes qui faisaient appel à lui. Et quand le patron de la Librairie avait fait appel à lui pour assurer la sécurité d’Eric Zemmour, il n’avait pas hésité une seconde ! 

Je suis triste ce soir… L’ami Gilles est mort ce dimanche matin, lui si fort, si jeune encore (il avait mon âge), si rassurant., qui paraissait invincible, lui qui courait d’un bout à l’autre du pays dès qu’un ami avait besoin de son intelligence, de son expérience, de ses amis qu’il avait formés à protéger sans agresser…

Pas une manif, pas un colloque… sans Gilles et ses « hommes », tous des patriotes, n’ayant pas peur de faire des centaines de km pour  venir, un dimanche, un soir de semaine, assurer notre  sécurité. Je me souviens de Mika, si embêté de me dire non car sa femme partait accoucher quand je l’avais appelé… Une bande de fiers soldats de France, c’était ça le groupe de Gilles.

Le ciel m’est tombé sur la tête en apprenant sa disparition, apparemment liée au Covid. Hospitalisé il y a une huitaine de jours pour des difficultés respiratoires, il va sortir de l’hôpital les pieds devant, lui qui me semblait aussi fort qu’un roc. Qui était un roc.  Que s’est-il passé ? A-t-il été traité ? Les médecins, pour obéir à Véran, se sont-ils contentés de lui donner du Doliprane au début ? Tout est possible, y compris bien sûr que Gilles ait été affaibli par une affection quelconque inconnue. Mais je crains le pire… en ces temps où ils ont osé nous interdire et interdire aux médecins ivermectine, hydroxychloroquine, azythromycine… Que leur reste-t-il à part l’oxygène ???

Pour vous parler de l’ami Gilles, je laisse la parole à Pierre, je crois qu’il a dit l’essentiel.

ARTICLE DE ROLAND HÉLIE

C’est avec une peine immense que je viens d’apprendre le décès, en fin de matinée ce dimanche, de notre camarade, notre Ami, mon Ami, Gilles Soulas. Inutile de vous préciser que cette épouvantable nouvelle m’a complètement bouleversé.

Gilles faisait parti de ces rocs invincibles, toujours debout face à l’adversité, sachant s’élever au-dessus des querelles, souvent futiles, qui traversent de manière récurrente notre camp ; c’était à la fois un esprit libre et un exemple de courage et fidélité. Il n’hésita pas à mettre sa peau au bout de ses idées, comme ce fut le cas au Liban en 1976 au moment où la guerre faisait rage, en s’engageant avec quelques autres jeunes nationalistes français aux côtés des combattants chrétiens. Cela faisait plus de quarante ans que nous nous connaissions, que nous nous battions pour la même cause et jamais, ô grand jamais, il ne sombra dans le désespoir, ni dans le reniement. Que de souvenirs…

Toute sa vie, il s’est dépensé sans compter pour épauler les nombreuses initiatives militantes qui lui semblaient justes. Toute sa vie, en particulier grâce à ses multiples responsabilités professionnelles, il a donné du travail à des camarades dans le besoin. C’était ce que l’on appelle un homme de qualité.

Je pense à Louise, son épouse, à leurs enfants… je pense aussi à toutes celles et tous ceux qui formaient autour de lui cette phalange soudée de camarades toujours volontaires pour continuer, quelle qu’en soit la forme, le combat pour la France française et pour l’Europe européenne, cet idéal qui lui était si cher.

Gilles, tu viens de partir, tu nous manques déjà…

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