Centres de rétention administratifs de Coquelles et Lesquin (62).
Le Quotidien La Voix du Nord publie les chiffres des principales nationalités des centres de rétention.
Ici en capture d’écran, le schéma sur le site de la Voix du Nord étant interactif.
Le chiffre en haut à gauche = nombre de personnes
1090 Albanais
458 « diverses nationalités »
411 Irakiens
161 Iraniens
126 Érythréens
126 Vietnamiens
190 Afghans
88 Soudanais
65 Algériens
En bas à droite : 52 Ukrainiens, 51 Marocains
Des chiffres que l’on retrouve également au CRA de Lesquin avec, dans les deux structures, une surreprésentation de la nationalité albanaise.
523 « diverses nationalités »
336 Albanais
294 Algériens
205 Marocains
199 Irakiens
105 Tunisiens
67 Guinéens
44 Iraniens
43 Nigérians
33 Géorgiens
Inefficace.
Comme l’an dernier, plus de la moitié des personnes retenues sont relâchées dans la nature par un juge ou suite à une décision de la préfecture.
Harmonie et Joie véritable…
On aurait tort d’imaginer que tous ces malheureux vivent en harmonie sous le même toit.
Des tensions entre retenus à Lesquin (62)
« En dix ans, je n’avais jamais vu ça ».
Pour Mathias Venet, de l’Ordre de Malte qui intervient à Lesquin, la situation s’est aggravée cette année :
« Il n’y avait jamais eu autant de tensions entre les retenus ni autant d’automutilations. «
Les soirées doivent être assez éloignées des veillées de famille au coin du feu de notre imaginaire.
Pour l’heure, quittons cet endroit merveilleux.
Laissons-nous aller à un peu de nostalgie et retrouvons en poésie l’atmosphère des veillées d’antan.
Un monde du passé qui s’éloigne de plus en plus…
UN SOIR
Nous sommes là, ce soir, paisibles sous la lampe.
Mon père lit, sa main pâle contre sa tempe ;
Mon frère est accoudé, les yeux ailleurs, auprès
De ma mère qui brode avec ses doigts distraits
Où luit le reflet lent du foyer sur ses bagues ;
Parfois le chien, perdu dans ses beaux songes vagues,
Etire de paresse et d’aise son flanc creux ;
Et je rêve, parmi le grand silence – heureux.
Nous sommes là, ce soir d’hiver, humble famille,
Ecoutant à l’horloge indécise qui brille
Dans l’ombre, palpiter les instants fugitifs,
Groupés devant le feu, comme des primitifs.
Fernand Gregh
529 total views, 2 views today
Vous avez bien vu qu’il y a qq chose qui ne tourne pas rond , dans cette situation qu’on nous impose de toutes les façons possibles,
ça crève les yeux !!
Y a-t-il une explication à toutes ces horreurs que l’on doit supporter ??
Il me semble,( mais c’est juste une hypothèse, ) que l’Europe a été choisie comme un grand champ d’expérimentation, et que nous en sommes les cobayes , à notre insu, mis à part les gauchistes fanatiques d’exotisme, qui se régalent de ce qui se passe.
Certains l’ont décidé en haut lieu, les plus friqués, bien sûr, c’est toujours les friqués qui décident pour ceux qui bossent et qui veulent juste vivre leur vie tranquillement, sans qu’on empiète dessus,
tout a été mis en place, et tout fonctionne à merveille, même l’hypocrisie qui consiste à dire que l’Europe défend nos frontières ,
hypocrisie qui a fait acheter des navires FRONTEX, qui n’ont servi jusqu’à présent qu’à aller chercher plus de migrants, alors qu’ils ont été payés dans le but inverse,
tu parles de navires de défense !!! on nous prend pour des cons du début à la fin,
et cette manipulation émotionnelle, qui tend à culpabiliser tous ceux qui voudraient résister, une manipulation grotesque sur tous les media qui appartiennent aux décideurs.. etc…
à quand « la valise ou le cercueil »
Merci pour ce gentil poème, bien franchouillard et dans lequel certains se retrouveront avec plaisir. Nostalgie…
j’ai reconnu la poésie qui était dans mon livre de Grammaire !
Quant à tous les cadeaux que les « réfugiés » se voient attribués , il n’ya aucun mot pour exprimer que ça dépasse l’entendement !!Pas loin de chez moi , une femme travaille comme une folle à faire la vaisselle dans une charcuterie puis à nettoyer le soir, des bureaux etc…et elle n’arrive pas à se payer son rêve : un tricycle .(Elle ne peut plus monter sur un vélo )
Tout ce qui n’a jamais été capable d’évoluer sur terre,on le fait venir dans les pays Européens,pour détruire nos peuples. Si l’union Européenne a été créée,c’est uniquement dans ce but;plus aucune frontière,afin de répartir à volonté,tous ces individus dans nos pays. C’est la même méthode qui ensuite, est utilisée,une fois arrivés à destination. À Calais,une fois que le camp de réfugiés a été plein à craquer,ils les ont envoyés par bus et par train,dans toutes nos régions de France,afin de bien nous imprégner de ces populations africaines. Et comme par hasard,que des hommes jeunes,pour métisser nos peuples,en s’accaparant des jeunes femmes Européennes trop bien éduquées et trop dociles,pour se défendre contre ces individus qui leur transmettront leur dégénérescence…métis crépus aux yeux sombres et au QI insignifiant..! Pas besoin de guerre,ils ont trouvé la méthode la plus efficace pour nous détruire. Et quand je dis, »ils ont »,je préfère ne pas en dire plus..!
Ce ne sont pas centres de rétention, ce sont des centres de transit destinés à faire oublier les clandestins le temps d’avoir un minimum de papiers administratifs leur permettant de circuler et de leur trouver un « gite » dans nos campagnes.
Une grosse hypocrisie, sachant que de toute façon, ils ne repartiront plus.
Quand es ce qu’on vire toute ces merdes, quand es ce qu’on prendra conscience que ce ne sont que des envahisseurs au même titre que les nazis voulu par nos zélites vendu à l’islam et au fric, quand ???? .
ce que je trouve ahurissant c’est les piaules, ( bordel et saleté mises a part et de leur faute), j’ai connu des chambres d’étudiants délabrées, pourries et HORS DE PRIX. Bandes de salopards!!!
les seuls moins « puants » que tous les autres ; Viet namiens et iraniens
j’ aime beaucoup cette imagerie dite d’ épinal qui ornait nos livres d’ enfance il y a quatre vingts ans, au moins, tout comme le texte de Gregh
ça en evoque des souvenirs….ma Grand mère habitait a la campagne, ses fenêtres donnaient sur la nature et ses arbres pliés par le vent d’ hiver, pendant que la bise tentait de vaincre les jointures des fenetres protégées par de fins rouleaux de papier journal, le double vitrage ?? inconnu
le jour de congé hebdomadaire c’était le jeudi alors j’ allais dormir chez elle le mercredi soir
le jeudi ,les devoirs etaient vite expédiés, et aprés le lait (monté par le laitier voisin) a la chicorée, c’ était une orgie de lecture , et ce genre de dessins on le retrouvait trés souvent pour illustrer un conte, une histoire ….