« Dernier domicile connu » (1969), la formidable alchimie entre Lino Ventura et Marlène Jobert

9 Commentaires

1. Ce qui faisait la qualité de ces films c’est qu’ils racontaient de vraies histoires (pas des pamphlets politiquo-soviologiques), que les acteurs étaient de bons comédiens pas des starlettes à la recherche d’une reconnaissance, que les hommes étaient des hommes et les femmes des femmes et que les réalisateurs avaient de la rigueur (non, ce n’est pas un gros mot) dans leur métier.

2. Ah, c’était l’âge d’or du cinéma français. Entre les années 50 et les années 80 (bon, allez, je vais pousser jusqu’à 1990/91), il y avait toute une palanquée d’excellents films qui sortaient. Même certains films méconnus du grand public étaient des petites pépites.

3. Formidable, je ne m’en lasse pas. Lino et Marlène !

4. Ce qui a change au niveau de la criminalite depuis cette epoque ?
   A mon avis, c est que la police actuellement arrive a attraper le coupable beaucoup plus rapidement mais en revanche la Justice est beaucoup plus laxiste envers celui ci.

   • La police avance et la justice recule.
     On dira que c’est un tango. 😉

5. Vos articles sont toujours épatants. Mille fois merci.

   • C’est moi qui vous remercie mille fois !

6. C’était si bon la France avant la chute. Le cinéma d’aujourd’hui avec ses acteurs débiles me donne envie de vomir.

7. Dernier domicile connu : Un film formidable, en effet que j’ai vraiment beaucoup aimé et revu quasiment chaque fois qu’il passait à la télé. Le duo Lino/Marlène est magique. Du suspense … Un film comme on n’en fait plus !
   Lino Ventura incarne la force tranquille, économe de gestes et de paroles, tout le contraire des insupportables agités déconstruits, incertains et « blablateurs » à l’honneur aujourd’hui qui veulent se donner « l’air » mais qui n’ont pas « l’air » du tout (comme disait Jacques Brel).

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