Un sondage redore le cuir de Mélenchon. Un point c’est tout ! Ou… rien ?

Après la gifle administrée à Jean-Luc Mélenchon par le sondage du Figaro du 1er novembre sur une éventuelle Présidentielle le mettant loin derrière Marine Le Pen, voilà que, deux jours après, un autre sondage le ragaillardit, à la une d’un autre organe de presse, lui aussi parmi les plus lus de France et qui titre enthousiaste :
« Le pari électoral gagnant de Mélenchon »,
et ajoute :
« Jean-Luc Mélenchon n’est pas mort, loin de là ! »
Vous allez vous dire : « Ce n’est pas étonnant, ce doit être un canard de gauche genre Nouvel Obs’ ou Libé… Oh, oui, Libération, c’est son style.Après le sondage mettant nettement en tête Marine Le Pen avec 30% au premier tour, loin devant lui, Libé a voulu redorer la popularité de Mélenchon… »
D’autant que ce journal ajoute, toujours dans le même sens positif pour le clan LFI et son Patron
que sa « stratégie qui consiste à « tout conflictualiser » en permanence est manifestement plébiscitée par sa base électorale. En dépit de ses outrances et de ses sorties complotistes, il reste le leader de la gauche. »


Que dire de mieux sur un Mélenchon qui a été plutôt peu disert sur les massacres en Israël le 7 octobre notamment de bébés décapités et, selon un médecin israélien, d’un bébé brulé vif dans un four où, donc, atrocité des atrocités, il avait été placé vivant !

Et ce journal ajoute une belle et abondante couche de pommade sur le cuir de l’éventuel futur candidat :
« Ainsi est-il, pour 20 % des personnes interrogées, la personnalité qui « incarne le mieux la gauche », devançant (de peu) Fabien Roussel et François Ruffin. »
Et le journal, commanditaire de ce sondage réalisé par Cluster17, ajoute l’explication de Jean-Yves Dormagen, fondateur de cet institut de sondages Cluster17, à propos de la « bonne opinion » que certains électeurs ont de Mélenchon :
« Son attitude lui assure ce leadership. Jean-Luc Mélenchon peut dire à peu près n’importe quoi, il conservera une solide assise électorale, autour de 10 à 12 % des voix. Il perd quelques soutiens du côté de la gauche modérée mais reste ultra-majoritaire au sein de la gauche radicale. » 


Ok, mais… « de 10 à 12 % », cela culmine toujours à… 12% ! Peut-on pour autant parler de « solide assise électorale » à un tel niveau d’étiage électoral ? 
Etiage qui, comme pour un cours d’eau, est le niveau le plus bas : pour un fleuve (en ce qui concerne la « solide assise électorale » de Mélenchon, disons plutôt pour un ruisseau), c’est le niveau le plus bas des eaux Ou plus exactement, côté Mélenchon, c’est le niveau le plus bas des zozos !
Oui, peut-on qualifier cela de « solide assise électorale »? Car ce n’est pas avec 12% qu’il peut espérer en la Présidence de la Rép’ ! Il aurait plus de chances en pariant, pour lui, sur l’arrêt de la Présidenc’ !
Et l’organe de presse poursuit sans être trop méchant avec le grand méchant loupé de la course à la présidentielle :
« La gauche réformiste est éclatée, tandis que la gauche « rupturiste » est incarnée par un seul homme, Jean-Luc Mélenchon » 
Et le journal semble un peu moins « brosse à reluire » en ajoutant :
« Jean-Luc Mélenchon qui perdrait tout de même quelques plumes dans la bataille si le premier tour de l’élection présidentielle avait lieu aujourd’hui. Il obtiendrait 17,5 % des voix »
Remarquons que le journal ne semble pas oser écrire : « Il N’obtiendrait QUE 17,5% des voix »-
Ajoutant cette remarque peu flatteuse : « contre 22 % en 2022, un succès en demi-teinte qui s’explique d’abord par l’absence d’alternative à gauche. »
Et cette déliquescence de la gauche apparaît enfin dans le commentaire de cet organe de presse qui semble s’écarter de la sphère gauchisante avec cette précision sur ce sondage exclusivement à gauche : « À la question « qui représente le mieux la gauche selon vous ? », Fabien Roussel et François Ruffin talonnent Jean-Luc Mélenchon… »

Ils talonnent avec des… talonnettes ! En effet, Roussel fanfaronne à 19% pour un Ruffin s’agrippant, le sacripant, à grand-peine à peine à 17% pour un Mélenchon qui “culmine” à 20 % : pour talonner, les triplés de la gauche gauchisante voire agonisante talonnent ! Mais, et c’est tant mieux, ils talonnent tout en bas de tableau !

