A la sagacité de Monseigneur Vingt-Trois, Cardinal-Archevêque Lèche-babouches de Paris, « Extraits du sermon prononcé par Monseigneur Louis Pavy, évêque d’Alger, en la cathédrale d’Alger en 1853. »
SUR LE MAHOMÉTISME
Pour commencer, « celui qui prétend être le prophète d’Allah, Mahomet, devrait avoir des lettres de créances », c’est-à-dire la prophétie, les miracles et l’intégrité de l’ensemble de sa vie… « Rien de tout cela se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang qui prêche sa doctrine à coup de cimeterres, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu !
Prophète ? « Il n’a même pas su deviner qu’un jour le poison lui serait servi par des mains soumises. »
Et les miracles ? « Mahomet répète jusqu’à satiété que Moïse, Jésus-Christ et les autres prophètes ont fait des miracles, témoignage précieux pour notre foi, mais que lui n’est pas chargé d’en faire : il n’est chargé que de la prédication ; voilà la confession de son impuissance et par conséquent de son imposture et de son erreur. » Par ailleurs, dit Monseigneur, « j’ai lu le récit de ses 18 miracles, d’après les auteurs arabes. Ce sont des phénomènes sans raison d’être, des contes puérils où tout au plus des tours de sorcellerie qui feraient rire de pitié nos fameux prestidigitateurs… Tantôt ce sont des arbres qui se promènent, des pierres qui parlent et autres niaiseries que nous avons honte de rapporter ici. Voilà tout son bagage de thaumaturge ! » Et manque d’arguments et de miracles Mahomet fait croire que « le miracle des miracles, c’est le Coran, prodige qui dépasserait en beauté toutes les formes humaines… »
« Parce que Jésus s’était choisi 12 apôtres parmi les fidèles, Mahomet en choisit 12 parmi ses sectateurs, ce qui l’a fait appeler par un écrivain du Moyen Age le ’copieur de Dieu’. »… « A la place de la simplicité, de la douceur, de la bénignité, de l’esprit de paix et de pardon, de la pauvreté volontaire, de l’humilité, de l’amour des souffrances de Jésus, vous voyez éclater dans Mahomet la duplicité, la cruauté, la soif des jouissances, du butin, de la domination, de la vengeance et de l’orgueil, à leur paroxysme le plus élevé. »
« Le Coran exprime, en de pompeuses paroles, les grandes idées des vertus naturelles, et lâche en même temps ouvertement la bride aux penchants les plus violents et les plus sulfureux… Il supprime les remords en introduisant le fatalisme… Mahomet, vaincu par la chair, accepte comme une loi divine sa domination absolue », par ses instincts les plus indignes.
« Mahomet emprunte à chacune des religions existantes à son époque une portion de ses doctrines, et de cet amalgame incohérent qui prétend ménager le Chrétien, le juif, le sabéen, l’idolâtre, il forme son symbole et lui donne pour suprême couronnement son aphorisme : ’Il n’y a de Dieu que Dieu, et Mahomet est son prophète’… Il se fonde sur l’amalgame des doctrines, et se couronne par l’orgueil de la personne »… « Mais la vérité n’est pas une propriété dont on puisse abandonner même une parcelle, dans l’intérêt prétendu de la paix ».
« Est-ce le Dieu véritable que le dieu de Mahomet ? Non ! Le faux prophète a donc fait un dieu nouveau ? pas davantage. Il a fait de son dieu ce qu’il a fait de tout le reste, un bizarre assemblage des qualités les plus opposés ; il l’a arrangé à sa façon. »
« Son dieu unique, mes frères, est si faible qu’il n’ose jurer par lui-même !… Son dieu unique est le plus cruel des tyrans, puisqu’il fait lui-même tout dans l’homme, jusqu’au péché, puisqu’il ordonne à tous de croire à la nouvelle révélation du Coran, et déclare en même temps qu’il ne veut pas que les infidèles puissent y croire. Son dieu unique est un dieu sans coeur ; il n’aime pas, et il ne demande pas qu’on l’aime ! »
Le dieu de Mahomet « change l’éternelle beauté du ciel en un lieu de prostitution, dont les orgies dépassent en lubricité multiple et stérile tout ce que l’idolâtrie elle-même, dans ses conceptions les plus abjectes, avait pu rêver. Le dieu de l’islam, c’est un être tellement immonde, en sa complaisante faiblesse, que si l’autorité chargée de la garde des moeurs rencontrait dans nos rues quelque chose de semblable, elle devrait à l’instant l’arrêter et le dérober aux yeux d’un public, hélas, pourtant si facile !
