Restaurateurs et hôteliers veulent embaucher des migrants !

Illustration : « Christy », cuisinier tamoul du café Le Paris (Streetpress)

Notre gastronomie est inscrite sur la liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité de l’UNESCO.

« Le repas fait partie de l’identité des Français. Il est aussi bien normand, provençal que bourguignon ou alsacien. « Par ailleurs, la gastronomie française est ouverte à d’autres influences, extrêmement variées, qui peuvent générer de nouvelles saveurs. C’est une notion d’ouverture dont il faut tenir compte, en adéquation avec la réalité d’aujourd’hui », observe Hubert de Canson, délégué permanent adjoint de la France auprès de l’UNESCO. »

Pour certains, la gastronomie française, c’est donc aussi la fondue chinoise à la noix de St-Jacques de Normandie, le döner kebab halal à l’agneau de l’Aveyron ou le poulet de Bresse sauce arachide…

A ce titre, les restaurateurs et hôteliers, soucieux de s’engager dans cette notion d’ouverture à l’autre, et confrontés à une pénurie de personnel, souhaiteraient pouvoir embaucher 130 000 migrants. Car en effet, dans un pays comptant plus de 3 millions de chômeurs, les Français boudent mystérieusement les métiers de plongeurs, serveurs ou cuisiniers.

Les restaurateurs veulent pouvoir embaucher des migrants

« 130 000 emplois sont à pourvoir dans le secteur de l’hôtellerie-restauration. » Le constat, dressé par Didier Chenet, président du Groupement national des indépendants (GNI) hôtellerie-restauration, est alarmant : restaurants et hôtels peinent à recruter.

En cause, selon Gaëlle Missonier, porte-parole de l’Union des métiers de l’hôtellerie (Umih) : la mauvaise image de ces professions et les conditions de travail souvent pénibles. « Aujourd’hui, les gens ont tendance à penser que si tu n’es pas bon en classe, tu finis dans l’hôtellerie-restauration », déplore-t-elle.

Didier Chenet abonde dans ce sens : « Ils boudent de plus en plus certains postes difficiles, comme celui de plongeur, par exemple. »

Et si l’une des solutions à cette pénurie de main-d’œuvre était d’embaucher des migrants ? C’est l’idée présentée par les professionnels du secteur au gouvernement, le 19 juillet dernier, à l’occasion du Conseil interministériel du tourisme.

« Les restaurateurs et les hôteliers sont dans les starting-blocks, explique Didier Chenet. On attend maintenant du gouvernement qu’il donne des papiers à ces personnes. La formation, le boulot, on est là pour les fournir. »

http://www.leparisien.fr/economie/les-restaurateurs-veulent-pouvoir-embaucher-des-migrants-05-08-2018-7844235.php

Et un salaire correct, des conditions de travail intéressantes, les restaurateurs et hôteliers peuvent-ils les fournir également ? Et la baisse de la TVA de 19, 6% à 5,5 % en 2009 , l’ont-ils un jour répercutée sur les prix à la consommation ?

La France reçoit plus de 80 millions de touristes : quels sont les hébergeurs en manque de « petites mains » soudanaises et érythréennes ? Le propriétaire d’une chambre d’hôte ou les hôtels pas chers des abords d’autoroutes ?

Et qui veut à tout prix son migrant-esclave ? La petite auberge de province ? Le restaurant gastronomique travaillant avec des producteurs locaux ? Ou bien les milliers de gargouilles à touristes, les bouis-bouis à mets préparés/surgelés ou les chaînes de restauration rapide (McDo, Quick halal, Subway, KFC…) et autres « food truck » à la mode ?

Un exemple parmi d’autres : ces cuisiniers et plongeurs de la communauté tamoule de Paris.

« Anushan, second de cuisine dans un restaurant « bistronomique » (tarif du steack tartare : 18 €) du Marais, vit à Saint-Ouen avec sa femme et ses deux enfants. Même chose pour Regan et pour Christy, plongeur/cuisinier au Paris.

