On le savait hors concours pour le prix annuel des Bobards d’Or. On croyait que Gérald Moussa Darmanin nous avait déjà tout fait, dans ce registre. Nous n’avons pas oublié qu’il a été le premier homme de droite à déposer plainte contre notre site, à l’époque où il n’était que maire de Roubaix, et qu’il ne nous avait pas pardonné d’avoir dénoncé ses magouilles et ses manières d’acheter le vote des musulmans en arrosant des familles de voyous.
Rappelons qu’il vient de LR et qu’il a trahi son parti pour rejoindre Emmanuel Macron, de qui il disait pis que pendre quelques jours avant son ralliement. N’oublions pas qu’il a été d’abord ministre de l’Action et des Comptes publics, sous le gouvernement d’Édouard Philippe, et donc qu’il fait partie des principaux responsables de l’aggravation du déficit de la France, depuis la venue de Macron aux manettes, en 2017.
En 2020, il devient ministre de l’Intérieur, et se distingue, dans une période où l’ensauvagement augmente, où les égorgements se multiplient, par une série de dissolutions, toutes plus scandaleuses les unes que les autres, dont la plus significative sera celle de Génération Identitaire, quand le même fout une paix royale aux antifas, aux Blacks Blocs, et se contente de temps en temps d’une sanction contre des sous-fifres islamo-gauchistes, pour justifier ses autres discussions liberticides.
C’est naturellement l’homme qui s’illustrera dans un mensonge d’État, autour de la finale de la Coupe d’Europe, à Saint-Denis, où, suite aux agressions des racailles locales, les supporters anglais seront accusés d’être les responsables du retard de plus d’une demi-heure du coup d’envoi, alors qu’ils en étaient les principales victimes. Darmanin maintiendra sa fausse version pendant un mois, avant de se rétracter piteusement, tout en conservant son poste.
Il embarquera dans son discours la ministre des Sports, Oudéa-Castéra, et la porte-parole de la préfecture de police, la pathétique Loubna Atta, qui fera condamner Christine Tasin à 8 000 euros d’amende et de dommages et intérêts pour avoir rendu publics ses mensonges, mais aussi son élocution catastrophique.
Toujours en place, le pire ministre de l’Intérieur que la Ve République ait connu, avec le minable Bernard Cazeneuve, qu’on a failli retrouver à Matignon une nouvelle fois, allait à nouveau se distinguer lors des émeutes ethniques ayant suivi la mort de la racaille Nahel Merzouk, avec six jours de pillages et de vandalisme. Là encore, Darmanin sera pris la main dans le sac, devant la représentation nationale, en osant dire, contre les images que tous les Français avaient vues, que beaucoup de pilleurs s’appelaient Kevin et Matteo.
Mais il y eut pire. Celui qui aime se faire appeler Moussa, au nom de sa prétendue double culture, envoya une circulaire à tous les préfets de France, leur demandant d’interdire toute manifestation ou tout rassemblement patriote susceptible de créer des troubles à l’ordre public et d’inciter à la haine. Naturellement, les zélés préfets de la République, toujours serviles, obéirent, à de trop rares exceptions, à ces consignes, qui s’apparentaient pourtant à une remise en cause d’un droit fondamental de la République, celui de manifester en toute sécurité.
Quelques groupes patriotes purent mettre 2000 euros sur la table, et engager des référés qu’ils gagnèrent presque à chaque fois. Nous eûmes le sommet de l’infamie quand des policiers, à Versailles, interdirent un hommage pour les dix ans de la mort de Dominique Venner, qui se tenait pourtant dans un lieu privé, au prétexte crapuleux que des propos haineux auraient pu y être prononcés. Darmanin faisait donc entrer dans les pratiques de la République le principe de précaution, qui permettait à n’importe quel préfet d’interdire les initiatives patriotes, quand les manifestations gauchistes non déclarées se multipliaient.
https://www.omertamedia.fr/interdiction-de-lhommage-a-dominique-venner-433/
Mais c’est six mois plus tard que celui qui était toujours en poste à Beauvau atteindra les sommets de la saloperie, du moins le croyait-on. Après la mort du jeune Thomas Perroto, 16 ans, poignardé à Crépol par des racailles venues du quartier de la Monnaie à Romans, il commencera par envoyer ses troupes de choc contre… des jeunes Français qui, spontanément, venaient exprimer leur colère contre la mort de leur compatriote. Laissant une paix royale aux racailles qui ont failli lyncher un jeune manifestant, Darmanin et son préfet feront arrêter une vingtaine de jeunes, qui seront traduits en comparution immédiate et lourdement condamnés.
