Discussion impromptue avec un africain musulman migrant mineur isolé

Où l’on s’aperçoit que
lorsque l’on sait ce que l’on sait,
on a bien raison
de penser ce que l’on pense !

Cet après-midi, j’ai décidé de profiter d’un temps couvert mais sec afin d’aller à pied poster quelques lettres dans un bureau de poste à l’autre bout de la ville, parce qu’on n’est jamais aussi bien servi que par soi-même ni jamais trop prudent.

A mi-chemin, en coupant par une petite rue en sens unique, je passe devant la rampe d’accès au garage en sous-sol d’un petit immeuble. Etant bâti contre une très légère colline, cette rampe d’accès est en très légère pente vers le bas, quasi horizontale, or voilà que, sur cette rampe se trouve… un musulman africain migrant mineur isolé à capuche !

Et comment je sais que c’est un musulman ?
S’il est aisé de voir que c’est un Africain à la couleur de sa peau et à son faciès, et qu’il est vêtu d’un anorak dont il a rabattu la capuche fourrée sur sa tête, comment donc puis-je savoir que c’est un musulman migrant mineur isolé ?
Pour “migrant mineur isolé”, il semble avoir entre vingt et trente ans, on est donc en plein dans la définition.
Et pour “musulman”, hé bien il a étalé un tapis, a quitté ses chaussures, posées à côté du tapis (il n’a toutefois, vu le froid, pas enlevé ses chaussettes !) et il est en pleine séance de psalmodio-prosternation !

Cette vision est si incongrue que je continue mon chemin sans ralentir d’un poil ma vive allure. C’est incroyable mais j’ai beau savoir à quel point la France est envahie, que pas la moindre ville n’y échappe, que dans la mienne aussi il y a une mosquée depuis quelques années, que je croise parfois des voilées (quoique fort heureusement jamais intégralisées), c’est la première fois que je vois un envahisseur se livrer à ses contorsions presque sous mon nez et presque en plein au milieu de la rue. Et c’est un choc.

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Comme quoi, même quand on est prévenu, lorsqu’un événement totalement inattendu survient, on a quelques secondes de retard à l’allumage avant de réagir, le temps que le cerveau réalise que l’impossible (enfin, du moins ce que l’on espérait impossible…) est en cours.
Et puis là je me dis : “Mais que faire ?!“.
Et puis là je me dis (bis) : “Laurent, gros trouillard, tu écris des articles sur Résistance Républicaine pour dénoncer l’invasion et quand tu croises un envahisseur tout seul qui se comporte comme en pays conquis, tu ne lui dis rien ?! Tu sais ce que ça veux dire “Résistance” ?! Sans couilles, minable !”.
Alors tout penaud, je fais demi-tour avec l’intention de… Je ne sais pas trop, on avisera sur place.

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Ce faisant, je vois une femme (la soixantaine, lunettes, long manteau gris, cheveux poivre et sel avec chignon) traverser la rue à hauteur de l’entrée où se trouve l’envahisseur mahométan, et lui parler, sauf que je suis trop loin, je n’entends rien. Ça ne doit pas être trop agressif parce qu’elle lui fait un grand sourire.

Quand j’arrive au niveau de l’envahisseur, il est en train de remettre ses chaussures et le temps que je demande à la femme ce qu’elle lui a dit, il roule son tapis de prière qu’il va ranger dans un gros sac de type supermarché qu’il avait posé plus loin dans un coin.
Et là, je déchante parce que la bonne femme me dit qu’elle voulait lui proposer de l’héberger mais qu’il faut lui parler anglais et qu’elle ne le parle pas assez bien pour se faire comprendre. Est-ce que je parle anglais ? Est-ce que je peux lui servir de traducteur ?
Mais oui, bien sûr, ma Bôôônne Dâââme, sauf que j’ai d’abord quelques petits trucs à lui dire…
Et je laisse sur place cette Bônâme tandis que je m’avance vers le fond de la rampe.
Il y a en fait sur le côté une espèce de renfoncement avec un petit bout de trottoir en triangle où l’envahisseur a posé son sac et il me regarde m’approcher dubitatif.
Et ça sort tout seul (en anglais lent et posé, pour qu’il me comprenne bien.)