Pourquoi autant de Tamouls dans les cuisines de Paris ? Un gérant, qui veut rester anonyme, répond d’abord que ce sont « essentiellement des Sri-Lankais et des Maliens » qui répondent lorsqu’il poste une offre d’emploi. Beaucoup de restaurateurs cherchent des Sri-Lankais [car] ils demandent moins et travaillent mieux.

Dans les faits, c’est un type qui sait se servir d’un micro-ondes. Au café Le Paris, on vient de commander un rôti de porc. En deux minutes, Regan reproduit sous nos yeux ces gestes qu’il connaît par cœur : découper trois tranches de porc que l’on disposera dans l’assiette. Ajouter trois grosses cuillères d’un gratin de pommes de terre préalablement préparé et stocké dans un Tupperware orange. Placer l’assiette dans un four micro-ondes. Sous ce micro-ondes, un jumeau se charge de réchauffer la sauce au poivre. Une minute trente passée, c’est chaud. Verser la sauce, ajouter quelques feuilles de salade aspergées d’une vinaigrette en bouteille. Et histoire de donner une touche gastro : disperser de la poudre de paprika sur les contours de l’assiette. Déposer le plat près de l’ouverture donnant sur la salle et faire tinter la clochette.

Comme les autres, Regan explique avoir appris « sur le tas ». La cuisine est rarement une vocation. A priori, le destin d’Anushan n’était pas de préparer des cochons de lait au romarin et aux olives à 27 € pour les hipsters du Marais : « Dans ma famille, on est menuisiers. »

Regan et Christy, les deux cuistots du Le Paris, sont sur le pont depuis sept heures et ne débaucheront pas avant 16 heures. Au total plus de 45 heures par semaine, payées environ 1 500 euros. Les Tamouls « c’est une main d’œuvre pas chère et qui bosse », vante le gérant du « resto bistronomique ». Et ils acceptent d’être ultra-flexibles : « Les Français imposent des conditions, or je ne peux pas faire un planning à la carte. »

Ils acceptent de travailler pour « 4 ou 5 euros de l’heure », explique Tharshan, de l’ORT. Leur méconnaissance du français les bloque dans leur carrière, quand elle ne se retourne pas tout simplement contre eux. Devant un Léon de Bruxelles du quartier Opéra, on rencontre Chakram. Habillé d’un élégant costume violet, ce cuisinier d’origine bangladeshie et délégué CGT raconte une pratique courante pour se débarrasser des employés qui demanderaient de meilleures conditions de travail : « Si quelqu’un parle au directeur, comme il ne parle pas bien français, le directeur dit qu’il s’est fait insulter. Ça se fait beaucoup. »

https://www.streetpress.com/sujet/1416216981-la-vraie-vie-des-cuisiniers-tamouls-de-paris

Pas sûr, en effet, de donner envie aux chômeurs français de s’engager dans la restauration. Mais ces 130 000 « migrants », une fois installés en France, munis de papiers et bénéficiant de notre généreuse protection sociale, continueront-ils vraiment à trimer dur pour pas cher ?

 

Source : Alternatives économiques

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48 Commentaires

  1. Vous voyez, il y a encore quelque chose à détruire en France ! Allez un peu d’effort, encore une quinquennat pour Mr. Macron pour qu’on finisse le travail;

    • Conclusion : en résumé a défaut d’organisation structurée de résistance active comportons nous en citoyens adultes et responsables , dés que nous constatons une déviation par rapport a notre référentiel patriotes comme le disent quasiment tous le intervenants de cet article et Chardon 26 . Cela doit déclencher le comportement sans faille du BOYCOOTT ! de notre part , nous n’avons pas a caresser et a nourrir la main qui tiendra le couteau de notre perte et la disparition de notre peuple et de notre pays , cela s’appelle la force d’inertie la plus grande des force qu’il y a sur cette terre c’est grâce a cette force que l’Inde s’est libérée sans avoir recours a la violence .
      Il tient a nous de faire de même il suffit de le vouloir pour notre pays et notre descendance , de toutes façons comme tout est pourri nous n’avons que cette voie pour le moment a notre portée et qui ne coute rien .

