En salissant la mémoire du général Faidherbe, vous salissez l’immense œuvre civilisatrice de la France accomplie par nos glorieux ancêtres. Mais avez-vous la moindre idée de ce que fut l’épopée coloniale de la France ?
Originaire de Lille, le général Louis Faidherbe, qui fut gouverneur du Sénégal après l’avoir pacifié, est à son tour victime de la dictature du politiquement correct et des pourfendeurs de la colonisation, au mépris de la vérité historique.
C’est ainsi que Martine Aubry vient de faire poser un panneau préventif devant la statue du général Louis Faidherbe (1818-1889), sur lequel est stipulé que la municipalité « désapprouve les actes coloniaux » de ce grand serviteur de la France.
https://www.bvoltaire.fr/lille-martine-aubry-sen-prend-au-passe-colonial-de-faidherbe/
Depuis une vingtaine d’années, il est de bon ton de déconstruire l’épopée coloniale de la France, en occultant soigneusement ce que nous avons trouvé en arrivant en Afrique, ce que nous y avons laissé en 1960 et ce qu’il reste de l’héritage colonial soixante ans plus tard. Et la vérité ne grandit pas les démolisseurs de notre pays, qui relisent l’histoire de France avec leurs lunettes roses d’aujourd’hui.
Ce que nous avons trouvé en arrivant en Afrique :
L’Afrique subsaharienne n’ayant pas d’écriture, il n’y avait donc pas de civilisation avancée, mais une mosaïque de plusieurs milliers de tribus, vivant à l’écart du monde moderne. Ce que nous avons trouvé sur ce continent ?
Les guerres tribales, les famines, les épidémies dévastatrices, l’esclavage, le cannibalisme et les sacrifices humains. Tous ces fléaux, nous les avons éradiqués.
Ce que nous avons laissé en partant, en 1960 :
C’est un bond en avant de 1000 ans que nous avons fait faire à tout un continent. En 1960, l’Afrique indépendante avait un niveau de vie supérieur à toute l’Asie, hors Japon. Nous y reviendrons.
Ce qu’il reste de cet héritage colonial dont la France n’a pas à rougir
On aimerait que les ayatollahs de la bien-pensance, qui font l’éternel procès de la France, salissant son histoire et ses illustres figures comme jamais, nous fassent aussi le bilan de soixante années d’indépendance du continent africain.
Le PIB africain est inférieur à celui de la France et 600 millions d’Africains n’ont toujours pas d’électricité. Est-ce encore notre faute ? Dans le même temps l’Asie a fait un bond de géant et va dépasser l’Occident.
La question n’est donc pas de savoir si la colonisation a été un bienfait pour le continent, ce qui est une évidence ; la vraie question est de savoir s’il fallait coloniser l’Afrique ou la laisser crever de ses fléaux.
Donc, y aller ou pas, nous pouvons en débattre, mais pas question de salir la mémoire de ceux qui ont fait rayonner la France sur tous les continents, pas question de céder aux mensonges qui salissent notre fabuleuse œuvre civilisatrice.
Macron devrait répondre à cette question avant de déclarer que la colonisation fut un crime contre l’humanité. Le véritable crime n’eût-il pas été de priver des millions d’êtres humaine des bienfaits du progrès occidental ?
Stop à tous les mensonges des pourfendeurs de la colonisation
Pour moi, comme pour tous les patriotes de ce pays, la colonisation, si controversée, restera à jamais une des plus belles pages de notre fabuleux roman national. Les mensonges des mondialistes et du lobby immigrationniste, qui réécrivent l’histoire sans comprendre qu’ils distillent la haine de la France dans le cœur de nos immigrés, ne changeront rien à cette réalité.
La France a rayonné sur un territoire immense, grand comme vingt fois la métropole, et a propulsé des millions d’hommes et de femmes vers la modernité. C’est ce que retiendra l’Histoire dans mille ans, les empires coloniaux ayant alors rejoint ceux de l’Antiquité, bien loin des calculs politiciens d’aujourd’hui.
