Il a maintes fois été prouvé sur ce site (et bien d’autres) que les cons ça ose tout… comme l’avait si bien énoncé Audiard, du temps où l’on pouvait, en France, dire ce que l’on voulait sans se prendre un procès pour « incitation à la haine »… le simple « rappel à la loi » étant exclusivement réservé aux crapules et racailles, toutes catégories…
Eh bien figurez-vous qu’il n’y a pas que les cons qui osent tout, mais également une certaine catégorie de journaleux (et journaleuses) radiophoniques (mais pas que),dont la principale occupation, pendant leur temps d’antenne, est de nous gaver de bobards, tous plus indigestes les uns que les autres… y compris et surtout sur ce qui se prétend « Service public » et pour lequel on vous fait casquer chaque année une « redevance audiovisuelle »… pour mieux se moquer de vous (en plus de tous les navets indigestes et des rediffusions récidivistes) !
Parce que, franchement, je ne vois pas comment cataloguer autrement le véritable « foutage de gueule » que la péroraison faite récemment sur les ondes de France Inter, par deux spécimens d’hypocrites « hors catégories » ; j’ai nommé l’éminente journaliste Lauren Bastide, mondialement connue dans son quartier, et un phénomène encore inconnu de moi ; la féministe-islamique, en la personne de Hanane Karini, brillante sociologue paraît-il.
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Bon, c’est vrai, au premier abord l’antinomie de l’appellation, confirmée par le port du foulard, est tellement aveuglante qu’on a du mal à adhérer à l’idée… Et au deuxième « rabord »… c’est exactement la même chose, compte tenu du salmigondis de sophismes déversés par les deux donzelles, que personnellement je verrais bien plus en duo comique, mais ça, c’est sans doute à cause de mes mauvais instincts de « sale française-raciste-fasciste »… comme le prétendent les copains et copines gauchistes de Lauren !
Moi qui me faisais un sang d’encre pour les pauvres femmes musulmanes, maintenues dans un état inférieur par leurs abrutis de mâles, se sentant supérieurs à elles uniquement parce qu’ils sont dotés (sans doute en guise de cerveau) d’un instrument leur permettant de « niquer » tout et n’importe quoi… Me voici légèrement rassurée, dès l’instant que je sais qu’au moins l’une d’entre elles a décidé de se bagarrer pour ses sœurs… même si je ne suis pas sûre du résultat…
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Pourtant, c’est sûr, « ça en jette » le parcours de Hanane Karimi, quand on apprend qu’elle enseigne à l’université de Strasbourg, qu’elle est également post-doctorante à l’université de Créteil et chercheur associé au Laboratoire SAGE (Sociétés, Acteurs et Gouvernement en Europe) à l’université de Strasbourg.
Qu’une femme de ce niveau d’instruction, qui navigue dans les hautes sphères, prétende défendre les femmes musulmanes… en s’affichant systématiquement avec un foulard, marqueur de sa religion d’oppression féminine tellement plus que les autres, me laisse de marbre ; je n’y crois pas !
C’est vrai qu’elle a l’air sympa, mais à ce niveau, le foulard est plus que jamais un intrus !
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D’autant plus que derrière les grandes phrases et les beaux discours, on a du mal a appréhender exactement contre quoi elle entend les défendre.
Serait-ce contre les mâles dominants, ceux qui mettent littéralement leurs femelles en esclavage domestique avec surveillance continuelle, tenue-camouflage obligatoire même pour aller chercher le pain au coin de la rue… et surtout se contenter d’être avant tout des « terrains de labour » pour leur seigneur et maître qui a tous les droits sur elles ?
Il semblerait que non, puisque nous apprenons que :
– « le travail de Hanane Karimi porte sur les mobilisations politiques des femmes musulmanes ». Euh… M’dame Karimi, je ne suis pas certaine que celles, nombreuses, que les labours incessants de leur mari transforment en véritables pondeuses, avec deux-trois marmots dans les jupons, plus un quasiment en permanence dans le tiroir… soient prêtes à des « mobilisations politiques ». Quant à celles qui échappent à cette situation et sont effectivement capables de s’impliquer en politique, nous sommes bien placés, chez les Gaulois, pour comprendre que c’est toujours dans le but d’implanter chez nous vos propres us et coutumes, dont votre religion maudite en premier lieu ; jamais pour prétendre à une égalité avec leurs hommes !
