Iran : viols en série chez les mollahs, malgré le voile de la pudeur…

Les tyrans d’Iran…

 

Les chiites et les sunnites s’entretuent pour l’islam !

Et ces fous dangereux, forment un amalgame !

A ce jour les tyrans d’Iran,

du Diable sont les aspirants…

Perses comme bédouins persécutent leurs femmes…

 

PACO… Les femmes hôô les femmes !

10/07/2018.

 

Iran : des femmes et des imams brisent la loi du silence après des viols en série dans une ville conservatrice

C’est du jamais vu : des femmes, des activistes du droit des femmes et même des leaders religieux ont manifesté à plusieurs reprises à Iranshahr, dans le sud-est de l’Iran, depuis la mi-juin. Un imam local avait révélé que 41 femmes auraient été agressées sexuellement dans cette petite ville de la province très conservatrice du Sistan-et-Balouchistan. Les manifestants demandent aux victimes de témoigner et d’engager des poursuites judiciaires contre leurs agresseurs, alors que jusqu’ici, le tabou et la loi du silence prévalaient.

La province du Sistan-et-Baloutchistan est frontalière de l’Afghanistan. Iranshahr, près de 100 000 habitants, est une ville sunnite, majoritairement peuplée par des Baloutches iraniens.

Le 15 juin, Mowlavi Mollazehi, un imam local, a fait un prêche dans lequel il affirmait qu’un groupe d’hommes avait violé 41 femmes dans la ville. Il a notamment désigné le premier rang des fidèles, dans lequel se trouvaient des figures importantes de la ville, et déclaré : “Les violeurs étaient vos fils qui s’assoient ici au premier rang”.

Une révélation qui a amorcé une série de manifestations dans la ville, demandant la peine capitale pour les auteurs de ces viols – bien qu’aucun ne soit nommément identifié et que leur nombre exact ne soit pas déterminé. L’imam a affirmé tenir ses informations d’un “responsable du gouvernement local”, sans préciser qui. Selon lui, ces agressions se sont produites “ces derniers mois “. Il n’a par contre pas expliqué pourquoi il avait pris la parole

Dans cette vidéo, les manifestants sont réunis devant une pharmacie : une rumeur, non démentie par les autorités, dit que le fils du propriétaire de l’enseigne est l’un des violeurs : 

Interrogé par la télévision publique iranienne, le procureur local Movahedi Rad a pour sa part affirmé que seules quatre femmes avaient porté plainte. “Les coupables sont quatre hommes, et nous en avons arrêté un”, a-t-il assuré. Mais plusieurs leaders religieux locaux ont soutenu l’imam Mollazehi, et affirmé qu’il y avait plus de victimes que les quatre plaignantes. Mowlavi Abdolhamid, un imam sunnite de Zahdan, la capitale du Sistan-et-Baloutchistan, a pour sa part encouragé les femmes à porter plainte : “N’ayez pas peur, les femmes doivent aller de l’avant. Ce n’est pas votre faute, c’est la faute de ces criminels. Poursuivez-les devant les tribunaux pour qu’ils répondent de leurs actes”.

Ces révélations ont déclenché de nombreuses manifestations, réunissant notamment des femmes, des activistes et des leaders religieux.

Dans une culture où la femme est facilement accusée d’être la première responsable du viol ou du harcèlement qu’elle subit, nos Observateurs dans la région voient dans ces manifestations une avancée importante pour le droit des femmes.

“Nous avons réalisé que la loi du silence avait sans doute permis des dizaines d’autres viols et abus sexuels”

Sahra, 30 ans, habite à Iranshahr :
Nous sommes tous sous le choc. Je ne peux toujours pas croire que 41 femmes ont été violées ici, dans cette petite ville. Ici, nous les femmes nous sentons en sécurité. Le poids de la morale et de la tradition fait qu’on n’imaginerait pas que les femmes puissent être agressées.

J’ai fait mes études à Ispahan, qui est une ville plus libérale, et je me sentais plus vulnérable, j’avais été victime de harcèlement de rue pour la première fois. Ici, ça n’arrive presque. Désormais, les choses ne seront plus comme avant, et ça nous fait peur.

Pour moi, la raison pour laquelle cette affaire a provoqué une telle prise de conscience, c’est que le nombre de victimes est très important et que nous avons réalisé que la loi du silence avait sans doute permis à des dizaines d’autres viols et abus sexuels d’avoir lieu à Iranshahr en toute impunité.

Ici, les viols ou le harcèlement sont considérés comme une honte. On considère que les femmes qui subissent ça déshonorent leur famille. Donc pour les victimes, c’est la loi du silence. D’ailleurs, le père de l’une des victimes a dit à l’imam qu’il préférerait mourir que de subir la honte que tout le monde sache que sa fille a été violée. Il faut vraiment que nous fassions notre révolution culturelle.Là, beaucoup de gens veulent convaincre les victimes d’aller en justice, de créer un soutien populaire fort pour leur donner la confiance nécessaire pour qu’elles osent sortir et accusent. D’autant plus que le procureur a remis en cause le nombre total de victimes. Dans les manifestations, on a vu beaucoup de gens affirmer haut et fort que ce sont les femmes qui sont victimes et qu’il ne faut pas les critiquer pour ce qu’elles ont subi.

