Fièvre, fatigue, céphalées, allergies, quand la vaccination se passe à peu près bien… Désastres cardiovasculaires, paralysies, embolies pulmonaires, phlébites, AVC, direction le cimetière… Comme si ça ne suffisait pas, des troubles psychologiques s’ajoutent aux dégâts physiologiques.
Sourds, muets et aveugles, l’omerta comme à Palerme
Tout a été nié par les propagandistes des télés et les commissaires politiques du web. Des gens dépourvus de bagage scientifique, issus d’écoles privées de journalisme. Ceux qui poursuivent de vraies études les qualifient de dépotoirs de cancres pour gosses de riches.
Tout a été étouffé par la police de la pensée et les sbires de Macron, stipendiés par Big Pharma. Usant de la menace et de la calomnie, de l’intimidation et de la cenSSure, de la coercition et de la rétorsion pour imposer l’obéissance. Et museler les dissidents. Médecins et savants scrupuleux, médias honnêtes. Rares mais pas inexistants.
Aujourd’hui, on dispose d’un recul suffisant pour évaluer l’étendue des dégâts. Avec des preuves accablantes pour condamner les criminels. Si les tueurs aux vaxins pouvaient être incriminés. Cela ne pourrait advenir sans une révolution. Sinon, ça tournera en eau de boudin comme le sang contaminé. Les coupables au pouvoir se protègent les uns les autres.
Fabriquer des crétins dociles et vous transformer en zombies
L’humain nouveau. Tous les politiciens en rêvent. Un mouton apeuré qui suit le troupeau… Abruti et servile. Craintif et grégaire. Ignare et obéissant aux directives sans se poser de questions. Avec un lot de consolation : une sexualité bricolée avec changement de sexe à volonté.
L’objectif de la vaccination forcée illégale, en violation des lois françaises et du Code de Nuremberg, n’avait peut-être pas pour but principal de réduire drastiquement le nombre d’habitants de la planète. Mais pour objectif de faire baisser de 20 points ou plus le QI des terriens. Déjà pas terrible en France. Grâce à l’enrichissement culturel exotique.
Un chef de clinique de mes amis, qui a préféré prendre une retraite anticipée plutôt que de s’injecter des poisons et de tuer des innocents, a été le premier à me mettre sur la voie. Sans attendre l’été 2021, lorsque les sicaires de l’imposteur ont imposé la vaccination obligatoire. Dans un assourdissant silence politique, médiatique, syndical et médical.
G… avait commencé par observer une augmentation statistiquement inexplicable du SGB ou syndrome de Guillain Barré chez les vaxxinés. Une affection neurologique grave qui amène le système immunitaire du cobaye à endommager ses cellules nerveuses avec perte de la parole ou élocution difficile, et des paralysies parfois définitives.
Ensuite, il avait noté que de nombreux vaccinés à ARN messager qu’il suivait pour des thérapies longues avaient changé de personnalité. Développant une susceptibilité maniaque, une paranoïa exacerbée et une agressivité sauvage contre quiconque les contredisait. Parallèlement, un prudent devenait joueur compulsif. Un sobre virait ivrogne… D’autres voyaient éclore une nouvelle sexualité qu’ils ne soupçonnaient pas. L’hétéro pudique devenait inverti tendance folle. La femme amoureuse et romantique se révélait nymphomane et partouzarde, pimentant de saphisme sa nouvelle vie.
Chez des extravertis, l’aptitude à la vie sociale et les capacités cognitives étaient affectées. Ils se refermaient sur eux-mêmes et refusaient toute approche des non-vaccinés. Dans un mélange de convictions des adeptes d’une secte, de dissonance cognitive et de syndrome de Stockholm.
Tout est nié par des professionnels liés à Big Pharma
Certains médicastres appointés par les labos prétendent que les troubles d’anxiété, les dépressions et les déficiences cognitives ne sont pas dus aux « vaccins » mais à l’effet neurotoxique du virus. Et là, ils se tirent une balle dans le pied ! Maintenant qu’on sait que des piqués peuvent être davantage covidés que des réticents aux piquouses, et développer des pathologies plus graves que ceux infectés naturellement.
De son côté, l’INSERM affirme qu’en aucun cas l’ARN injecté ne pénètre dans le noyau des cellules où se situe le matériel génétique et donc ne risque pas d’altérer le génome… Dans ce cas, pourquoi avoir mis à la retraite d’office Alexandra Henrion-Caude, généticienne de réputation internationale qui fut leur directrice de recherche, après avoir travaillé comme neurobiologiste à la Harvard Medical School ? Punie pour avoir révélé que l’ARN messager injecté rentre son code chez le patient et le modifie génétiquement.
Était-elle déjà gâteuse à 50 ans ? Incompétente comme Didier Raoult ? Dépassée par les connaissances nouvelles comme Christian Perronne ? Cinglée comme Jean-Bernard Fourtillan ? Grabataire comme le Nobel feu Luc Montagnier ? Que des pointures harcelées et persécutées pour avoir dénoncé les caprices d’un tyran déséquilibré.
