Terrifiante Afrique de l'Ouest aux ordres des Saoudiens : niqab, mosquées, haine de la France…

Illustration tirée de cet article : Religion, des femmes à l’école de l’islam

De retour d’Afrique où j’ai passé de très longues années…

L’Afrique et les migrants, c’était le premier témoignage que je voulais apporter.

http://resistancerepublicaine.com/2016/08/28/je-rentre-dafrique-vous-narreterez-pas-les-migrants-avec-les-moyens-actuels/

Le deuxième phénomène, concomitant mais – il faut insister – sans lien direct avec l’immigration, c’est  la radicalisation islamique.

C’est l’environnement général, le contexte…. Ça fait déjà 40 ans que l’Arabie Saoudite a investi massivement dans les pays de la région, que ce soit au Mali, Sénégal, Niger, Gambie mais aussi plus au sud, la Guinée (Conakry) La radicalisation islamique en Afrique de l’ouest (16 pays parmi lesquels les premiers fournisseurs de migrants) est constante, insidieuse parfois, ouverte souvent (le Mali n’est absolument pas sous contrôle, au contraire, les islamistes sont en passe de réussir là-bas democratiquement ce qu’ils ont échoué à faire en 2012 militairement, et ce malgre les millions dépensés par la France avec Serval et Barkhane).  Face à cela les dirigeants eux-mêmes ne savent pas quoi faire, quand ils ne sont pas complices.

Le cas de la Gambie est à part, le type est un fou complet soutenu par les Saoudiens,  il  matraque son peuple de prêches en arabes a la radio et la television 24h sur 24h (http://www.breitbart.com/national-security/2015/12/13/gambia-declares-itself-islamic-republic-as-radical-jihad-spreads-in-africa/)

Quelques observations candides de ce que j’ai vu très récemment dans plusieurs pays d’Afrique de l’Ouest a priori non suspects d’encourager l’islam radical.

Guinée (Conakry) voilà quelques semaines : chasse gardée des Français, gros intérêts commerciaux, Vincent Bolloré en tête, faiseur électoral, qui tient le port qui lui rapporte dans les 30M d’euros par an avec toutes les activités de marine marchande associées, et les intérêts miniers. Certaines régions du centre, en particulier, et la capitale, ont reçu plusieurs centaines de milliers de dollars US depuis quelques mois. Alors que les mosquées locales mettent traditionnellement 6 à 8 mois à se construire, avec les dons des fidèles, les fonds pour chaque établissement qui pousse sous étiquette saoudienne, de l’ordre de 20,000 dollars, permettent que ces nouvelles constructions s’ouvrent en quelques semaines. La ‘littérature’ islamique en arabe suit. Les prêcheurs entraînés dans le golfe reviennent quelques mois après leur formation. Inculte et analphabètes, ils ont pignon sur rue et ouvrent leurs ‘écoles’ sous un auvent de bois – cours en arabe, petits garçons et filles voilées.

En Afrique de l’Ouest (dont 8 pays sur 16 sont d’anciennes colonies françaises) le côté francophone est pour l’élite, mais 80% du peuple ne parle que quelques mots, au mieux. Le même phénomène de ‘radicalisation’ est observé dans des pays aux alentours, y compris le Sénégal, présenté par les naïfs comme un rempart à l’extrémisme vue les forts courants soufi aux commandes. C’est un leurre : les Saoudiens achètent les réseaux religieux en place, arrosent et répandent le voile intégral (à raison de 100 ou 150 dollars par mois pour chaque femme qui le porte – cela, chiffre vérifié dans tous les pays cités précédemment). Ce que prépare l’avenir : une enfance qui échappe au circuit éducatif francophone, dans les pays d’anciennes colonies. Un développement spectaculaire des structures coraniques informelles. Une multiplication d’ONG islamistes, dans un contexte économique et social difficile… un embrigadement des réseaux islamistes qui marche, également grâce à leur discours anti-corruption : les élites en place, vues comme des alliées aux occidentaux, sont toutes pourries jusqu’à l’os, à de rares exceptions près. Un fonds de commerce anti-blanc..et anti-francais (plus qu’anti-americain, par exemple…) on se rappellera les émeutes au Niger et au Mali, quelques-unes au Sénégal, pour protester contre la participation de ces dirigeants à la marche parisienne consécutive à Charlie Hebdo. Au Niger, des centaines d’églises furent détruites. Toujours pas reconstruites… Ici le discours est radical, ouvertement, et anti-blanc. On a certes les attentats terroristes, et le Boko Haram…mais plus fondamentalement, il y a un courant, général, anti-occidental, que les Européens en particulier ne soupçonnent même pas.

Et nos politiques naïves de lutte contre la radicalisation se refusent de toucher à l’islam, bien sûr – mais de toute façon dans le contexte actuel, n’importe quel aveugle saurait qu’aucun occidental parlant de « deradicalisation » ne sera pris au sérieux. Au pire, cela entraînera des effets contraires. Les chrétiens (40% au Burkina, 20% au Sénégal) s’en sortent, par des stratégies différentes. Mais ils pestent, en privé, sur l’influence de l’autre religion, le contrôle social, les contraintes multiples. Au Nigeria évidemment on en est à un autre stade, les deux camps se détestent et l’unité même du pays est menacée.

Voilà la situation à l’heure actuelle, et même si on observe ici et là une re-christianisation – que les évangélistes entreprennent surtout dans les pays anglophones – ces tendances vont se poursuivre…

Note de Christine Tasin

Il est évident que tout cela a et aura des répercussions graves sur la France ( et l’Europe). Les troubles amèneront toujours plus d’Africains à vouloir fuir et arriver chez nous, et la pression de l’islamiquement correct amèneront nos dirigeants à nous imposer d’une main de fer  le respect de la charia, en arguant des risques courus par les Français de l’étranger face aux émeutes “causées” par nos caricaturistes et autres islamophobes.

Ne jamais oublier ce qu’une Christine Boutin avait été capable de porter plainte contre Charlie Hebdo en 2012.Elle accusait les journalistes du journal satirique d’être responsables des  violences subies par les chrétiens et les Français dans les pays musulmans.

Il est évident qu’on ne luttera pas, au contraire, contre le développement vitesse grand V du wahhabisme et de son corollaire, le terrorisme, en disant béni oui-oui aux interdits et prescriptions islamiquement correctes (à l’heure où l’EI menace, entre autres, les plus fidèles défenseurs de l’islam, l’imam de Brest, Alain Soral…). On ne luttera et on ne gagnera qu’en étant intraitables sur nos valeurs et nos traditions. L’urgence, une loi qui interdise le voile dans l’espace public.

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