Quand notre Président ignare a voulu donner des gages au gouvernement algérien, en déclarant que la colonisation était un crime contre l’humanité, il a non seulement menti, mais il a sali la France et craché sur la magnifique œuvre civilisatrice de cette fabuleuse épopée, au cours de laquelle explorateurs, militaires, administrateurs, médecins, colons, enseignants, missionnaires, bâtisseurs et aventuriers intrépides ont transformé des terres vierges, hostiles et sauvages, en pays modernes et pacifiés. C’était au temps où la France, riche et puissante, de gauche comme de droite, n’avait peur de rien.
De ces contrées lointaines et inhospitalières sont sortis des villes, des routes, des voies ferrées, des ports, des aéroports, des écoles, des universités, des hôpitaux, des usines, des élevages, des cultures et des vergers. La tâche accomplie est titanesque.
La langue française et la transmission de nos savoirs et de nos valeurs humanistes ont propulsé tout un continent vers la modernité, lui faisant faire un bond en avant de 1000 ans.
Nul ne peut contester qu’en quelques décennies de présence française, la paix, la santé, la scolarisation et la démographie ont progressé dans tout l’Empire. À l’heure de l’indépendance, en 1960 pour la plupart de nos colonies, tous les pays d’Afrique étaient viables et possédaient un niveau de vie très supérieur à celui de l’Asie, hors Japon.
La Chine de Mao était encore bien plus pauvre que l’Afrique et ne fabriquait que des lampions et des cerfs-volants, avant de devenir un colosse économique qui fait trembler le monde.
Avec la même population que la Chine, 1,4 milliard d’habitants, les 54 pays d’Afrique produisent moins de richesses que la France avec ses 67 millions d’habitants. C’est le seul continent où la pauvreté ne régresse pas, bien qu’il monopolise l’essentiel de l’aide internationale.
Voici donc la réponse aux six affirmations mensongères que les détracteurs de la colonisation assènent depuis des lustres, pour culpabiliser les Européens, réclamer repentance à tout propos et surtout pour masquer l’échec cuisant de l’indépendance, qui laisse l’Afrique sur le quai, alors que l’Asie a désormais dépassé l’Europe dans tous les domaines.
Il est vrai que le confucianisme, prônant le goût de l’effort et le mérite, fait des miracles en Asie.
1) La conquête de l’Afrique a-t-elle été meurtrière ?
Certes, la conquête ne s’est pas toujours déroulée la fleur au fusil et reconnaissons qu’il y eut davantage de victimes chez les Africains que chez nos soldats. Mais bon nombre de territoires se sont rendus sans combattre et des centaines de traités furent signés sans faire couler le sang.
Du côté français et de nos troupes indigènes, les maladies et épidémies ont fait bien plus de ravages dans les rangs que les combats. La conquête de Madagascar en est le meilleur exemple. Si le tiers du corps expéditionnaire de 18 000 hommes y laissa la vie, 99 % des victimes ont succombé aux maladies. Ce fut une hécatombe.
Du côté de la résistance africaine, il est clair que le combat était inégal et que le nombre de tués était souvent 10 à 20 fois supérieur chez les indigènes que chez nos soldats.
Mais aucune archive ne permet de chiffrer précisément le nombre de victimes chez les peuples conquis. Comment pourrait-on évaluer l’impact des combats sur la démographie, alors que le continent africain, mosaïque de plusieurs dizaines de milliers d’ethnies, était en proie à des guerres tribales incessantes, des épidémies et des famines à répétition ? Autant de fléaux que la colonisation a éradiqués.
Et si la conquête a été meurtrière, l’admirable travail de nos médecins a fait reculer la mortalité infantile dans des proportions gigantesques, tandis que nos soldats pacifiaient ces contrées et mettaient fin aux guerres ancestrales meurtrières. C’est donc un bilan global positif, systématiquement nié par le discours bien-pensant.