  2. Vive le vivre ensemble , accueillez les pauvres migrants fuyant la guerre et la misère , voilà votre récompense .
    Rennes (35) : un homme de 28 ans sauvagement agressé et attaqué au couteau par six jeunes migrants afghans Par Koba le 05/08/2018
    Vendredi soir, un homme de 28 ans originaire de Paris, en visite à Rennes chez son amie a été victime d’une agression au couteau, esplanade de Gaulle. Atteint au dos et au mollet, il est ressorti de l’hôpital samedi matin, avec six points de suture et une incapacité temporaire de travail de plusieurs jours.
    suite sur :
    http://www.fdesouche.com/1053943-rennes-35-un-homme-de-28-ans-sauvagement-agresse-et-attaque-au-couteau-par-six-jeunes-migrants-afghans

    https://www.ouest-france.fr/bretagne/rennes-35000/rennes-nouvelle-agression-au-couteau-en-centre-ville-5910236

  3. Bonjour l’hygiéne ,! Et quand ils ne voudront plus confectionner de plats à base de porc ? Ils feront comment les restaurateurs ?
    Boycott de tous ces restos !

  4. … Et dans les mois qui suivront ces embauches massives :

    – Scandales sanitaires
    – affaires d’incivilités diverses
    – ambiance dégradée sur le lieu de travail
    – sexisme envers les collègues et/ou clientes femmes
    – revendications religieuses
    – problèmes de communication sans fin
    – absentéismes et/ou retards fréquents
    – vols dans la caisse et trafics en tous genres
    – risque pour le gérant de se faire taxer de racisme à la moindre critique ou même à la moindre remarque envers l’un de ses nouveaux employés

    … Sinon offrir des conditions de travail décentes et un salaire correct aux employés Français , ça serait une option envisageable , non ?

    Bien sur que non , évidemment .

    Pour conclure : je ne fais aucune illusion sur la mentalité toxique qui règne dans ce milieu car j’ai une connaissance qui y travaillait encore il n’y a pas si longtemps , et qui comprend tout à fait pourquoi la restauration fait fuir un grand nombre de personnes .

  5. Cessez d’aller dans les restaurants de ces vendus tout comme cette saloperie de Bouygues faites lui la publicité pour le conduire à la faillite ! ON NE PREND PLUS D’ABONNEMENT TELEPHONIQUE CHEZ BOUYGUES

  6. Boycottons tous ces restaurateurs qui embauchent des muzz , et puis éditons une liste de ces restaurants ou bossent des allogènes à l’hygiène douteuse ., parce que je vous dis pas la bouffe ,les services de l’hygiène et de la répression des fraudes vont avoir du taf sur les bras .beurk !

  7. Logements prioritaires, subsides financiers (400e par mois mini) aliments, vêtements et transports gratis, emplois au black, AME, victimaire judiciarisée, harcèlement sexuel ,viol et vol compréhensifs (putes trop chères), rapatriement familiale aux mêmes conditions… un réfugié qui ne paie aucune facture (prise en charge département) gagne 2000e mini cash sans frais par mois (et bien plus si famille) sans impôt. WesternUnion réalise 80% de son CA grace à eux et le patronat se frottent les mains….TOUT VA BIEN

  8. La gastronomie française maintenant c’est le cousous, le kebab, la tajine, les tacos, etc…La potée auvergnate, le boeuf bourguigon, les crêpes bretonnes et tout le reste doivent disparaître car ce sont des symboles de haine des autres cultures.

    • brave home au demeurant et ayant mis son immense talent au niveau acceptable point de vue prix !!
      cancer du pancréas
      un des plus insidieux et inguérissable

    • Mon cher Yann, petite pensée émue pour MONSIEUR Robuchon qui a exporté notre formidable culture culinaire (et son génie) à travers le monde. Il a fait connaître la France et ses traditions à toute la planète! Et pour ça, chapeau et merci Monsieur Robuchon! Que ces restaurateurs de pacotille en prennent de la graine.