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Moi : Bonjour, ce que vous avez fait, c’est interdit. On est en France, et en France c’est interdit, pour toutes les religions.
(Je reste évasif et ne parle pas de prière ni d’islam, juste de religion, je sais qu’en face il ne va pas être 100% sûr de comprendre de quoi je veux parler, c’est une astuce de discussion pour mettre mal à l’aise un interlocuteur en le mettant dans la position de celui qui ne comprend pas et prendre ainsi une sorte d’ascendant psychologique.)
L’envahisseur : (en anglais) Que.. ? Quoi ? J’ai fait quoi ?
Moi : La prière. En France c’est interdit de le faire en public. Pour toutes les religions. C’est la loi. Si vous voulez faire la prière musulmane il faut aller dans une mosquée. Il y a une mosquée dans cette ville. Il faut aller dans la mosquée pour faire votre prière. Il ne faut pas la faire en public. C’est interdit par la loi française.
L’envahisseur : Je ne sais pas où est la mosquée.
Moi : [je lui explique où est la mosquée, le chemin en gros pour y aller]

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Et c’est là que l’on a la confirmation qu’il ne sert à RIEN de laisser les mahométans construire des mosquées, s’il y avait encore des naïfs pour croire que cela pourrait servir à quoi que ce soit de positif pour la France…

L’envahisseur : Je n’ai pas le temps d’aller à la mosquée. Je fais la prière où je suis quand c’est l’heure.

En résumé : Ta loi ? C’est pas pour moi. Ta mosquée ? Rien à cirer. Je suis musulman, je fais ce que je veux et je t’emm·rd·.

Moi : C’est interdit, c’est la loi. En France, pour faire la prière il faut aller dans un lieu prévu, fermé, pas en public. Pour toutes les prières. Pas seulement la prière musulmane. Toutes les religions. Il faut prier dans un temple de la religion. Pas dans la rue, c’est la loi.
L’envahisseur : Appellez la police. Moi je prie quand c’est l’heure, j’ai pas le temps d’aller à la mosquée.
[Trop occupé à traquer tes futures proies sans défense ?]
Moi : Ecoutez, la loi c’est pour éviter les violences contre vous. Si vous faites ce qui est interdit, il y a des gens qui ne vont pas appeler la police, ils risquent de devenir violents parce que vous ne respectez pas la loi. Moi j’appelle la police mais il y a des gens qui sont violents et ils n’appellent pas la police. Il y a eu des attentats par des musulmans. Maintenant il y a des gens violents contre les musulmans. Il faut respecter la loi. Si vous êtes attaqué parce que vous refusez de respecter la loi, parce que vous faites la prière dans la rue, ce sera votre faute.

Là, il y a un instant de flottement et si auparavant je pouvais lire sur son visage une parfaite indifférence à mon discours maintenant je vois bien qu’à l’évocation d’une violence potentielle à son encontre du fait de son propre comportement volontairement délictuel, hé bien cela lui fait peur, tout simplement.

Alors que je m’apprête à répéter à nouveau mon discours, histoire de bien lui enfoncer dans le crâne les risques qu’il prend, il ramasse son sac et s’en va brusquement, passant rapidement (et sans daigner lui jeter le moindre coup d’oeil) devant la femme restée là, qui me demande, interloquée, qu’est ce que je lui ai diT. Vu que je suis resté calme, que j’ai parlé lentement, sans que rien dans mon ton ait pu indiquer la teneur de mon discours, elle est (hélas…) abasourdie par le résumé que je lui en fais, et elle commence à m’asticoter :