– Car la suite le confirme : « il est venu éclairer d’une lumière salutaire tout un pan de l’action politique qui, en France, vise sans relâche à la stigmatiser et à l’exclure de l’espace public ». Nous y sommes ! Ce n’est pas du tout les musulmans machos qui oppriment leurs femmes en leur défendant l’accès à la culture et par suite à un quelconque engagement, ce sont encore et toujours les méchants Français qui les stigmatisent et les excluent !
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Bah dis donc, qu’est-ce que ce serait si elles n’étaient pas exclues de l’espace public, vu que de nos jours on ne sait plus où porter le regard sans être indisposés par une femme enfoulardée, (oui, je sais… nos grands-mères… mais nos grand-mères c’était uniquement pour la messe, pas pour emmerder les autres !) quand ce n’est pas carrément transformées en sinistres Belphégor !
De deux choses l’une, soit vous avez le courage de Céline Florentino, qui a héroïquement décidé d’affronter l’émission, « par besoin de démontrer les faux-semblants, l’hypocrisie et le danger de ces sophistes »… ce qu’elle fait brillamment dans un article dont elle nous régale dans Marianne, soit vous réécoutez l’intégralité de ce que Céline a résumé par : « … il ne s’agissait pas de débattre, juste d’exposer longuement une théorie à deux, sous le masque de l’intervieweur/interviewée. »
Enseignante spécialisée en primaire dans les Rased (réseaux d’aides spécialisées aux élèves en difficulté), Céline Florentino me semble plus crédible et digne de foi, en femme qui sait de quoi elle parle, sans pour autant adopter le ton docte et abscons des deux duettistes, genre « vous êtes trop cons pour comprendre » ; son article est un vrai régal que je vous recommande de lire, bien plus que d’écouter les deux mégères.
Surtout lorsqu’elle rapporte : « Mais la journaliste bat tous les records jamais enregistrés jusqu’à présent de complaisance militante. Quand elle évoque Alliance Citoyenne et leur action en faveur du burkini dans les piscines grenobloises, elle dit, et je la cite mot pour mot : « C’est une action politique flamboyante, courageuse, visible. » Les mots sont de la journaliste de France Inter, pas de Karimi. La journaliste de France Inter. »
On devine aisément l’ahurissement de Céline en écrivant ces derniers mots, le même que le nôtre en les lisant…
Décidément, le discours est toujours le même sur cette chaîne pourrie qu’est Rance Inter, dont les porte-voix ne sont finalement que des « porte-mensonges » à l’instar de Sibeth Ndiaye, ne cessant de piétiner nos valeurs, notre culture et notre histoire, pour y substituer celles de leur invention où « tout le monde serait gentils et égaux », mais certains plus que d’autres quand même… devinez qui ?
Ce ramassis de gauchistes moisis, baignant dans leur jus saumâtre de l’égalité à géométrie variable selon l’exemple de leurs célébrités, et tellement imbus d’eux-mêmes, sont incapables, du haut du mépris qu’ils nous réservent, de réaliser que le vent a enfin commencé à tourner et que s’ils persistent à cracher sur cette France qui les fait vivre (aussi largement et indûment que les politicards) ils seront très surpris quand leurs crachats leur reviendront en pleine face !
Le plus risible, dans toute cette écœurante propagande de fausses gauchistes, fausses féministes, fausses humaines… c’est que l’émission se nomme en plus « Les savantes » ! Molière au secours !
Bon, les franchouillards-dormeurs, ça va ? Vous vous sentez de force à continuer encore longtemps à faire honte à nos courageux aïeux en vous laissant « sodomiser » à longueur de temps par une armée d’abruti(e)s, incultes mais convaincus du contraire par un ego ayant manifestement pris le pouvoir ?
Cela ne vous dérange pas que deux écervelées fassent leurs intéressantes sur le Service public, en laissant entendre, par leurs sournoiseries, que les féministes-musulmanes-voilées, ne sont ni plus ni moins que les héroïnes du combat féministe et social ?