Le fait que des imams conservateurs, mais très influents, qui ne sont pas franchement des champions de la défense du droit des femmes, comme Mowlavi Abdolhamid, ne regardent plus ces femmes comme des pécheresses, le fait qu’ils dénoncent haut et fort ce qu’elles subissent, est très positif. Mais ne nous faisons pas trop d’illusions : la question de l’honneur est tellement importante ici et tellement inscrite dans la culture de cette région, que ça demande énormément d’efforts pour donner le courage aux victimes de parler, ou à quelqu’un de dénoncer ce qui est arrivé à une proche.

Mais quoiqu’il en soit, le message des leaders religieux peut changer l’état d’esprit des familles à long terme. Aujourd’hui, il y a un vrai risque de crime d’honneur : des familles peuvent tuer leur fille si elles apprennent qu’elle a été violée.

Les autorités locales ont annoncé le 18 juin qu’elles poursuivraient “les personnes qui ont diffusé des rumeurs sur 41 viols commis à Iranshahr”, ce qui inclut l’imam Mowlavi Mollazeh. Jusqu’ici, il n’a pas été inquiété.

http://observers.france24.com/fr/20180629-femmes-imams-viols-iran-conservatrice

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16 Commentaires

  1. allez!! allez!!

    lapidez moi toutes ces salopes !! elles n’ avaient pas a faire du gringue a ces bons garçons !! fils de bonnes familles!! honorables….sur lesquels ces créatures satanique (ta mère) ont cru bon de jeter leurs gourmettes

  2. bonjour paco, je sais, mais ces femmes courageuse chez elles, une fois chez nous ne le sont plus, ce qu’elles défendent ses le coran, et continue à vivrent suivant la lois coraniques, elles ne sont pas nombreuses à ce battre pour la liberté que nous leurs offrons, beaucoup d’entre elles sont contre nous, voire certaines de nos femmes politiques d’origine arabes, du magreb, ou d’Afrique, je n’ai, et je n’aurais aucune confiance en ses femmes car elles sont aussi sournoises ci non pire que leurs hommes.

    • Je comprends votre méfiance, je la partage entièrement. Pourtant, il y a parmi ce lot de femmes complètement soumises à la monstruosité islam des femmes qui veulent vraiment s’en sortir. Il est vrai que c’est difficile de distinguer l’ivraie du bon grain. Comment faire ? Et c’est là la plus grande perversion de l’islam. L’adhésion des adeptes mahométans est tellement exacerbée qu’on a du mal à croire qu’il y en a qui y échappe. Ceux-là subissent dès lors une double peine : Le rejet, la haine des musulmans et la méfiance toute légitime des non musulmans.

  3. vous avez oublier la pauvre buraliste qui a été condamné à payer plusieurs milliers d’euros à cause de ces sacs poubelles, c’est ça la liberté qu’elles désire, combien des notre ont étaient emmerder par cette vermines, elles ne viennent pas chez nous pour vivrent comme nous et profiter de la liberté que la cause féminine a gagné, mais pour la détruire, elles sont cher nous pour profiter du système tout en vivant selon les lois coraniques, donc je le répète, elles peuvent crevés.

    • Bonjour Jean Marc. Il ne s’agit pas du nombre de celles qui, ici, comme tu le soulignes, viennent pour user et abuser. Il s’agit des courageuses qui, chez elles, commencent à déchirer le voile.

  4. je n’en n’ai rien à foutre, QUAND elles sont dans un pays démocratique et civilisé comme la France, ou elles peuvent vivre et s’exprimer librement la première chose qu’elles font c’est de détruire notre démocratie et notre culture, et de nous imposer leurs lois islamiques, donc pour moi elles peuvent crevés. RAS.

    • Bonjour,

      Pas d’accord du tout !

      Tous ceux qui subissent l’abomination de l’islam doivent être défendus.

      A-t-on abandonné les victimes du Nazisme, du Stalinisme, du Maoïsme parce qu’elles avaient le malheur d’êtré nées dans un pays sous la botte d’une idéologie totalitaire.

      • Antiislam : Totalement d’accord.
        Les idiotes, nées dans des pays libres, ayant reçu une éducation Européenne, qui rejoignent cette maudite secte ne méritent aucune compassion.
        En revanche, les innombrables femmes, nées au mauvais endroit, esclaves sexuelles et domestiques, doivent êtres soutenues, défendues et aidées autant que faire se peut.

  5. Elles ont qu’a Porter des mini jupes ?‍♀️
    Car: tu court plus vite en mini jupe qu’avec le pantalon baissé . Hihi ?

  6. Ils sont en France et il en arrive d’autre des violeurs, merci qui, merci hollande macron/collomb qui ne voient pas le problème avec l’islam, avec aussi merkel et l’UE. Mais aussi tous les collabos traîtres à la France qui ne s’aime pas et qui non rien à foutre de leur propre famille, et qui vote pour des connards qui vendent la France.

  7. “Aujourd’hui, il y a un vrai risque de crime d’honneur : des familles peuvent tuer leur fille si elles apprennent qu’elle a été violée.” Alors? les “fils de”.. ceux des premiers rangs coupables? Fils des sommités locales, ou bien y aurait-il discret amalgame entre inceste patent et viol “étranger”? L’imam qui s’abrite ( à bon escient) derrière un responsable gouvernemental local, pourra-t-il aller jusqu’au bout de sa démarche? Je trouve néanmoins encourageante sa déclaration, et longue vie, détermination et espoir pour ces femmes que quelques cinéastes – y compris masculins- appuient depuis des années .

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