MEDEF, FNSEA, banques : pas le genre qui se laisse gouverner par les émotions, et pourtant ils n’ont pas tardé à proclamer leur volonté de « venir en aide aux réfugiés« .
Eux qui d’habitude ont des oursins dans les poches sont prêts à cracher au bassinet pour ces pauvres hères qui fuient la guerre. Que c’est beau !
Pourquoi cette soudaine générosité ?
En lisant les communiqués de presse publiés pour annoncer la bonne nouvelle, on remarquera qu’ils envisagent des programmes :
- « de formation et d‘insertion« (BNP Paribas)
- « d’accompagnement professionnel, de formation et d’apprentissage« (Air Liquide, Michelin, Sodexo et TOTAL),
- « intégration, apprentissage de la langue et des savoirs essentiels » (EDF),
- « accompagnement à moyen terme, notamment en matière de formation et d’insertion professionnelle » (AXA).
Pierre GATTAZ, Président du MEDEF, déclare quant à lui :
« Nous sommes en train de nous organiser au niveau du MEDEF avec des gens très concernés par ce sujet pour essayer de mettre en place des propositions … sur une intégration plus efficace de ces migrants. »
Enfin, dès le 25/08 sur Europe 1, Xavier BEULIN, Président de la FNSEA, déclarait que le secteur agro-alimentaire pouvait fournir plusieurs milliers d’emplois aux réfugiés, ajoutant que c’était d’ailleurs une « tradition » dans ce secteur (et de nous rappeler l’ère des saisonniers espagnols et portugais).
1ère série de conclusions (on s’en doutait déjà, mais là on en a les preuves, ce qui est toujours mieux) :
- les réfugiés (tout au moins la plupart) sont en fait des migrants économiques,
- ils viennent donc pour s’installer, pas pour se réfugier le temps de la guerre,
- le patronat des années 60-70 était avide de main d’œuvre bon marché, le patronat 2015 est avide de « diversité », le résultat est le même (chômage pour les Souchiens),
Notons aussi que les grandes entreprises insistent sur l’implication de leurs collaborateurs dans ces « programmes d’aide aux réfugiés ». Je trouve cela particulièrement cynique :
Le 26/03/2015, Le Figaro Eco rapportait qu’il y avait en France 2 000 000 de jeunes (18-25 ans) sans diplôme, sans formation et sans emploi (je doute qu’on ait résorbé le « stock » depuis cette date) et que par ailleurs 1 jeune sur 3 était « surqualifié » pour son emploi.
On sait aussi que chaque année, des milliers de jeunes diplômés quittent la France, las des stages à 500 €/mois et/ou des emplois sous-qualifiés.
Par ailleurs, le blog Seniors en forme faisait état début septembre d’une augmentation alarmante des chômeurs de + de 50 ans (avec un record de +874% en 4 ans pour les + de 60 ans).
Quand, dans ces conditions, le patronat affiche sa volonté d’intégrer professionnellement les réfugiés tout en impliquant ses collaborateurs, il demande auxdits collaborateurs de contribuer à la formation de ceux qui vont :
- les remplacer à quelques années de la retraite (et vu la mentalité générale chez les patrons français, ils auront très peu de chance de retrouver un emploi, donc très peu de chance d’avoir une retraite complète qui leur permette de vivre décemment),
- priver leurs enfants (ou ceux de leurs voisins, amis, …) d’une possibilité de formation ou d’emploi, les condamnant ainsi à l’exil ou à la misère.
2nde série de conclusions
- le patronat affiche sa préférence étrangère pour les futures embauches,
- en impliquant leurs collaborateurs, les patrons veulent les humilier, et les tester ; il est probable qu’à terme, seuls les « plus impliqués » survivront,
Mais que viennent faire la Sorbonne et les ZEP (Zones d’Éducation Prioritaire) avec le patronat et les banques, me direz vous ?