Premières cibles de l’ARNm : les neurotransmetteurs
Notre affect, et plus généralement nos comportements sociaux, sont la résultante de l’éducation et de la culture, mais dépendent aussi grandement du rôle des neurotransmetteurs.
Ces molécules biochimiques fabriquées par l’organisme en fonction de stimuli extérieurs permettent la transmission des messages d’un neurone à l’autre via les réseaux de synapses. Ainsi y a-t-il des rétroactions permanentes entre les besoins de l’organisme d’équilibre, d’affection, de joie, de bonheur et les émotions négatives telles que peine, colère, déception, stress.
Un dysfonctionnement à un quelconque maillon de la chaîne produira des idiots, des inadaptés, des abouliques, des hyper-actifs, des énergumènes, des criminels.
Chez les piqués, tel qui était de nature avenante et bon vivant est devenu un inquisiteur paranoïaque, hyper-agressif qui ne supporte pas la moindre critique concernant le vaxin et enverrait volontiers ses contradicteurs au bûcher. J’y ai perdu des amis de longue date et ai été mis en quarantaine par une nièce et des cousins. Je n’ai pas pu me résoudre à les traiter de sales cons. J’ai tenté de les éclairer. En vain…
La prise de contrôle biochimique de la personnalité
Prenez des gens inéduqués ou acculturés, leur personnalité et leur libre arbitre dépendront presque uniquement des dosages et mélanges de l’acétylcholine (mémoire, apprentissage) l’adrénaline, la noradrénaline (gestion du stress), la dopamine (énergie et récompense), la sérotonine (humeurs), l’histamine, le glutamate (interactivité des cellules) les neuropeptides (traitement de l’information).
Quand on sait jouer avec les dosages, on peut orienter leurs réactions dans le sens souhaité : servilité à l’égard du pouvoir, conformisme des opinions, autocensure, glorification de la délation, haine des dissidents présentés comme des ennemis.
Les neurotransmetteurs inhibiteurs dits GABA, acronyme de Gamma Butyric Acid, empêchent le déclenchement d’un influx nerveux dans le neurone récepteur et peuvent le détourner vers un autre. Modifiant le comportement du sujet à son insu. Plus besoin de délits d’opinion ni d’éborgneurs pour le canaliser. Le contrôle de ses émotions le rendra docile et le détournera des « mauvaises pensées ».
Avec le bonjour de la vache folle !
L’apparition de nouvelles maladies à prions, liées à la protéine spike trafiquée dans les vaxins, transforme en éponge le système nerveux central. Avec des effets immédiats ou différés.
Dans les années 1980 le professeur Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, avait entrepris une étude des prions. Un prion est un agent pathogène constitué d’une protéine dont la conformation est anormale et qui, au contraire d’agents infectieux tels que les virus, ne dispose pas d’acide nucléique (ADN ou ARN) comme support de l’information infectieuse.
Comme la nature a horreur du vide, le prion (Proteinaceous infectious particle) va puiser dans l’organisme hôte. Parmi les cellules saines ou les virus déjà en place. Provoquant des dégénérescences du système nerveux central (cerveau et moelle épinière) liées à la propagation puis à la multiplication des prions chez l’hôte infecté.
On observe alors au niveau de l’encéphale la formation de « vacuoles » donnant un aspect spongieux au cerveau, d’où le nom d’encéphalite spongiforme. On observe la mort des neurones et une déficience des glioses (cellules de soutien du système nerveux central) avec perte de contrôle des fonctions motrices et/ou intellectuelles.
Enfin pour boucler le cercle mortifère, la protéine Spike ne se contente pas d’accroître la probabilité d’apparition des prions, elle y ajoute un taux anormalement élevé de micro-caillots sanguins qui affectent les tissus cérébraux, en plus de provoquer des myocardites et des AVC. En clair, si vous étiez déjà un peu jobard avant de vous faire vacciner, vous serez complètement barjot après.
Christian Navis
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Pas marrant le tableau clinique !
Céline Dion a bien fait toutes ses doses de vaccin anti-covid ! Eh bien, il semblerait que tous les maux qu’elle décrit s’apparentent aux effets secondaires du ARNm! Mais bon, quelle mauvaise publicité pour le vaccin, on préfère dire que c’est une maladie très rare qui n’atteint que très peu de personnes et dont on ne connait pas l’origine! Tiens donc à notre époque, on ne connait pas l’origine de cette maladie ? Mais c’est normal, seulement un effet secondaire sur cent est signalé! Elle devrait changer de toubib !
Voilà au moins qui est réjouissant en diable !
Le vaxxin Covid rend-il idiot ?
Excellente question !
A POSER NOIR SUR BLANC AUX VACCINATEURS COVID.
Dont on peut avoir la liste locale sur doctolib.fr en tapant dans la barre de recherche en haut de page “Vaccination COVID-19” dans la case “Nom, spécialité, établissement,…” et le nom de votre ville dans la case “Où?”.
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