2) La colonisation a-t-elle reposé sur l’exploitation des indigènes ?
La colonisation a été évidemment une grosse consommatrice de main-d’œuvre indigène, pour mettre en valeur un continent en friches. Porteurs utilisés par milliers pour se déplacer dans des pays sans voies de communications, ouvriers pour construire des routes et des voies ferrées inexistantes. Ce qui ne veut pas dire esclavage et travail gratuit.
C’est le volontariat qui a prévalu. Et si le recours au travail forcé a bien existé sur les chantiers de voies ferrées, il est à mettre en parallèle avec l’abolition de l’esclavage qui sévissait entre tribus, frappant les ethnies “inférieures”, esclaves de père en fils.
3) La France a-t-elle apporté la civilisation ?
Avec un Président assez stupide pour affirmer en Algérie que la colonisation fut une barbarie, il convient d’en revenir aux faits incontestables et de dénoncer ce mensonge éhonté.
Personnellement, que la France ait apporté la civilisation en Afrique est une évidence. Car ce que je sais, c’est ce que nous avons trouvé en arrivant sur ce continent. On le le dira jamais assez :
Esclavage, guerres tribales, famines, épidémies, cannibalisme et sacrifices humains.
En 1960, tous ces fléaux qui ravageaient l’Afrique depuis des siècles avaient disparu et ce continent devenu indépendant pouvait regarder l’avenir avec confiance.
Si ce n’est pas là un gigantesque bond en avant vers la civilisation, qu’est-ce que c’est ?
Au XIXe siècle, la France voulait faire triompher les idéaux de 1789 et cette mission civilisatrice a guidé Jules Ferry et Jean Jaurès,bien au-delà des intérêts mercantiles de l’entreprise coloniale.
Après les violences de la traite négrière, la colonisation du continent africain, à partir de 1850, fut un outil de libération. “Libérer, soigner, éduquer” furent les piliers de cette mission.
Rappelons, en passant, que si la traite atlantique a fait 14 millions de victimes, la traite interafricaine et la traite arabo-islamique en ont chacune fait tout autant. Mais il y a des victimes davantage politiquement correctes que d’autres… Seuls les Européens sont coupables.
Abolition de l’esclavage en 1848, développement de la médecine tropicale, lutte contre le paludisme, la fièvre jaune et la maladie du sommeil, généralisation des écoles et apprentissage du français. En 1944 à Brazzaville, de Gaulle exaltera cette mission civilisatrice, que les tenants de la repentance éternelle veulent faire oublier.
“La médecine coloniale avec ses médecins militaires, fut le fer de lance de l’action civilisatrice et humanitaire de la France”, dira André Audoynaud, auteur spécialiste de l’Afrique.
4) Les soldats africains ont-ils servi de chair à canon ?
Le discours ambiant veut que les troupes indigènes aient été engagées “comme du bétail”, sans le moindre souci des pertes subies. Une légende qui a la vie dure.
Car, sur l’ensemble de la guerre 14-18, la plus meurtrière, il s’avère que les pertes de “tirailleurs sénégalais” et autres troupes indigènes sont proportionnellement équivalentes à celles des soldats métropolitains. 22,4 % contre 22,9 %.
En 1943 sont mobilisés 233 000 soldats maghrébins, 100 000 tirailleurs africains et 170 000 “pieds-noirs”, pour combattre aux côtés des Alliés.
De 1943 à mai 1945, les pertes sont les suivantes :
6 % pour les soldats métropolitains, 6 % pour les troupes maghrébines, 5 % pour les tirailleurs africains et 8 % pour les soldats “pieds-noirs”.
Par conséquent, si les troupes indigènes se sont battues avec courage au cours des deux conflits mondiaux, prétendre qu’elles ont été utilisées comme chair à canon est un mensonge.