1 – Paris 1 – Panthéon Sorbonne accueille 100 étudiants réfugiés (voir l’article de Christine
ici )
et accepte le chèque du Qatar : 600 000 €/an pendant 3 ans, soit 6 000 €/an/étudiant ; et bien sûr ces étudiants réfugiés auront droit en sus à toutes les allocations prévues par notre généreuse législation.
Cette année, combien de brillants bacheliers français (ou étrangers en situation régulière) ont vu leur rêve d’intégrer la Sorbonne s’écrouler, parce que le système inepte du tirage au sort en avait décidé autrement ?
Combien auront renoncé à demander la Sorbonne, sachant que leur famille ne pourrait pas assumer leurs frais de vie à Paris ?
2 – les Zones d’Éducation Prioritaire (on les trouve principalement dans les QSTD et QSD – quartiers sensibles très difficiles ou quartiers sensibles difficiles).
Voir à ce propos l’article publié sur POLEMIA par Claudine Meunier-Berthelot
ici
Elle explique en substance que dans la politique de BELKACEM ce qui est bien plus dangereux et plus pernicieux que les programmes, c’est le recrutement : d’un côté des dizaines de milliers de postes d’enseignants et d’animateurs, réservés en priorité aux « djeunes », sous qualifiés mais pas cher payés pour les écoles, collèges et lycées sans problème ; d’un autre côté, des recrutements en plus petit nombre, mais de qualité avec à la clé une formation sérieuse, une rémunération très correcte et un poste d’enseignant en ZEP où on a décidé de « mettre le paquet », c’est-à-dire de dispenser une solide instruction.
Conclusion ?
Patronat et Éducation Nationale ont décidé d’agir de façon coordonnée pour accélérer le Grand Remplacement.
Ces actions sont extrêmement agressives envers la population de souche :
Il s’agit maintenant de lui faire accepter que ce que le pays a de meilleur à offrir sera désormais réservé aux autres (le Big Other de Jean Raspail) et de lui faire comprendre clairement que c’est désormais parmi ces autres que sera recrutée l’élite.
Il s’agit aussi de tester, de commencer à faire le tri entre les dissidents (à briser) et les volontaires pour la dhimmitude (ceux que l’on pourra continuer d’utiliser), de vérifier où en est la cuisson (vous savez, la grenouille plongée dans l’eau qui chauffe …).
Décidément, on peut dire que cette « submersion migratoire » arrive à point nommé…
Béatrice Bontemps, responsable Résistance républicaine Ille etVilaine
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attali -sans majuscule- l’a déja dit’ après 60 ans nous ne sommes plus rentables’
à quand la piquouze pour nous envoyer ad patres?
Les Français sont bon qu’a travailler et après quand t’ils sont trop vieux, plus rentable ils ne leur reste plus qu’a crever.
Petite anecdote personnelle qui ne fait que confirmerque migrants d’abord et Français aux oubliettes, juste bons à payer des charges et impôts et à s’effacer devant tous ces jeunes arrivants apparemment en pleine forme ,chargés de nous remplacer et destinés à profiter de ce que plusieurs générations ont construit,et notamment de notre sécu!
Lundi, j’ai été opérée d’un cancer de la paupière inférieure: séjour prévu, une nuit, malheureusement, la veille et le matin de mon départ j’ai eu des vomissements et le chirurgien a fait appeler l’anesthésiste de garde… ce dernier a fait son apparition 3heures aprés et sans m’examiner ,a décidé que ma « mine » me permettait d’effectuerles 300 kms me séparant de mon domicile…Il va de soi, que la sécu n’avait pas les moyens de m’accorder une nuit de plus d’hospitalisation!!! Comme beaucoup de compatriotes, j’ai cotisé plus de 40ans, je paye l’impôt sur le revenu, et défaut primordial je ne suis plus jeune….ALORS QUE CEUX qu’y arrivent,vont redresser notre économie et en premier notre sécu, mise à mal par ces vilains Français, qui ont le culot d’être malades!