La femme : Ce n’est pas un lieu public ici, c’est une copropriété, là il avait le droit.
Moi : Non, il n’avait pas le droit. D’abord, oui c’est une copropriété mais il n’habite manifestement pas là. Ensuite c’est un lieu d’entrée et de sortie des voitures, et donc il entrave le passage des voitures.
La femme : Vous exagérez un peu, il ne faisait pas de mal et puis moi je voulais lui proposer de se mettre à l’abri chez moi et je n’ai pas pu le lui proposer, vous l’avez fait fuir…
Moi : Ecoutez, s’il y avait eu plus de gens pour faire fuir les musulmans avant le Bataclan, peut-être qu’il n’y aurait pas eu le Bataclan.
La femme : Je ne pense pas que lui soit responsable…

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Je m’apprête à argumenter mais elle voit que je suis prêt au débat, aussi longtemps qu’il le faudra, même ici sur le trottoir dans le froid. Et elle préfère manifestement ne pas se frotter à ma rhétorique facho-racisto-islamophobiste : Elle tourne brusquement les talons, enfonce la tête dans les épaules et retraverse la rue en me plantant là. Je me retiens de l’apostropher : l’épisode n’a pour l’instant attiré l’attention de personne alors ce n’est pas le moment de déraper en l’invectivant.

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A mon tour je tourne les talons et j’éprouve un peu plus tard une immense satisfaction en glissant dans la boîte aux lettres les quelques courriers que j’ai concoctés.
Peut-être que cela suscitera plus tard une réaction identique chez un des destinataires.
Peut-être…

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15 Commentaires

  1. Ben c’est bête à dire mais j’aurais laisser la dame le prendre chez elle et en récolter les conséquences désolée mais il n’y a que comme ça que les aveugles ouvriront les yeux ! je ne perds pas mon temps à débattre avec les gauchos bobos ils sont d’un autre monde ils ne comprennent pas notre langage il faut qu’ils testent par eux mêmes et voient les conséquences de leurs conneries pour comprendre et encore yen a qui seront morts sans avoir compris on les appelle pas pour rien les gauchos c’est la partie gauche du cerveau chez eux qui prédomine ils sont dénués d’analyse comme nous pouvons l’être nous dont le côté droit prédomine on vote comme on est…

  2. Parfois ,j’ai la sensation de tourner en rond!
    J’ai besoin de parler,de dire ouvertement ce que je ressens à mon âge!
    Cet Islam me révolte et m’ enrage.
    Cette secte me sature la cervelle.
    Au 21ème siècle,se prosterner comme cela,dans la rue,franchement cela me dégoûte.
    OUI ! J’ai du dégoût:pour ma part je trouve cela avilissant!
    Puis ce côté bon chic,bon genre des frères musulmans,me révulse !
    Cette hypocrisie qui se lit sur leur visage, me donne des hauts le cœur.
    A VOTRE AVIS? DOIS-JE ENTAMER UNE PSYCHOTHERAPIE ,,
    Je vais vous avouer autre chose,je ne supporte plus toutes ces voilées,habillées comme des sacs, en surcharge pondérale ,et en basket.
    Pas d’élégance.,des visages ternes et bouffis
    Je croise dans nos rues,de jeunes africains et arabes en grand nombre.
    Franchement,si j’avais 20ans de nos jours,je crois sincèrement que je rentrerais dans les ordres …carmélite
    Les jeunes femmes ne sont pas gâtées avec toute cette clique !
    On y rencontre beaucoup de crétins dont le cerveau est soutenu par une casquette à l’envers ,avec des allures de débiles!
    Bref !même à mon âge ,en me payant,je n’en voudrais pas !!!

  3. pas sympa de la part de Laurent !

    il a brisé le début d’ une idylle ………….si prometteuse entre le mineur (pas de fond) de 40 balais et son égérie de 60 berges !!