Quant à la légitimité d’engager des hommes dans une guerre qui ne les concernait pas directement, c’est un autre débat. Nos colonies étaient une partie de la France. Il me paraît donc naturel que les ressortissants de ces pays aient été engagés aux côtés de nos soldats.
5) La France a-t-elle pillé ses colonies ?
La France a retiré de ses colonies des matières premières et inversement, elle a bénéficié de nouveaux débouchés pour son commerce et son industrie. C’est un fait.
Mais comment peut-on parler de “pillage” alors que la majorité des transferts de capitaux s’est faite vers les colonies ? Non seulement les salaires des fonctionnaires, la construction des villes et des infrastructures ont été financés par la métropole, mais la plupart des denrées importées des colonies l’ont été à un prix supérieur au cours mondial, parfois jusqu’à 30 % plus cher.
Grâce aux financements publics, les PIB de l’AOF et de l’AEF ont augmenté respectivement de 8,5 % et 10 % par an entre 1947 et 1956. Le PIB par habitant a augmenté de 20 % entre 1950 et 1960.
En 1960, le PIB/hab de nos colonies est le double de celui de la Chine. Où est le pillage ?
6) Les colonies ont-elles été le moteur de la croissance française ?
La réponse est NON !
De la fin du XIXe siècle à l’indépendance, les balances commerciales de l’AOF et de l’AEF ont été très largement déficitaires. L’Afrique a donc vécu à découvert grâce au contribuable métropolitain, malgré la charge de la guerre et de la reconstruction.
Ces transferts ont été un gouffre pour la France et un frein pour la modernisation du pays.
Et si certaines entreprises privées ont pu tirer profit de la colonisation, la construction de pays entiers durant plus d’un siècle s’est faite au détriment des infrastructures et du développement de la Métropole.
Car la France n’a jamais possédé de colonies riches en matières premières et ce n’est que sur le tard que pétrole, gaz et uranium ont été découverts.
Jacques Marseille avait conclu sur ce sujet que l’entreprise coloniale avait finalement nui au développement économique de la France.
Conclusion
La dictature du politiquement correct est certainement le cancer le plus virulent qui ronge notre pays, au point de le détruire peu à peu. On a rarement vu au cours de notre histoire des dirigeants aussi poltrons que ceux de l’UMPS qui rasent les murs depuis trente ans. Tétanisés par la peur d’être taxés de racisme, ils en sont venus à renier notre histoire de France et à perdre toute dignité, en se répandant chaque jour dans une pitoyable repentance, qui ne peut que susciter le mépris à leur égard. La grave crise identitaire qui frappe le pays est la conséquence de leur politique du renoncement permanent. Ils ne savent que capituler en espérant acheter la paix civile. C’est la débandade généralisée. Un seul mot d’ordre : pas de vagues.
Or, une nation qui renie son passé, quel qu’il soit, ne peut que disparaître. Quant à l’échec de l’intégration, qui finira par dynamiter la société, il est le résultat de nos lâchetés. Cet échec nous l’avons programmé en enseignant aux immigrés que nous sommes d’immondes salauds. Le droit à la différence a détruit le moule républicain qui avait fait des immigrés européens de vrais patriotes français. C’est le règne du mea-culpa.
Il est donc éminemment regrettable que l’épopée coloniale française ne puisse donner lieu à un débat serein, bien loin de cette morale à sens unique qui refuse d’admettre des vérités historiques et conteste l’œuvre civilisatrice de la France, initiée par Jules ferry et Jean Jaurès.
Loin de ternir cette aventure intrépide, nous devrions au contraire honorer la mémoire de nos ancêtres qui ont fait la grandeur de la France au temps où elle rayonnait sur un empire de 11 millions de kilomètres carrés et où les noms de Dakar, Nouméa, Hanoï, Cayenne ou Djibouti évoquaient des paradis lointains pour des générations de Français nostalgiques d’aventures exotiques. Car contrairement aux affirmations de nos pleureuses tiers-mondistes, la colonisation fut pour des millions d’hommes et de femmes le plus grand fait de l’histoire. Et tous nos mea-culpa ne changeront rien à cette vérité.
