Au cœur de Milan, un jeune homme est enrichi culturellement à coups de marteau…

►Au cœur de Milan, un jeune homme est enrichi culturellement à coups de marteau…

Ces actes de violence quotidiens ne sont pas des « faits divers » : il font partie du djihad que mènent les conquérants.

Ils suivent un schéma qui consiste à créer un climat de terreur, à déshumaniser ou punir ceux perçus comme « ennemis de l’islam » ou « infidèles ».

Coran, sourate 8, verset 60 :
« Et préparez [pour lutter] contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin d’effrayer (terroriser, intimider) l’ennemi d’Allah et le vôtre… »

Voxnews

Milan, le cœur battant de l’Italie, est désormais un champ de bataille, et le énième épisode de violence aveugle a déclenché l’alerte rouge !

Dans la soirée du vendredi 4 avril 2025, en plein centre-ville, un jeune homme de 22 ans a été brutalement agressé et frappé à coups de marteau sur le crâne par deux étrangers, dans une attaque qui appelle vengeance.

La victime, Federico, résidant à San Giuliano Milanese, a été laissée gisant dans une mare de sang pour quelques euros et un téléphone portable, tandis que les auteurs se fondaient dans la foule, profitant de l’insécurité qui étouffe désormais la ville. Il ne s’agit pas d’un incident isolé, mais d’une nouvelle preuve de l’invasion criminelle qui dévaste l’Italie, tandis que l’extrême gauche, avec des personnalités comme Ilaria Salis, continue de défendre ces prédateurs et de saboter toute tentative de rétablir l’ordre !

Témoignage de la victime, apparu ce 29 juillet :

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L’agression s’est produite près de la place Loreto, un quartier déjà connu pour sa criminalité croissante. Federico, après une soirée dans une Escape Room avec une amie, a été abordé par un individu qui, brandissant une banane comme s’il s’agissait d’un pistolet, a crié « Halte, police ! ».

Pensant qu’il s’agissait d’une blague, le jeune homme n’a pas eu le temps de réagir : deux autres complices se sont jetés sur lui, le frappant avec un marteau – probablement volé dans une boîte d’urgence des transports publics – et le rouant de coups de pied et de poing.

« Comme tu as bien coopéré, tu mérites un autre coup de marteau », a sifflé l’un des agresseurs, lui assénant un nouveau coup à la tête.

Le butin ? 30 euros et un téléphone déjà bloqué. La jeune fille présente a été épargnée, mais Federico a été renvoyé de l’hôpital, marqué dans son corps et dans son âme par cette barbarie.

►Inde : un musulman se fait passer pour hindou pour épouser une veuve hindoue et la force, ainsi que ses enfants, à se convertir à l’islam…

Les musulmans font ce genre de choses parce que le Coran interdit aux musulmanes d’épouser des « idolâtres » (Coran 2:221)

La zabiba proéminente sur le front de Mohammad Naseemuddin aurait dû être un indice.

 OpIndia 

A Bijnor, dans l’Uttar Pradesh, un homme nommé Mohammad Naseemuddin a été arrêté pour avoir caché son identité, épousé une veuve hindoue et l’avoir convertie de force, elle et ses enfants, à l’islam.

Selon les médias, la veuve d’un hôtelier avait rencontré Naseemuddin il y a près de dix ans. Se présentant comme « Ravi », il fréquentait régulièrement son hôtel et a gagné progressivement sa confiance. La femme avait déclaré l’avoir convaincue de l’épouser par mariage civil, puis, deux mois après le mariage, avoir révélé sa véritable identité et l’avoir forcée à se marier.

Après le mariage, il lui a extorqué 800 000 roupies, lui promettant de construire une maison. Il a également changé les noms et la religion de ses enfants ; ses filles Shivani et Himani ont été renommées Saniya et Sadmani, tandis que ses fils Karan et Arjun ont été renommés Faizan et Armaan.

►Un employeur musulman convertit de force un jeune chrétien au Pakistan…

Shamraiz Masih, 14 ans, de Sultan Town, Sargodha, Pakistan, a été converti de force à l’islam par son employeur musulman le 21 juillet 2025.  

 Morning Star News 

L’employeur musulman d’un jeune chrétien l’a converti de force à l’islam et le garde illégalement, a déclaré l’avocat de la famille.

À Sultan Town, à Sargodha, dans la province du Pendjab, Shamraiz Masih, 14 ans, s’est rendu au marché le 21 juillet et n’est pas revenu, selon  l’avocat Tahir Naveed Chaudhry. Shamraiz avait débuté comme apprenti dans un atelier de réparation de motos appartenant à Rana Munir après le décès de son père, Imran Masih, il y a quatre mois.

Après l’avoir recherché sans succès, les frères de Shamraiz ont déposé  uns première plainte pour enlèvement.

« Entre-temps, quelqu’un les a informés qu’ils avaient vu Shamraiz et Munir entrer dans la madrassa Madina Ghausia [école  islamique] située dans le quartier de Company Bagh », précise  Chaudhry au Christian Daily International-Morning Star News.

« Lorsque les garçons se sont rendus à la madrassa et ont demandé à voir leur frère, on leur a dit que Shamraiz s’était volontairement converti à l’islam et ne faisait plus partie de leur famille. »

Shamraiz, membre de l’église presbytérienne locale, appartient à une famille très pauvre. Sa mère, veuve, a été contrainte de l’envoyer travailler après la mort de son père.

(…)

►Soudan : les forces armées et la police démolissent une église tandis que des foules musulmanes harcèlent les chrétiens…

La  loi islamique interdit la construction de nouvelles églises. Il est interdit aux chrétiens de sonner les cloches, d’exposer des croix, de réciter la Torah ou l’Évangile à voix haute, ou d’exposer publiquement leurs funérailles et leurs fêtes, et de construire de nouvelles églises. – Reliance of the Traveller  o.11.5 (6,7)

Dans le schéma islamique, la communauté islamique doit toujours croître, et la communauté non musulmane toujours diminuer.

Soudan : une église démolie et des chrétiens harcelés…

 Middle East Concern 

Le 8 juillet 2025 à midi, des témoins ont rapporté avoir vu des véhicules de la police et des forces armées soudanaises encercler l’église pentecôtiste d’East Nile, à Khartoum, tandis que des civils démolissaient le bâtiment sans avertissement préalable. Le bâtiment, construit en 1990, comprenait une salle de culte et des bureaux administratifs.

Bien que la police et l’armée aient affirmé n’avoir joué aucun rôle dans l’opération, les véhicules étaient clairement signalés et leur présence a permis aux auteurs d’agir en toute impunité. La police a également empêché les civils de prendre des vidéos ou des photos pendant la démolition.

Les efforts visant à expulser les chrétiens du Soudan se poursuivent. À Shamaliya, des groupes d’extrémistes ont également commencé à harceler les chrétiens lors de leurs rassemblements religieux. De plus, de nombreux chrétiens font état de discriminations lorsqu’ils réclament des aides gouvernementales.

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