Moi si, passé le premier fou-rire devant tant d’idiotie, je repense à la redevance et me demande si la prochaine je ne vais pas leur envoyer l’équivalent en loukoums, histoire de parfumer les couloirs de Rance Inter qui n’a jamais si bien mérité son surnom !
Et puis comme c’est le week-end et que même quand on est retraitée on est fatiguée de sa semaine (apéro, piscine, pétanque, gueuleton entre amis, mais sans homard c’est juré… ça épuise) je vais donc tout bonnement utiliser ici l’excellente conclusion de Céline Florentino, autre pointure que la Bastide, car elle y résume parfaitement la question en quelques mots :
« La propagande est bel et bien engagée. Elle a l’apparence d’une gauche généreuse et intello, mais elle est exactement le contraire. Elle n’est rien d’autre qu’un ennemi de l’intérieur, qui gagne sournoisement aussi bien le monde médiatique qu’universitaire et militant. »
Et toc ! Vraiment, impossible de faire mieux, si l’on veut rester polie… et dans ce contexte je ne peux rien garantir, un dérapage est si vite arrivé en pleine colère contre les traîtres.
Mais rien ne vous empêche de vous fendre d’une petite bafouille à la perfide Lauren Bastide, avec copie à sa direction, et pourquoi pas également au ministère de tutelle, en demandant à tout ce beau monde quel mot ils n’ont pas bien compris dans « service public », pour faire ainsi une méchante propagande contre ceux qui les nourrissent, et grassement encore !
Josiane Filio, au nom de la liberté d’expression
P.S. Un dernier mot pour Lauren Bastide : surtout Cocotte n’oublie pas de rajouter « lèche-babouches de première » sur ton CV, par les temps qui courent (avec ton soutien et ton aide) ça peut être utile… Si, si, c’est mérité ; ne me remercie pas c’est cadeau !
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Je suis « tombé » sur cette émission, diffusée sur France-inter, il y a quelques jours, au volant de ma voiture et je me suis fortement énervé contre les propos que j’entendais qui relèvent, effectivement, du plus pur sophisme.
J’avais même échafaudé dans mon esprit un article décortiquant la malhonnêteté à l’oeuvre.
La pauvre a été virée de son lycée car elle portait le voile et la journaliste de la plaindre sans, à aucun moment, apporter la moindre contradiction du type :
« Mais porter le voile n’est-ce pas faire la promotion d’une « culture » machiste ?
et de sourates incitant à la soumission et à la discrimination et à la haine ?!
Cette posture constante de »pauvre victime » encouragée par la journaliste m’a totalement révolté. Tout cela est emblématique de l’islamisation de notre pays avec les encouragements de faibles en esprit et en logique élémentaire…
Rappelons que la France : tu peux la quitter et aller vivre ta « foi » (!) avec ce qui va avec : la charia et autres beautés de la religion « d’amour », dans un pays islamique où tu pourras, chère sociologue, t’épanouir totalement et échapper ainsi aux affreux post-colonisateurs qui ne cessent de t’opprimer
et ont d’ailleurs financé la supercherie que représentent tes …études sociologiques ou plutôt « sociosophistes »…
J’aime beaucoup lire les articles de Josiane Filio. Le style au couperet de Josiane me fait souvent rire et cela fait du bien quand je pense au désastre de l’Europe de l’Ouest et à la passivité de ses populations face à la conquête de l’islam.
Bonjour,
A part l’alibi de deux ou trois vraies « savantes » (sic) Bastide fait défiler à l’antenne toute la petite clique des féministes intersectionnelles, c’est à dire le faux-nez des islamistes.
Quant à l’excellence de Hanane Karimi, elle est titulaire d’un CAPES d’ anglais doublé d’un doctorat bidon. (comme le note Fatiha Boudjahlat).
(Normalement cela signifie enseigner, en début de carrière, au collège.)
Mais c’est tout ce qui est exigé par les gauchistes, qui tiennent l’Université française, quand il s’agit d’implanter dans les facs les « culturals studies » à l’américaine.
Machines de guerre contre notre civilisation