Merci Parisienne pour ce témoignage, édifiant…
servile ? pour pas longtemps! pas chère? pour pas longtemps!ils deviendront vite des assistés des pleurnichards et des usines à fabriquer de nouveaux musulmans pour nous écraser sous le nombre, bel avenir n’est ce pas?
Tout ça est voulu du départ , un réservoir de main d’oeuvre servile et pas cher , et nous on ira pointer au chômage , sans compter que ça va leur faire des électeurs une fois naturalisés …turlututu …..dans le ……..et dire que des gens votent encore pour ces voyous .
pour plagier Mère Térésa’ nous ne sommes qu’une goutte d’eau dans la mer mais si elle manquait la mer ne serait plus la mer’.
Bientôt ont sera aussi mal que la Grèce, peut-être même plus mal et cela grâce à qui , à hollandouille ,à casevide ,à valls et à taubira rien que pour nommé ses 4 là. Les minuscules des noms propre c’est voulu. Ils ne méritent pas des majuscules sauf à Abruti.
Le MEDEF n’est obnubilé que par une seule chose le profit, uniquement le profit , toujours plus de pognons, plus de millions quand se n’est pas des milliards. Le MEDEF est une énorme pompe à fric et toujours au dépend des ouvriers ,bien sur. Mais là il va se planté en beauté le MERDEF.
Et oui, maintenant les grands patrons, çà fait beaucoup de monde tout çà, tous ces gens font partie des multinationales que les petits patrons ne savent pas se payer, c’est les mêmes genres comme la multinational qui font les tee shirt H et M, qui n’hésitent pas a construire des bâtiments en Inde à moitié pourri et laisser plus de 1100 personnes mourir sous un de ces bâtiments qui s’était écroulé, ils ne voulaient même intervenir, la justice dû bouger.
Voilà comment ces gens là s’enrichissent sur la misère des peuples, au nom des pays en vois de développement.
Comme certains artistes bien connus sont en train d’acheter des Îles grecs pour une bouchée de pain, et ils ont bien attendu que la Grèce soit bien enfoncé dans la pauvreté, bonjour les rapaces.
Toutes ces multinationales et toutes les banques sont ensembles et même politiques sont dans les mêmes mains, et tout est payer gracieusement par tous les peuples du monde.
C’est l’esclavage redevable à perpétuité les amis, voilà le système, que j’appel les rapaces.
Mais vous petits patrons n’essayez pas de faire la même chose, les lois sont là pour nous et sans parachute doré bien sûr, pour nous c’est un sans filet.
Tout à fait. s’ils s’imaginent qu’ils sont venus clandestinement pour travailler, ils sont plus que naïfs, ils sont d’une bêtise sans borne. Dans quelle panade La France et l’Europe se sont mises. Nos générations françaises futures….!!!???ont un horizon plus que sombre.
allé dernière infos de CONTRIBUABLES ASSOCIES AVANT D ALLER AU TURBIN….
Chère amie, Cher ami,
Depuis la rentrée, on ne parle presque plus que de ça : LES MIGRANTS.
La France va accueillir des dizaines de milliers de réfugiés.
Au-delà de la solidarité que l’on ressent avec les victimes de la guerre civile en Syrie et de la légitime émotion que l’on éprouve en voyant la photo du petit garçon noyé sur une plage turque, une question primordiale se pose :
Quel est le coût de cet accueil ?
Combien devrons-nous encore débourser de notre portefeuille ?
Le Premier ministre Manuel Valls évoque un plan de plus de 600 millions d’euros. La présidente du Haut Comité pour le logement, Marie-Arlette Carlotti, propose de libérer plus de 70 000 logements sociaux.
D’où sort cet argent ? Où l’État trouve-t-il subitement ces moyens, alors que les listes d’attente pour les logements sociaux ne cessent de s’allonger ? Comment un État endetté à plus de 2 100 milliards d’euros peut-il sortir de son chapeau des fonds qu’il n’a pas ?
