En complément de l’article de Maxime
https://resistancerepublicaine.com/2020/10/31/scene-de-gare-il-minjurie-copieusement-car-je-refuse-de-porter-la-valise-dune-emburkinee/
« je ne suis pas porteur de valise … » très belle allusion aux putains de traîtres qui servaient de mules au FLN il y a un peu plus de 60ans (dont Rocard qui s’en est vanté et plein d’autres : Georgina Dufoix, Hervé Bourges, Kouchner, Jacques Vergès, la Sagan, Pierre Vidal Naquet, Serge Reggiani, et de pauvres prêtres imbéciles,… )
Mais qui parmi les témoins (dont le zig qui a insulté Maxime et servi de valet à cette muzz) a été en mesure de « comprendre » cette réplique à sa bonne mesure ? Et qui a soutenu Maxime ?
Il m’est arrivé une mésaventure du même tonneau à la caisse d’un supermarché, où il y avait une queue suffisamment longue pour que mon épouse, ayant constaté qu’elle avait oublié un article, m’a demande d’aller le chercher. Je reviens , très vite avec l’article manquant et je rejoins mon épouse derrière laquelle il n’y avait personne, simplement, à terre, un petit chariot à roulettes contenant quelques articles, bien placé dans l’axe de la file et juste derrière notre caddy. Sans personne à côté !
Je contourne le dit chariot et me place à côté de ma femme, qui justement commençait à déballer ses articles devant la caissière.
J’étais à peine à ses côtés que j’entends des hurlements. Je me retourne : une voilée (qui revenait à son chariot, placé bien en évidence, dans l’axe de la file et signifiant « pas-touche- c’est ma place gardée »), hystérique, m’agresse et m’insulte à haute voix en me reprochant d’avoir pris sa place.
Dans un premier temps, je me suis dit en quelques secondes, que cette mégère éructante allait se rendre vite compte que je ne faisais que rejoindre mon épouse et que je n’avais en rien lésé personne, dont elle-même, alors qu’elle s’était permise, de son côté, de « garder sa place » en laissant son chariot en sentinelle (au risque d’ailleurs de « choquer » toute autre personne qui aurait pu se retrouver derrière son chariot, avant qu’elle soit revenue).
Comme elle continuait à m’invectiver, j’ai gardé mon calme en lui expliquant la situation et en lui faisant valoir que je n’avais pas « passé devant elle » comme elle le prétendait.
Come elle continuait, avec force cris à m’agresser, j’ai fini par perdre patience et je l’ai bien chargée à mon tour, tout d’abord en lui disant qu’elle était stupide. Puis les répliques verbales allant crescendo, « on » en est arrivé aux échanges de type politique.
Devant des dizaines de personnes placées dans les files de caisses, qui voyaient et entendaient tout de la scène. cette chienne ne lâchait rien et prenait même des personnes à témoin. Au point que de guerre lasse, voyant qu’elle ne céderait pas ( et surtout parce que ma femme, trouvant que ça pouvait mal finir, me poussait à mettre fin à ce conflit et à partir).
J’ai eu alors le reflexe du « coup de sifflet de la fin » en lui disant pour conclure de « la fermer » et d’aller plutôt rejoindre ses coreligionnaires dans les manifestations de rue propalestiniennes (c’était en effet une période où il y en avait pas mal, dont en France).
Alors là, cela a déclenché une crise d’hystérie, d’autant que ma « boutade » (pas forcément appropriée mais qui avait fait mouche ) était accompagnée de mon rire et de moqueries.
Je croyais en avoir fin. Mais non !
Un premier salopard dans la file voisine (bien blanc), m’ apostrophé méchamment en me reprochant d’être raciste et de me taire. Un autre dans la même file (tout aussi blanc), a pris le relai et s’en est pris a moi en ameutant les personnes présentes : « regardez ! c’est pas étonnant de sa part ! c’est un facho ! regardez son tatouage au bras ( mon brevet de parachutiste militaire- visible car c’était en été et j’était en maillot sans manches -). Pas étonnant qu’il insulte cette dame ! ».
J’ai bien insulté également ces deux connards à leur tour mais j’ai compris que je n’aurais pas le dessus, à trois contre un. J’ai donc quitté les lieux, la double rage au ventre (contre cette muzz déchaînée et surtout ces deux dhimmis qui l’avaient soutenue).
Point d’orgue : alors que nous rangions nos nombreux achats dans le coffre de notre voiture,
notre voilée, est passée devant nous, vitre baissée, en nous lançant « sales français ».
Comment ne pas avoir, dans des situations pareilles, des envies ( des envies en rêve, seulement , mais qui permettent de calmer l’esprit), des envies de meurtres ?
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Il ne faut jamais discuter avec les cons, ça les instruit.
Il est aussi inutile de converser avec une brouette, la pousser suffit.
Mais je me demande si elles ne le.font pas exprès pour provoquer et prendre les gens à témoin j’ai déjà vu le même genre de situation au supermarché et évidemment il y a toujours un ou deux connards ou connasses dhimmis pour prendre leur défense ils croient sans doute qu’ils seront remerciés et appréciés bande de naïfs.
1000% d’accord
@Samia
soumises à leur père, oncles, frères, mère, tante, grand-mère; cousins, fils….Elles veulent SOUMETTRE les kouffards, surtout EN PUBLIC parce qu’elles veulent de l’attention, de la considération et , attention défense de rire, DU RESPECT!
Le pire, c’est qu’elles trouvent tout ça et plus chez des crétins de blancs. Elles ont leur public de pétochards lobotomisés qui donneraient pas trois gouttes de pisse quand une blanche se fait violer dans un wagon, entre autres.
Avec un peu de chance le torchon merdiatique local saluera leur CIVISME et leur bel esprit de fraternité, les féministes seront contentes de leur engagement anti sexiste!
Je compatis.
C’est bien pour cela que ej ne cherche pas à ouvrir les yeux de qui que ce soit, qu’ils s’agissent de candaules pro clados de mon entourage ou des conasses pro voilées etc etc. Je me dis à chaque fois la même chose. Tant pis pour vous, les candaules, les collabos, les crétins, les lècheculsdmuzzs, TANT PIS!! Vous tomberez les premiers, TANT MIEUX! Vous me servirez de boucliers!! Pas très gentil ni très malin sur le long terme mais ça m’aide à me calmer quand je vois ces connards à têtes de cons et que je les entends à travers leur muselière de promacrouille.
Un grand classique, j’en ai vu de ces situations où des merdeuses de voilée se permettent tout et se déchaînent sur les autres. On nous les présente comme des gentilles mamans. Mon cul c’est du poulet, de vrais pitbulls, ces nanas, haine chevillée au corps des kouffars.