Referendum en Catalogne : double visage de Julian Assange, proche des putschistes de Catalogne !

Un homme avisé en vaut deux !
A bon entendeur !
Et le vrai visage de celui que l’on dit le gourou des lanceurs d’alerte ! Après tout ; il n’est qu’humain, un humain comme les autres ; tout ce qu’il dit et fait n’est pas à prendre comme « parole ou écriture sainte ». En fin de compte il défend sa paroisse !
Et comme la paroisse d’Assange, en l’occurrence, c’est l’indépendance de la Catalogne, qui est illégale…
Et comme ceux qui veulent l’indépendance de la Catalogne sont des immigrationnistes islamophiles…
http://resistancerepublicaine.com/2016/05/01/le-traitre-arthur-mas-impose-larabe-au-meme-titre-que-lespagnol-en-catalogne/
http://resistancerepublicaine.com/2016/04/16/changement-de-civilisation-en-catalogne-islamisation-et-arabisation/
http://resistancerepublicaine.com/2015/11/12/la-catalogne-commence-la-deconnexion-de-lespagne-et-de-leurope-valls-applaudit/
Julian Assange est notre ennemi.
 

«La première guerre sur Internet du monde a commencé en Catalogne», s’alarme Julian Assange
:: https://francais.rt.com/international/43972-premiere-guerre-sur-internet-monde-a-commence-en-catalogne-alarme-assange
30 sept. 2017

Les tentatives de Madrid de blocage des applications facilitant la tenue du référendum en Catalogne constituent une véritable «guerre sur internet» selon Julian Assange, qui a lancé un appel appuyé afin de lutter contre ces mesures.

Julian Assange, le célèbre fondateur du site Wikileaks, s’est invité à sa manière dans la campagne du référendum sur l’indépendance de la Catalogne, qui doit se tenir le 1er octobre malgré son interdiction par la justice espagnole. Impitoyable défenseur de la liberté d’expression, le lanceur d’alerte s’est insurgé contre les mesures prises par Madrid pour tenter d’empêcher la tenue du scrutin, ciblant particulièrement les mesures de censure dans le domaines des télécommunications.

«La première guerre sur internet du monde a commencé en Catalogne», a écrit Julian Assange sur Twitter, le 30 septembre. «Les habitants et le gouvernement [de la région de Catalogne] utilisent internet pour organiser le référendum d’indépendance de dimanche [1er octobre], tandis que les services espagnols de renseignement gèlent les télécommunications et se livrent à la censure de centaines de sites, de protocoles, etc…», a détaillé le célèbre lanceur d’alerte.

The world’s first internet war has begun, in Catalonia, as the people and government use it to organize an independence referendum on Sunday and Spanish intelligence attacks, freezing telecommunications links, occupying telecoms buildings, censors 100s of sites, protocols etc.— Julian Assange ? (@JulianAssange) 30 septembre 2017

S’appuyant notamment sur des informations relayées par le journal catalan El Nacional le 29 septembre, Julian Assange a dénoncé l’intrusion de la garde civile espagnole dans un bâtiment de télécommunications de Barcelone, qui visait à bloquer 29 applications que le gouvernement catalan comptait utiliser pour organiser le vote et compter les voix.

J’appelle tous nos soutiens et les informaticiens à révéler les méthodes de censure de la garde civile et des services de renseignement espagnols

Une mesure qui a révolté le lanceur d’alerte et contre laquelle il souhaite faire naître une mobilisation internationale : «J’appelle tous nos soutiens et les informaticiens où qu’ils soient, à nous aider à révéler, puis à contourner les méthodes de censure de la garde civile et des services de renseignement espagnols.»

I call on all our supporters and technologists everywhere to help expose, and work around, the censorship methods of the @GuardiaCivil and Spanish intelligence CNI being used to unlawfully censor the press, voters and the government of Catalonia. https://t.co/DT2SQQ7l8D— Julian Assange ? (@JulianAssange) 29 septembre 2017

Madrid, qui n’a pas autorisé le scrutin, cherche par tous les moyens à empêcher son organisation. La justice espagnole a notamment demandé au géant américain Google de désactiver une application expliquant comment et où se rendre pour voter.