Soyez-en sûr, au final, vous et moi passeront à la caisse ! Mais le pire c’est que la facture sera beaucoup plus salée encore que ce qu’a annoncé Manuel Valls… C’est bien connu, pour faire passer la pilule, on minore les chiffres !
Les appels à la solidarité ne cessent de se multiplier en provenance des syndicats, des mutuelles, des administrations… Tous promettent des largesses avec un argent qui n’est pas le leur !
Plus récemment, c’était au tour des Universités de s’en mêler. Les présidents des universités de Strasbourg, Poitiers, Toulouse, Rennes ont promis qu’ils accueilleraient des étudiants réfugiés. Et, ce n’est que le début !
Philippe Boutry, le président de Paris 1, a même annoncé qu’il ouvrirait une centaine de places pour eux, financée en partie par le Quatar, alors que son université, saturée, refuse nombre de candidatures d’étudiants français, dont les parents, contribuables, ont financé son établissement.
Les universités se sont toujours obstinées à refuser la sélection à l’entrée, mais là, ça ne pose pas de problème : les places étant limitées, toutes celles qui seront données en priorité à des réfugiés seront prises sur celles des étudiants français en liste d’attente !
Il faut aussi que vous sachiez que les étudiants réfugiés coûteront plus cher aux contribuables que les autres : ils auront des enseignements personnalisés, et recevront des bourses et des logements universitaires. Le Cnous, en charge de l’aide sociale aux étudiants, n’a pas perdu de temps et réclame déjà « davantage de moyens ».
Face à ces engagements de dépenses inconsidérés, et avant même que nous vous en parlions, Contribuables Associés s’est déjà mobilisée.
Nous avons lancé une première campagne sur Internet pour demander à nos internautes d’écrire ou de téléphoner au Président de la Sorbonne pour exiger des comptes sur ces nouvelles dépenses au détriment des étudiants, qui eux s’acquittent de leurs droits d’inscription et frais de scolarité.
Merci à toi j’ai coupé un peu il ne faut pas non plus que les commentaires soient trop longs, il faudrait à présent que tu apprennes à copier-coller carrément les liens plutôt que les articles en entier
Comment le Medef est-il à ce point obnubilé par l’emploi bon marché sans dans le même temps mesurer les ravages considérables et les risques évidents d’émeutes et de guerre civile que l’immigration de masse ne manquera pas de provoquer? Ou bien nous considère t-il vraiment comme un tas de moutons suffisamment dociles pour ne pas même oser lever le petit doigt devant la menace…Les sans-dent, la France d’en bas, les couillons utiles, les pauvres bougres, les pauvres cons…Ceux qui ont tout abandonné à l’Etat en misant sur la confiance dans l’élu et son intégrité.
Fut une époque où la prévarication était punie par un passage au pilori, sorte de cage où le fonctionnaire véreux, enfermé en pleine place publique, s’exposait à la colère du peuple qui pouvait même lui cracher à la gueule…
A l’heure d’aujourd’hui, on se demande qu’elle devrait être le nombre de ces piloris pour revenir à ce que le peuple soit de nouveau écouté correctement.
Ah oui, c’est vrai, le changement, c’est maintenant. Ce qui, pris au mot, ne manque pas de sel…
Le MEDEF n’a de cesse de casser l’ouvrier pour en faire un cerf corvéable et malléable à souhait . Là avec se qu’il se passe il doit être aux anges. Toute cette main d’oeuvre pas chère et qui ne demande rien. mais il se trompe le MEDEF car les envahisseurs ne sont pas venu pour travailler, mais pour faire la guerre.