  9. Mon épouse enseignante a « reçu un adolescent migrant réfugié de Serbie. Bien que sa maîtrise de la langue française était approximative, il a tellement bien travaillé pendant son stage en entreprise (cuisine), que l’employeur voulait l’embaucher. (ce qui n’a pas été possible).
    Par contre, des éléves Français bien de souche, se font expulser rapidement des entreprises en raison d’un comportement inadapté !
    On est mal, on est mal !

    • Oui j’en ai connu qui ont embauché des migrants pour aider….. Pendant les stages et formations préalables et au début, tout allait parfaitement bien, très travailleurs, mais une fois installés dans la place, que des problèmes.

      Il a dit plus jamais de migrants désormais.

  10. Si vous constatez qu un resto embauche des migrants, n’ y allez plus déjeuner et passer le message autour de vous. Ils se casseront la gueule tout seul au bout d’un moment!

      • C’est en effet très juste mais je doute que ces cancrelats comprennent quoi que ce soit étant donné qu’ils acceptent des gens dangereux (migrants) dans leurs restos (je ne vous dis pas l’état des cuisines, c’est souvent épouvantable). C’est pourquoi je ne fréquente que des tous petits restos (à la campagne) car là, il y a de vais cuisiniers et de la vraie bonne bouffe ! Dans les villes, je ne fréquente jamais. Pas fou, le vieux !

  11. Macron étage 2 de la fusée pour nous tirer vers le bas. 5 millions de chômeurs et les gros font chercher de la main d’œuvre bon marché et malléable fournie par le gouvernement.

  12. Il faut éviter les enseignes appartenant aux grands groupes comme Flo par exemple avec leurs escouades de serveurs  »divers »…

  13. quand j’ai connu ma femme elle était serveuse saisonnière dans un bar restaurant dans un bled pas loin de Bagnoles de l’Orne, et lorsqu’il y avait des jours pluvieux donc moins de clients, elle était payée moins cher, comme si c’était de sa faute s’il pleuvait et moins de clients! bref tout cela a fini devant les prud’hommes!

  14. Tout est bien résumé, ces mêmes restaurateurs qui se sont bien gardés de répercuter la baisse de la TVA sur leurs tarifs préfèrent embaucher un migrant qui sera corvéable à merci, payé une misère bref un esclave. Et ce n’est pas Maconnard 1er, président des riches et des banquiers qui va mettre de l’ordre dans tout ça, bien au contraire il fera tout pour que ses petits copains les grands et riches restaurateurs puissent bénéficier d’esclaves pour se gaver encore plus.Mon fils, diplômé d’une école hôtelière française est second de cuisine et bosse jusqu’à 18 h par jour pour 1500 euros mensuels, ça fait pas cher payé de l’heure, mais il voit arriver une main d’œuvre étrangère pas toujours embauchée légalement et sans qualification qui est payée 600 euros de l’heure. C’est sur que ça fait plus de bénef pour la boite et peut être qu’un jour il sera remercié car trop couteux.. Par contre ces CPF n’ont aucune notion d’hygiène et aucune qualification, alors allons y continuons comme ça et dans un futur proche, quand on ira au resto faudra avoir préalablement réservé une chez un gastroentérologue et on bouffera de la merde. La gastronomie française est une image de marque pour le pays, alors laissons les CPF et les restaurateurs pourris transformer ça en merde comme tout ce le reste avec la complicité de politicards tout aussi pourris. A force de pourrir notre pays la France est en train de devenir merdique a tous les niveaux. Visiblement c’est comme ça que Macron voit la France : un pays de merde où tout est vérolé par l’engeance migrante et où la population française de souche sera remplacée par les déchets humains qui nous envahissent

    • T’as raison ,

      Les nouveaux plats typiquement français seront :

      le cassoulet aux colibacilles fécaux
      la potée à la listeria
      la quiche lorraine au sperme dilué
      le poulet basquaise au crachat africain

      etc ….

