Si Thomas, depuis l’autre Monde, écrivait à Macron, voilà ce qu’il dirait sans doute

Évidemment en ce moment tout le monde parle de cette tuerie, de ce nouveau francocide du week-end dernier qui a coûuté la vie à un jeune de 16 ans !Comme d’habitude étant passé par là il y a 8 ans je sais dans quel état sont les parents de Thomas qui viennent de perdre leur enfant et à qui j’adresse toutes mes condoléances et leur assure de toute ma compassion…

Au hasard de ma navigation sur  Internet je suis tombé sur un texte que j’ai légèrement transformé et qui aurait pu être prononcé par Thomas :

Patrick Jardin

MONSIEUR LE PRÉSIDENT,

Bonjour, je m’appelle  Thomas, je viens juste d’arriver là-haut.
Non, inutile de courir, prenez votre temps.
Il est maintenant bien trop tard hélas…
Trop tard pour moi et pour mes parents, trop tard pour mes amis, trop tard pour notre pays, trop tard pour vos deux mandats successifs qui ont été le théâtre de nombreux Francocides sans que vous ne réagissiez

Du haut de mes 16 ans, je me permets de vous interpeller quant à votre silence et votre tiédeur, voire votre absence de courage politique.
Lors de l’affaire de Nanterre, vous vous étiez inconsidérément empressé de condamner le geste du policier qui pourtant risquait sa vie lui aussi par le même genre de racaille que ceux qui nous ont attaqués et aviez presque défendu un jeune sensiblement de mon âge qui venait de perdre la vie après avoir fait de multiples refus d’obtempérer et avoir tenté d’écraser un policier dans l’exercice de ses fonctions.

A la différence de Nahel moi j »étais un jeune élève de mon lycée j’avais, une passion, le rugby,et… j’étais inconnu des service de police.

Désormais tout cela me sera interdit.  Où je suis, je suis triste, ce n’est pas d’être passé de l’autre côté de la barrière puisque c’est la destinée de chaque individu sur cette terre mais pour mes parents qui n’auraient jamais dû vivre la disparition de leur enfant, nous ne sommes pas programmés pour cela et désormais leur vie n’aura plus de sens car on ne se remet jamais de la disparition d’un enfant. Ça évidemment vous ne pouvez pas vous en rendre compte puisque vous n’en avez pas. Le pire est que ma disparition comme toutes les autres ne vous feront pas changer d’avis ni votre manière d’agir vous continuerez votre politique d’immigration mortifère comme si il ne s’était rien passé !

Aujourd’hui, ce drame qui vient d’anéantir ma famille et mes amis et endeuiller tout un village, une région et une grande partie du pays, révèle les carences de votre gouvernance et votre silence « assourdissant » interroge.
Seriez-vous indifférent à la sauvagerie de l’agression dont nous avons été victimes dans notre petit village de Crépol et à ma mort ou n’êtes-vous sensibles que lorsque ce sont des gens qui ne sont pas d’origine française qui sont attaqués ?
Choisiriez-vous donc vos morts et vos indignations ? Croyez-vous sérieusement que votre devoir de protéger les Français, devoir qui vous incombe de par notre constitution, est réellement bien rempli ?Pensez-vous que vos ministres Darmanin et Dupont-Moretti soient les mieux à même de lutter contre toute cette violence qui se résume à « planter du Blanc »alors même qu’un d’eux a affirmé « que la France n’était pas un coupe-gorge »,alors que j’en suis la victime aujourd’hui décédée? Pensez-vous que votre politique mortifère d’immigration n’est pas la cause de tout cela ? Alors, je sais vous me direz que mon assassin est un Français mais je peux vous dire qu’en le regardant dans les yeux alors qu’il enfonçait sa lame dans mon cœur il n’avait rien d’un Français ou du moins un Français issu de l’immigration,  regard empreint de haine… d’ailleurs si il avait été réellement Français jamais il n’aurait dit « qu’il voulait planter du Blanc »il n’y a que les gens issus de l’immigration pour prononcer de telles paroles.

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Oh, je ne réclame pas une minute de silence à l’Assemblée Nationale comme cela a été fait de manière  déplacée précédemment.
Car mes aînés m’ont enseigné que SEULS LES HÉROS DE LA NATION peuvent y prétendre.
Et je ne suis pas un héros.
Pas plus, je n’étais un délinquant aussi. La seule chose que je vous demande c’est de veiller sur mes parents qui je le sais souffrent de mon départ et resteront inconsolables !
Moi, j »étais juste un jeune lycéen blanc français, lycéen ce qu’il y a plus de normal, un adolescent joueur passionné de rugby qui avait tout à découvrir de la vie. Qui espérait tout d’une vie qui lui’a été enlevée du fait de votre laxisme et votre incompétence
Par votre très, trop grande discrétion après cette barbarie, paradoxalement et piteusement vous vous fondez dans cette cohorte, que mes aînés disent d’ultra-gauche, tout aussi silencieuse que vous et combien gênée par ma mort qui ne leur rapporte rien.
Ne serais-je devenu alors qu’une variable d’ajustement dans votre exercice du « en même temps » ?

Franchement Monsieur le Président réagissez, changez votre politique mortifère avant que la France ne se transforme en un Crépol géant avec des mares de sang partout dans le pays

Monsieur le Président, si mon propos peut vous paraître téméraire, voire outrancier vu mon jeune âge, permettez moi respectueusement de vous enjoindre d’effectuer un virage à 180° et d’agir pour que pareille tragédie ne se reproduise plus et que nos villes, nos campagnes et notre pays retrouvent leur sérénité d’antan !

Ayez ce courage AGISSEZ ! Dans l’attente maintenant là-haut j’ai l’éternité devant moi…

Recevez l’expression de mes plus respectueuses salutations

Thomas qui aurait pu être votre enfant

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