Le journal ajoute : «  la gauche républicaine incarnée par Bernard Cazeneuve arrive nettement derrière avec 13 %. » Là, des talonnettes seraient inutiles. Seules des échasses seraient à recommander !

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Mais cette constatation pourtant peu en l’honneur de la gauche et plus particulièrement de Mélenchon inspire pourtant à Jean-Yves Dormagen cette réflexion -plutôt positive- à l’adresse du même Mélenchon :
« Il y a une loi physique. Tant qu’une partie significative des électeurs de gauche sera captée par Emmanuel Macron, le leader de la gauche sera toujours très à gauche.” (Voilà un commentaire original…) “Jean-Luc Mélenchon est certain d’incarner la force dominante (sic). C’est ce socle qu’il cherche à durcir et à fidéliser pour empêcher l’émergence de concurrents. »
Et le journal ajoute : « Méthode connue des trotskistes, comme l’ont expliqué dans nos colonnes ses anciens amis, Julien Dray ou Jean-Christophe Cambadélis. Au fond, l’ex-sénateur socialiste poursuit en ce moment ce qu’il a entrepris depuis qu’il a quitté le PS en 2008 : il clive la gauche et l’entraîne dans une forme de radicalité grâce à un mouvement créé par et pour lui. Il rassemble autour de lui un carré de fidèles qu’il essaiera… » (semble espérer ce journal !) « … d’élargir à l’approche de la prochaine présidentielle. »
Et il va jusqu’à encenser le n°1 LFI : « Pour l’instant, cette méthode lui a plutôt réussi. »
Jean-Yves Dormagen décerne un bon point au n°1 de LFI en estimant que la NUPES « a permis à Mélenchon, qui n’a aucun mandat officiel, d’exister. Il est aujourd’hui presque seul sur son créneau. » Selon le responsable de l’institut de sondages, un seul concurrent sérieux se démarque : François Ruffin. 
« Mais, s’il veut “tuer le père”, il devra rassembler la gauche rupturiste et la gauche réformiste.  Mission impossible ? » Un point d’interrogation qui laisse un espoir aux lecteurs, du moins si ces lecteurs sont de gauche.

Au fait, quel est ce journal très connu des Français ? Alors, c’est Libération ? Le Nouvel Obs ? Ou quel autre de gauche ?

Plouf, perdu ! C’est un journal plutôt à droite qui a commandé, publié et commenté ce sondage pour la plus grande gloire de Jean-Luc Mélenchon. À croire qu’il méritait cette gloire ? Notamment après ses prises de positions scandaleuses puisque plutôt anti-France notamment après les « exploits » du hamas ! « Exploits » inqualifiables mais que, lui, a su qualifier pour plaire à ses partisans de « la gauche rupturiste et la gauche réformiste. »

JACQUES MARTINEZ, journaliste, 
ancien de RTL (1967-2001), l’AFP, le FIGARO, le PARISIEN…

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19 Commentaires

  1. Contrairement à Georges Marchais ou à Arlette Laguiller, soit de grandes figures de la gauche, les mots que j’associe à Mélenchon ne sont pas : peuple français, travailleurs, ni même communisme, non ce sont Islam, haine, dhimmitude, danger. Ceci dit, à la Nupès, il n’y en a pas beaucoup, voire pas du tout qui m’évoquent les mots peuple français ou travailleurs. La gauche n’est plus la gauche, elle n’en a plus que l’étiquette.

  2. C’est affligeant:10 à 12% certes c’est trop peu pour être élu et heureusement mais cela veut quand même dire qu’en France il y a 10 à 12% de CONS prêts à voter pour cette ordure qui soutien le Hamas …..Honte à Merluchon pour ses prises de positions et pour sa traitrise envers la France et les Français!