Rappelons également que si les Américains ont volé leurs terres aux Indiens et les ont exterminés, si les Anglais ont massacré une bonne partie des Aborigènes d’Australie, si les Arabes ont colonisé et islamisé définitivement des territoires immenses, ce n’est pas le cas de la France qui a restitué leurs terres aux Africains sans commettre de massacres de masse. Cessons donc de courber l’échine et de culpabiliser sans raison.
Nos pitoyables élites françaises, Macron en tête, adorent rabaisser la France aux yeux du monde. Une repentance qui, loin de nous honorer, est synonyme de soumission.
(source : un article paru dans le Figaro Histoire, 2013)
Jacques Guillemain
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Belle aventure humaine certes, mais qui ne nous rapporte rien.
Nous sommes ruinés et aucune reconnaissance ne vient compenser cela.
On aurait dû les laisser dans leurs coutumes barbares, leur ignorance, leurs cases et leurs gourbis, et surtout éviter de les soigner, car ils se sont multipliés comme des lapins, et veulent nous éliminer en retour.
Par contre Mme Aubry, je ne serais pas fière de ce qu’a laissé mon père.
Ce monstre totalitaire soviétoïde bruxellois qui nous broie comme de la piétaille et nous traite comme du bétail.
Ca oui, c’est de la merde, de la merde socialo, comme vous seuls pouvaient en concocter.
Ah ! le temps heureux de l’Union des républiques socialistes soviétiques !
Quelle s’occupe,de ses fesses,? Elle a mis, avec ses copains socialistes? La France 🇫🇷 en miettes, alors, nous n’avons surtout pas, à recevoir, des leçons,de cette personne 🤮qui a mis,la France 🇫🇷 ou, elle se trouve hélas? ???
Marre des irresponsables? Qui ont détruit nôtre Patrie😡
Si l’Afrique qui est un continent si riche va si mal avec plus de pauvres c’est parce que les pays africains ont reçu trop d’aide financière occidentale et que leurs dirigeants sont des corrompus ignorants et paresseux.
Il y a moins de pauvres en Chine et un meilleur PIB parce que les pays occidentaux n’ont pas donné des milliards à la Chine.
Les pays européens ne doivent plus donner de l’argent à des pays en voie de développement et à des immigrants faux réfugiés mais diminuer leurs dettes monstrueuses et immorales puisque ces dettes sont mises sur le dos de nos descendants.
La « chance » de la France est d’avoir occupée des territoires sans ressources naturelles à l’époque . Elle n’a donc pas colonisé au sens d’envois de colons sur ces territoires. Exception l’Indochine, l’Algérie, le Maroc. Avec sur ces territoires la présence de fortes cultures , la colonisation ne s’est pas déroulée comme un long fleuve tranquille.
L’immense erreur de cette colonisation a été d’instruire ces populaces d’arriérés, les colons ont fait la connerie de leur vie, maintenant, on a (leurs descendants), tout ce merdier qui squatte notre belle France en se comportant tels des animaux ! Alors qu’au jour d’aujourd’hui, ils seraient encore dans les arbres comme les primates qu’ils sont et ceux qui vivent au sol seraient logés dans des huttes construites en bouses de vache séchées.
Le seul tort de la colonisation :avoir essayer d’éduquer des populations qui vivaient fort bien dans l’inculture et l’ignorance.
Madame Aubry finira comme elle a vécu, dans une bière.
Fabuleux !!!
Excellente démonstration, à IMPRIMER et à ENVOYER par La Poste à l’adresse postale publique de la poivrote, à la mairie de Lille, que vous trouverezsur la page
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Afin que la pocharde sache que, concernant la colonisation, elle ne pourra désormais plus se permettre de dire impunément des âneries aussi pourries que son foie.