Et ce serait là le vrai Dieu ? »
« L’islam est une prétendue religion que certains Français entourent encore de tant de respect…. Quelle morale est-ce donc, mes frères, que celle dont votre évêque n’ose pas exposer les principes, même pour les flétrir ? »
La morale de l’islam ? « L’association du sang à la volupté, la guerre à l’infidèle, guerre permanente, guerre qui doit durer jusqu’à leur entière extermination ou soumission au tribut. »
Et la science ? « Elle a paru, chez eux, comme un météore ; elle est restée, chez nous, comme un soleil dont les feux alimentent sans cesse l’activité de l’intelligence humaine… Quel progrès ont-ils fait dans l’agriculture ? Aucun ; et, tandis que nos moines défrichaient l’Europe, les musulmans ont abandonné à la stérilité ces belles provinces de la Syrie et de l’Afrique, si fertiles et si peuplées à l’époque où l’islamisme s’abattit sur elles. »
« Et la famille ? L’époux y est un capricieux despote, la femme une esclave ; point d’instruction, même élémentaire, pour elle ; point de mosquées où elle puisse prier avant l’âge de la vieillesse. »
Pour les curieux qui voudraient le texte complet (et pour faire manger son chapeau à monseigneur Vint-trois) :
Source : numérisation Google des pages 1257 à 1288 du livre « Collection intégrale et universelle des orateurs sacrés », tome 84, par l’abbé Jacques-Paul Migne.
Ou :
http://books.google.fr/books?id=fc8sAAAAYAAJ&pg=RA5-PA1264&lpg=RA5-PA1264#v=onepage&q&f=false
Philippe Jallade
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Encore un article très instructif de Philppe, merci.
Extrait du figaro du 21/12/2013 (Merci Danielle)
« …..Mgr Vingt-Trois a déploré « cette espèce de méfiance qui n’est pas forcément une haine, mais qui reflète l’angoisse, la peur que l’autre ne vienne déranger un équilibre précaire. L’autre, ça peut être le voisin de palier, le Rom, le musulman, l’étranger, ou tout simplement quelqu’un qui ne vit pas comme nous ». « Cela aboutit à une société de l’interdit. On protège la quiétude en interdisant à chacun d’exprimer ce qu’il est », a-t-il ajouté….. »
….la peur que l’autre ne vienne déranger un équilibre précaire…
Ou Mgr est un grand naïf, ignorant l’histoire, ou Mgr est simplement masochiste !
Pour son information, nous aimerions lui rappeler que la France fut souvent le théâtre de migrations dont les participants n’étaient ni des demandeurs d’asile, ni des touristes.
En 39, ceux qui connurent 14-18 avaient « la peur de l’autre » en la figure des représentants du Kaizer. Mon grand-père citait les « hulands » sortent de lanciers qui brûlaient les villages et transperçaient de leur lances, les civils apeurés.
Selon de récents documentaires relatant l’accession au pouvoir de Hitler, lors de ses fins de discours, le spectateur allemand attendait que son voisin s’arrête d’applaudir pour faire pareil, cela impliquait des applaudissements interminables ; « la peur de l’autre ».
Pendant l’occupation, la liberté d’expression n’était pas de mise à l’encontre de certains, encore « la peur de l’autre » !
Récemment, le 1er janvier, un colloque « France-Maghreb » se diffusait sur la chaîne « Public-Sénat ». Mr Clément, historien cita « Un historien du 12è S expose que lorsqu’ils faisaient un prisonnier, ils ne le tuait pas avant de lui avoir exposé l’islam et révélé les vices de sa religion à lui, si bien que 2000 hommes se convertirent à l’islam par ses soins. »
Récemment encore, David Wood, nous exposait sur Youtube les trois Phases du Djihad
Un vieux dicton nous rappelle « prudence est mère de sécurité ». Les modernes parlent de « principe de précaution » il est appliqué dans beaucoup de domaines.
« …Cela aboutit à une société de l’interdit. On protège la quiétude en interdisant à chacun d’exprimer ce qu’il est », a-t-il ajouté…. »
Donc Mgr Vingt-Trois critique 57 pays où il est dangereux de se promener avec une bible ?
Critiquerait-il aussi le fait que certains journalistes ou présentateurs de TV aient perdu leur emploi ?
Imaginerait-on, Mgr aller prendre l’air, en tenue ecclésiastique, dans une des 750 ZUS ?
Super Philippe ! Mais il n’y a que toi pour aller dénicher de pareilles perles !!! (Merci pour le lien) Quant a la sagacité de » Monseigneur » 23 diplômé es babouches et coraneries sucrées…Elle me semble passablement émoussée…La chouette d’Athéna, tel le beau hibou de Platée, s’est depuis bel et bien envolée ,délaissant les serpents de l’islam prospérer.