On aurait pu penser qu’avec un tel palmarès, on ne reverrait plus Moussa, qui se rêve à l’Élysée en 2027, dans un gouvernement. C’était manifestement le choix de Barnier, qui l’a éjecté, alors que l’homme se rêvait ministre des Affaires étrangères. Mais le Savoyard censuré, nous eûmes droit au Pyrénéen, qui nous recolla Darmanin à la Justice, cette fois. Des candides pensèrent qu’après le catastrophique passage du Yéti Dupond-Moretti, les choses allaient s’améliorer place Vendôme. Lourde erreur, avec lui, les permissions continuent, les évasions se multiplient, les détenus ont toujours droit à leurs baisodromes, et pire encore, des pans entiers de la magistrature pourrie qui gangrène notre justice continuent de sévir.
Ainsi, le renégat Moussa, fidèle à lui-même, se porta solidaire des organisations de magistrats qui montèrent au créneau, suite à un numéro hors série de Frontières qui pointait du doigt l’ensemble des responsables du désastre migratoire, dont des juges, des avocats et des tribunaux nommément cités. Autrement dit, Moussa se portait en soutien des escrocs immigrationnistes, contre la liberté de la presse.
Dans un contexte où Macron essaie de faire croire aux Français, tous les jours victimes des agressions des islamistes et des soldats d’Allah et autres racailles musulmanes, que le danger pour eux vient de la Russie de Poutine, Moussa s’est senti obligé, dans la foulée de ses bobards précédents, d’en faire des tonnes dans l’ignominie.
Il a osé instrumentaliser la mort des deux enseignants, Samuel Paty et Dominique Bernard, et, comme toujours, pour mieux protéger ses amis, voire ses coreligionnaires musulmans, il a osé accuser Vladimir Poutine de refuser de reprendre les nombreux délinquants russes, c’est bien connu, qui ensauvagent la France, lui faisant porter la responsabilité de la mort des deux professeurs, parce que les assassins étaient tchétchènes, donc russes.
En terme de cynisme, de manipulation d’État et, disons-le, de saloperie, on peut difficilement faire pire, et bien sûr, un tel mensonge d’État ne pouvait pas ne pas faire réagir la sœur de Samuel Paty, Mickaëlle, qui, indignée, s’est exclamée : « Je suis stupéfaite d’entendre de la bouche de la porte-parole du gouvernement que le rôle de la Russie est engagé dans l’attentat contre mon frère Samuel Paty, alors que rien, durant toute l’enquête, n’a permis de faire le moindre lien entre le terroriste Anzorov, réfugié en France, et la Russie. »
L’excellent site Fdesouche a pris le ministre de la Justice les mains dans le pot à confitures, en flagrant délit de mensonge d’État, une fois encore.
Voilà toutes les crapuleries dont est capable un politicard comme Darmanin, qui a commencé, dit-on, à militer dans sa jeunesse à l’Action Française, qui a dû toute sa carrière à Christian Vanneste, qu’il a trahi, à la demande de Sarkozy, pour prendre sa place, et qui, depuis, multiplie tous les mensonges d’État avec un rare cynisme et le don de se foutre ouvertement de la gueule des Français.
Raison de plus pour censurer au plus vite ce gouvernement pourri où il sévit à la Justice, et pour renvoyer définitivement le traître Darmanin dans les poubelles de l’Histoire, ou peut-être un jour devant des tribunaux d’exception pour haute trahison.
43 total views, 43 views today
Magnifique récapitulation des actes ignobles (connus…) du nuisible Darmanin. Un homme qui, depuis toujours, se vautre dans le mensonge éhonté et la trahison ouverte des intérêts du peuple français. Quand j’entends des journalistes parler de lui comme d’un « dur » du gouvernement, j’ai la nausée.
Les responsables de ces morts sont avant tout ceux qui permettent aux assassins d’entrer chez nous et d’y demeurer, d’y prospérer. Le ministre de la Justice devrait démissionner et quitter la vie politique, ce n’est plus sa place. Le mensonge devrait être exclu de toute démocratie qui se respecte.
Écoeurement ! Il n’y a pas d’autres mots pour désigner le sentiment face à cette bassesse sans nom! Si le ridicule ne tue pas, il blesse, le Moussa prend vraiment les français pour des débiles! Mais malheureusement, bien souvent leurs réactions face à l’infamie lui donne raison.