Exactement,la classe ouvrière doit être brisée et quoi de mieux que le medef pour continuer le travail de bouygues des années 60-70…
Je suis ouvrier et le futur ne s’annonce pas glorieux nous travaillerons pour moins cher tout en entendant dire que nous sommes bien lotis par rapport a d’autres et que les ouvriers coûtent encore trop cher…Mais avec des millions de chômeurs ils vont bien casser les prix ça ne saurait tarder! J’ai 32 ans je bosse depuis plus de 14 ans et vu le comportement des patrons des syndicats quand on rajoute les tir au flanc etc etc il y’a pourtant un grand tri à faire et on y verrait plus clair…Que feront ces patrons quand ils auront un peu tous les rebuts de pole emploi dans leur entreprise et qu’ils s’apercevront qu’ils ne gagnent pas grand chose au final?
Merci Nico pour ce témoignage et cette analyse que je partage
Salut Nico,
moi aussi, j’ai fait tous les métiers, et je peux te dire qu’ils (les faux patrons incapables) s’en foutent d’avoir une main d’oeuvre merdique. Car ils ne vont pas s’attaquer à l’industrie ni au haut de gamme. Ils vont s’attaquer au plus bas de gamme de l’industrie et des services, au textile, aux travaux publics, aux services comme le nettoyage, en licenciant encore plus de Français. Cela, pour ceux qui voudront travailler. Les autres, les assistés à vie, vont continuer à augmenter les charges, le climat d’insécurité et de précarité.
Il faudra bien que nous réagissions…
Europe: Who benefits from Muslim mass migration?
https://www.youtube.com/watch?t=163&v=335_2KhNQ9o
Excellente analyse sur la « crise migratoire » et à qui elle profite. Et en conclusion, une prédiction de l’effondrement de l’Union Européenne.
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A noter : J’ai été interdit bancaire par la BNP pour un découvert de £500 dépassant les quinze jours autorisés. Je viens d’apprendre que BNP-Paribas débloque 5 millions d’euros pour aider à l’accueil des réfugiés.
Conclusion : Boycottez BNP-Paribas.
Pourquoi tous ces idiots utiles n’écoutent-ils pas Guillaume Faye décortiquer l’islam, tout est dit en 25 minutes (pourvu que le lien fonctionne !) :
http://www.gfaye.com/nouveau-livre-de-guillaume-faye-comprendre-lislam/?utm_source=subscribe2&utm_medium=email&utm_campaign=postnotify&utm_id=1080&utm_title=Nouveau+livre+de+Guillaume+Faye+%26amp%3B%238211%3B+Comprendre+l%26amp%3Brsquo%3BIslam
Moi j’ai une toute petite parade, minuscule mais qui me fait rire.
Quand je reçois un appel de EDF ou GDF, de mon opérateur internet, à 99% la voix au bout du « fil » commence par prévenir que vous êtes susceptibles d’être enregistré…
… Ainsi vous NE POUVEZ PAS faire remarquer que vous apprecieriez d’être appelé par quelqu’un qui n’a pas un accent congolais ou marocain ! (vous seriez de facto raciste et condamné)
Ma parade c’est donc d’empirer mon accent alsacien pour le faire passer pour un accent carrément allemand, de chercher mes mots, de faire mine de ne pas comprendre ceux employés par mon interlocuteur… Voire, de me faire passer pour un crétin profond !
Et ça semble déplaire énormément aux responsables des plates-formes d’appels delocalisées -comment vendre une assurance qui assure même vos poils de cul à quelqu’un parlant aussi mal le français ?- impossible !
Et je pense sincèrement que ça fonctionne, car, désormais, j’ai de moins en moins d’appels émanants de televendeurs exotiques.
C’est un grain de sable j’en suis conscient, mais le Sahara est composé de grains de sable.
Répondez tous ainsi, j’ai dans l’idée que les plate-forme d’appels seraient vite de retour en France…
… Et les emplois avec !
je suis tordu de rire en lisant votre com PHILIPPE…
QUE C EST DROLE…
Merci Philippe, d’abord parce que comme le dit TEMPLIER, c’est drôle, et ensuite parce que ça semble marcher.
Bon, moi, j’ai pas d’accent alsacien, mais en puisant dans mes souvenirs d’enfance, si je parle comme parlaient les vieux d’Anjou dans les années 60, j’ai mes chances.