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6 Commentaires

  1. Je rajoute ma petite voix au concert : le raisonnement est archifaux:
    1 Assange veut l’indépendance de la Catalogne (admettons)
    2 Or les Catalans sont islamophiles (ah bon ? Vous avez un sondage là-dessus ? les Français ont voté Macron, DONC tous les Français sont islamophiles ? ??)
    3 DONC Assange est notre ennemi !
    Ne jamais confondre un peuple avec ses dirigeants : cf. la Corse… ou la Catalogne…

  2. Non, Julian Assange n’est pas « mon ennemi. »
    Raisonnement simpliste et raccourci d’idées.
    Julian Assange n’est pas d’accord avec le fait que le gouvernement espagnol ait fait bloquer la plateforme internet permettant le déroulement du referendum en Catalogne.
    Si un referendum était organisé en France et que le gouvernement était contre (je laisse libre cours à votre imagination), bloquer l’accès à internet serait-il pour autant légitime ? Non car il s’agit là d’une mesure liberticide.

  3. « putschistes de Catalogne » ! est-il écrit….c’est pas d’aujourd’hui non ? revoir l’histoire de la guerre civile espagnole de 1936/38 pour savoir que l’indépendance de la Catalogne est une vieille revendication et fût même l’objet d’une guerre civile à l’intérieur de la guerre civile de 1936, laquelle opposa communistes du Front Populaire aux ordres de Staline et les anarchistes catalans…..cause de la haine irréductible entre ces deux factions…..laquelle s’est retranscrite dans la politique française quand on voit que Lutte Ouvrière, le NPA, et les transfuges du PCF qu’ils s’appellent Front de Gauche ou France (pseudo) Insoumise ne sont pas capable de s’unir lors des présidentielles, ce qui lors de la dernière aurait propulsé Mélenchon au deuxième tour à la place de MLP.
    La crainte de cette perspective séparatiste avait en son temps amené le gouvernement espagnol à refuser de reconnaitre la création de l’état indépendant du Kosovo…..première république islamique d’Europe de peur de légitimer la revendication séparatiste de la Catalogne.
    Les traiter de putschistes aujourd’hui n’a aucun sens…quand bien même ils sont islamophiles.
    Dire de Julian Assange que c’est notre ennemi parce qu’il condamne la tentative d’entrave voulue par le gouvernement espagnol concernant l’utilisation d’internet dans cette campagne référendaire n’a aucun sens.
    Il condamne une logique de fonctionnement étatiste qu’il juge liberticide….il ne cautionne pas l’orientation politique que prendrait une Catalogne indépendante vis à vis de l’Islam.
    Prévenir des dangers que représente l’Islam est une chose……faire de l’interprétation douteuse quant aux intentions de quelqu’un en est une autre.
    On verra bien quel sera l’avenir d’une Catalogne devenue indépendante, si tel était le cas et surtout on verra comment évoluera un pays qui s’est inscrit historiquement dans la tradition politique anarchisante face au défit de l’Islam.
    Ce que Marcher sur des oeufs ne semble pas percevoir, c’est que cela pourrait devenir très instructif pour l’avenir et ouvrir les yeux de beaucoup de gens que de voir des anarchistes « culturels » se laisser marcher dessus et être soumis par des islamistes, lesquels sont aux antipodes du Ni Dieu Ni Maitres.
    Et qui sait, peut être cela pourrait amener la Catalogne à devenir le premier pays d’Europe à réamorcer la reconquista !

  4. Julien Asselange réfugié depuis des années à l’ambassade de l’ Equateur à Londres, chercherait-il une terre d’accueil au cas peu probable où l’indépendance de la Catalogne deviendrait effective. Encore faudrait-il qu’il puisse s’y rendre , à moins que la Catalogne « indépendante » le reconnaisse citoyen catalan et lui octroie un passeport diplomatique ce qui prendrait quand même quelque temps et supposerait que les pays européens et notamment le Royaume-Uni reconnaisse l’indépendance de la Catalogne.
    Quoi qu’il en soit les USA serait prêt à reconnaitre l’indépendance du nouvel état. Quant à Jean-Claude Junker (il s’y résignerait ou s’en réjouirait?).
    Plus surprenant. est le soutien apporté aux indépendantistes catalans par Viktor Orban, le président hongrois. A priori on ne voit pas pourquoi , sauf peut être dans l’espoir que cela créerait tellement de problèmes au sein de l’Union européenne que du coup la pression exercée par Bruxelles et Berlin sur les pays du bloc de Visegrad pour qu’ils accueillent des migrants se relâcherait.

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