      Les touristes vont affluer !

      • arrêtez, les gars ! j’ai mon estomac qui remonte !
        Bon , allez ! je vais préparer mon écrasée de p de terre à la crème frâiche et à l’ail, servie avec de la saucisse grillée, saucisse sans colorant ni conservateur, ni, surtout achetée en supermarché !!!

      • Claude ,

        c’est ce qui se passera avec un fort pourcentage de ces cuisiniers africains ou orientaux . La clientèle désertera ces restaurants et les faillites se multiplieront .

        • eh oui, sans compter ceux qui comptent un chômeur dans leur familles ou relations seront dégoûtés de voir ça…

    • C’est clair quand on voit le nombre de restaurants qui sont passés aux plats surgelés de chez Métro par exemple. Les boulangeries s’y mettent aussi, c’est à être dégouté de tout ce bazar qu’on laisse joyeusement faire.
      Qui sait le con dans tout ça ? Le consommateur qui lui paye plein pot pour manger de la daube en barre.

    • Correction : ne pas lire 600 euros de l’heure mais mensuel

    • Non pas payés 600 euros heure, mais par mois! Perso, je ne vais plus jamais dans des restos où travaillent des allogenes exception faite de deux chinois parisiens que je connais depuis trente ans.

  15. Les restaurateurs velent embaucher les migrants
    je ne pense pas que leurs clientèles sera du même avis

    • Rgle no 1 : leur apprendre à SE LAVER LES MAINS, EXIGER DES MAINS PROPRES, surtout quand on est allé aux chiottes…on ne sait jamais… Mais, quand même, difficile de croire que des français au chômage refuseraient des boulots de plongeur, serveur, employé aux cuisines…je me demande si ces « restaurateurs » disent la vérité…j’ai comme des doutes…En ce qui me concerne, si j’aperçois des « migrants » » dans un restau, je sors ! Nous avions un ami qui allait (têtu comme un attelage de mules !) manger souvent dans un boui-boui pakistanais, à Paris (non, je ne donne pas l’adresse!) sourd à nos conseils de prudence ! Combien de fois, l’avons-nous vu, chez nous,nous dire qu’il avait mal à l’estomac et qu’il était allé plusieurs fois aux toilettes pour…euh…comme on dit, « par en haut et par en bas » ! Bien fait, lui disais-je, après l’avoir bien allumé d’abord ! ça vous apprendra ! Un jour, cette andouille a amené là-dedans mon fils qui a refusé de s’asseoir tant la chaise était aussi couenneuse que la table ! mais il y a des cons indécrottables partout !

      • OUI !
        se laver les mains après passage aux toilettes mais qui va les surveiller ?

      • Nous savons tous que ces gens là n’utilisent pas de papier toilette ils se servent de leurs doigts avec un peu d’eau ! qui va contrôler la parfaite propreté des mains au retour au travail ? personne ! Moi dans un restaurant dès que je vois de l’exotisme je me lève et je sorts , mais de toutes façons je mange de moins en moins a l’extérieur je n’ai plus confiance il y a tellement de trafic en tout , sauf chez quelques survivants qui vont finir eux aussi par disparaitre . Les restaurateurs ne tarderont pas a avoir le retour du bâton il ne faut pas prendre les clients pour des billes ils ont deux yeux pour voir .

    • il faut pouvoir le savoir !! c’est en visitant un petit restau « bio « , nouvellement installé dans ma ville , qu’en passant devant les cuisines j’ai vu des sri lankais ! jamais je n’aurais imaginé cela de sa part ! je lui avais demandé des cartes pour l’aider et faire de la publicité , car j’ai pour principe d’aider mes compatriotes, ce que bien sûr je ne ferais plus le concernant !

    • Si embaucher des migrant c’est de la pub. Vous convenez que ce n’est pas la même chose quand on embauche un bondieusard.

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