  3. tout doit être fait pour mettre hors jeu le chef de la terreur rouge islamisée antisémite : les combattre lui et sa clique jusqu’au dernier : les courageux israeliens combattent le HAMAS au péril quotidien de leur vie, en france mettons hors de nuire “la branche française du hamas”

  4. Même un pourcentage au chiffre le plus bas (10% pour être précis) est trop élevé pour Méluche en France. S’il se présentait à des élections dans des pays comme la Norvège et la Finlande, il n’arriverait même pas à 2%. C’est dire l’état de déliquescence de la France.

  5. Cette haine de la France provenant de cet individu, lui provoquera, et je l’espère de TOUT mon cœur, un putain de cancer foudroyant!!

  6. Il est depuis longtemps l’ennemi des Français, des blancs et cela s’étend aujourd’hui à l’Occident. On se souvient de ses propos haineux et calomniateurs sur les blonds aux yeux bleus …(mais alors … Mathilde Panot ????)
    C’est un professionnel de la politique, il n’a jamais rien fait d’autre. Son carburant : la calomnie, le mensonge et surtout la haine,la sienne, envers les blancs, n’a pas de limite . Et il n’embellit pas.

  7. Melenchon est echec, c est certain mais ,il n est pas mat.
    Si 70 % des electeurs muzzs ont vote pour lui,la derniere foisMaintenant, c est 95% au moins.
    Le seul point positif, c est que le pourcentage en faveur de ce type donne une indication de la population muzz en France

  8. Bah, qui croit encore à part ses groupies en extase devant leur dieu ? Idem pour le locataire de l’Élysée avec ses 23 % heureux d’être e…. s par lui et toute sa clique au garde-à-vous.

  9. Pour les Gauchiasses du Point Rachid Mélenchon l’enfariner gagne des points pour la présidentielle de 2027 ! Un sondage qui montre le degré de compromissions de ces Gauchiasses du Point qui pensent dans leur esprit complètement débile que Rachid Mélenchon l’enfariner est le meilleur remparts contre la bête immonde Me Marine le Pen qui est pour eux l’incarnation des heures les plus sombres. Le Gauchisme Journalistique favorise la folie Gauchiste incarné par Mélenchon l’enfariner et sa bande parce que pour eux le Marxisme doit être la priorité pour la France mais tout le monde sait que Mélenchon l’enfariner est un Dictateur en puissance Anti Français et pro Islam….

  10. Mélanchon est un voyou style Doriot. Pour ses séides, il est clair qu’ils sont pro musulmans pour être élus ou réélu dans leur circonscription.

    • Jacques Doriot était un ex pc, soit disant toujours de gauche bien qu’allié inconditionnel des nazis. Comme quoi on peut être tout et n’importe quoi.

      • Quand allez-vous admettre que les nazis étaient de gauche ?
        L’actualité vous crève les yeux.

        • En quelque sorte exact, nazi étant l’abréviation de nazional socialistischen Deutschen arbeiten partai, soit parti national socialiste des travailleurs allemands. Ils se disaient donc socialistes. Quelles sortes de socialistes étaient ils ? Là est toute la question.

    • Tss tss Laurent il y a au début du dernier paragraphe le lien menant à l’article du point justement !!!!

  11. JL Mélanchon. Rien qu’à entendre son nom je suis révulsé. Ce traître est une abomination. Comme je l’ai déjà dit, tôt ou tard cet individu devra être jugé et mis sous les verrous. Cet ennemi de la Vrai France ne loupe pas une occasion pour fomenter un coup d’état. Il bave comme un crapaud en crachant sa haine du Français. Mon plus grand souhait est que cet homme sans honneur soit sanctionné à la hauteur de tout le mal qu’il a fait à la France.

    • Moi, mon plus grand souhait est de le rencontrer par hasard, au coin d’une rue et lui écraser sa gueule de raie, même son service d’ordre n’aurait pas le temps d’intervenir, une droite fulgurante en pleine tronche, et … plus de méchancon ;-))

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