    • j’ai validé ce que j’ai trouvé;… si celui que vous avez posté n’apparaît pas en effet il a disparu, je ne sais pourquoi

  4. Est-ce que mon commentaire risque d’attirer un procès ?
    je vois qu’il n’est pas validé

  5. Le problème , c’est que cette femme comme beaucoup d’autres, en voyant ce jeune prier, est restée en admiration, et a cru voir un petit saint de la religion catholique,
    quelle ferveur ! quelle foi admirable !
    assurément s’est-elle dit ce jeune homme est inoffensif, il est bon comme du bon pain!

    personne ne lui a appris que plus un musulman prie, plus il est tenté de suivre les préceptes du coran,
    plus il prie, plus il sera ” obligé” de tuer tout ce qui n’est pas musulman comme le lui enjoint son livre saint,
    obligé d’accomplir un acte qui le mettra dans les bonnes grâces de son dieu, et qui lui ouvrira les portes du paradis,

    personne n’a expliqué cela à cette brave dame au grand cœur

  6. La propagande en faveur de cette horreur continue à bien fonctionner,
    les merdia peuvent être fiers des résultats

  7. Suggestion d’illustration sans copyright plus en adéquation avec la description “musulman africain migrant mineur isolé à capuche fourrée” : celle de l’article italien
    https://www.giornaledipuglia.com/2019/01/migranti-orlando-scrive-alla-sea-watch.html
    URL direct de l’image :
    https://3.bp.blogspot.com/-LGGkLVHFlP0/XEnpGo3sAXI/AAAAAAAH3UA/fuRYM_o0Jww-Ayw6jqJN7_ZnNRLYeDyCwCLcBGAs/s400/migranti61.PNG
    Celui au deuxième plan en anorak rouge à capuche fourrée ressemble comme deux gouttes de pétrole à celui que j’ai admonesté.

  8. De quoi vous mêlez vous pour empêcher “la femme” de se faire enrichir par “l”envahisseur”. Au mieux , il ne l’aurait pas tué.

  9. Très bonne démonstration de ce que signifie l’I slam (et sa “spiritualité”) à savoir la soumission, mais la soumission à la force. Ce qui explique, dans la foulée, le terme Allah Akbar. Allah est le plus fort ! C’est pour cela qu’on lui est soumis.
    Donc, si un kouffar le menace physiquement, il comprend qui est le plus fort et se soumet.
    C’est d’ailleurs le sens de la Hudna : Mohamed ne faisait plus le Jihad en situation de faiblesse, il proposait la “paix”, la Hudna, c’est-à-dire une fausse paix qui consistait à un pacte de non-agression, le temps nécessaire à se préparer militairement pour attaquer ensuite traitreusement.

    Islam veut donc dire soumission, à la force ou à la violence.

    Quant à cette “bonne âme”, m’est avis qu’elle avait envie de plus que de faire de bonnes actions. Ou alors il faudrait élargir le sens de l’expression “bonnes actions”.

    Au fait, Laurent P, félicitations !

  10. La preuve que la plupart des gens ne savent absolument pas ce que c’est l’islam, ils ne se l’imaginent même pas ce que ça pourrait être, des ignorants, des moutons.
    Et c’est pourquoi la France sera perdue.
    Des gens comme ça j’en rencontre tous les jours, quand j’essaye de leur expliquer par des phrases maitrisées pour ne pas trop les surprendre, ils ont l’air de s’étonner.

    • Van Dunord
      Ils ne peuvent pour la plupart pas comprendre car ils envisagent la religion sous le même angle que le catholicisme mais pour beaucoup, ils ne VEULENT pas comprendre car ils VEULENT que leurs idées soient conformes à leurs pensées, ils se mmettent la tête dans le sable en espérant, sauf que, le réveil sera brutal !

      • +1

        Oui, j’en ai croisé des comme ça, beaucoup, et je me dis : mais c’est quoi le problème, c’est quoi cette incapacité à voir ce qui est criant ?
        Et la seule réponse est la votre Rodrigue : le réveil sera brutal.

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