Hidalgo a détruit le dernier phare breton de Paris pour construire des logements pour clandestins

C’était ce que l’on appelle un amer, qui signalait au bon peuple parisien la proximité d’une grande halle aux poissons et aux huîtres, rue Castagnary, dans le XVe arrondissement, baptisée la Criée du phare…

Plus de halle aux poissons et aux huîtres ? Plus besoin d’amer, s’est dit Hidalgo avec sa cervelle d’huître.

Hidalgo de se frotter les mains et de penser illico presto à ses petits chéris.

L’architecture, l’esthétique, l’histoire… Hidalgo s’en bat l’oeil, comme Macron d’ailleurs.

Pourtant il était beau, ce phare, il sentait la France, la Bretagne  à Paris, comme un clin d’oeil à la France profonde…

On ne vous parlera pas du gaspillage d’argent, ce phare avait été érigé en 2001…

Depuis la fermeture de la criée, son emplacement faisait loucher les promoteurs, et Hidalgo a eu sa peau. 251 studios pour « travailleurs migrants « ( kézaco, des travailleurs migrants ? Je croyais qu’il fallait un permis de séjour pour pouvoir travailler et je croyais qu’un clandestin, par essence, ne pouvait avoir de permis de séjour et encore moins de travailler ),  » étudiants et autres jeunes travailleurs ».

Pas sûr que les riverains vont y gagner au change… Foin du sentiment d’être chez soi, à l’abri du phare, foin des touristes japonais venus le photographier… Bonjour le ballet des assistantes sociales, de Tubiana et de Goldman accompagnant Marwann Muhammad à la recherche de volontaires prétendument victimes d’islamophobie, sans parler des éventuels dealers de la place…

Cela s’appelle la marche du temps chez Hidalgo, comme chez Macron.

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