http://resistancerepublicaine.com/2017/03/21/leroux-a-fait-travailler-ses-filles-pendant-les-vacances-comme-tout-un-chacun-et-alors/
4 août 1789
Abolition des privilèges et des droits féodaux
Dans la nuit du 4 août 1789, les députés de l’Assemblée nationale constituante, dans un bel élan d’unanimité, proclament l’abolition des droits féodaux et de divers privilèges. Ce moment de grande ferveur nationale s’inscrit parmi les grands événements mythiques de la Révolution française.
L’abolition des privilèges est la conséquence inopinée de la prise de la Bastille. Dans les semaines qui suivent celle-ci, les paysans s’émeuvent. Ils craignent une réaction nobiliaire comme il s’en est déjà produit dans les décennies antérieures, avec la réactivation de vieux droits féodaux tombés en désuétude.
Une Grande Peur se répand dans les campagnes. En de nombreux endroits, les paysans s’arment sur la foi de rumeurs qui font état d’attaques de brigands ou de gens d’armes à la solde des «aristocrates». Le tocsin sonne aux églises des villages, propageant la panique.
Les députés qui siègent à Versailles s’en inquiètent. «Le peuple cherche à secouer enfin un joug qui depuis tant de siècles pèse sur sa tête, s’exclame à l’Assemblée le duc d’Aiguillon, l’insurrection trouve son excuse dans les vexations dont il est la victime».
Le 3 août, une centaine de députés, ardents partisans de la Révolution, se concerte sur la stratégie à adopter. Plusieurs sont originaires de Bretagne. C’est le «Club breton» (futur club des Jacobins). Ils prennent la résolution de détruire tous les privilèges des classes, des provinces, des villes et des corporations.
Euphorie patriotique
Le lendemain soir, à huit heures, l’Assemblée, passablement troublée, se réunit et disserte sur les moyens de rétablir l’ordre. C’est alors que le duc d’Aiguillon (29 ans) propose d’offrir aux paysans de racheter les droits seigneuriaux à des conditions modérées. Ce libéral est aussi la deuxième fortune de France après le roi.
Le vicomte de Noailles, un cadet de famille sans fortune, surenchérit et propose d’en finir avec les droits seigneuriaux, «restes odieux de la féodalité» selon ses termes. Il suggère rien moins que d’«abolir sans rachat» les corvées seigneuriales et autres servitudes personnelles.
L’évêque de Chartres monte à la tribune et propose l’abolition des droits de chasse, ce qui ne lui coûte rien mais pèse sur les nobles. Le duc du Châtelet dit à ses voisins : «L’évêque nous ôte la chasse ; je vais lui ôter ses dîmes». Et, montant à la tribune, il suggère que les dîmes en nature (impôts payés à l’Église par les paysans) soient converties en redevances pécunières rachetables à volonté.
Là-dessus, voilà que sont attaqués les privilèges des provinces. Le mot privilège vient du latin et désigne une «loi particulière» : il fut longtemps synonyme de liberté. En effet, chaque fois qu’une nouvelle province était annexée, le roi promettait de respecter ses privilèges, c’est-à-dire ses libertés, les lois particulières traditionnelles, les coutumes et droits immémoriaux de ses habitants. C’est ainsi qu’au cours des siècles s’étaient imposés des droits garantissant les libertés locales.
Tout cela prend fin en cette nuit mémorable. Les représentants du Dauphiné, suivis par ceux de Bretagne et des autres pays d’État, provinces jouissant de privilèges, font don de ceux-ci à la Nation. Les représentants des villes font de même. Pour finir, un membre du Parlement de Paris proclame le renoncement à l’hérédité des offices (charges de magistrature).
Au milieu des applaudissements et des cris de joie, sont ainsi abattus les justices seigneuriales, les banalités, les jurandes et les maîtrises, la vénalité des charges, les privilèges des provinces et des villes.
Une application mesurée
Passé le moment d’euphorie, les députés prennent le temps de réfléchir. Ils décident que seuls les droits féodaux pesant sur les personnes seront abolis sans indemnité d’aucune sorte.
L’avocat Adrien Duport, ardent député, rédige le texte final. Il est voté et publié le 11 août au soir. Avec lui disparaissent à jamais certains archaïsmes comme la corvée obligatoire, de même que des injustices criantes comme la dîme ecclésiastique, uniquement payée par les pauvres.
Certains autres droits féodaux, ceux pesant sur les terres comme les cens et les champarts, devront toutefois être rachetés. À cette seule condition, les paysans pourront devenir propriétaires de plein droit de leurs terres.
Sitôt connue, cette restriction suscite quelques désillusions dans les campagnes mais elle est abrogée quelques mois plus tard. L’ensemble des droits féodaux sera irrévocablement aboli sans contrepartie ni exception par le décret du 25 août 1792, quelques jours après la chute de la monarchie.
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L’article de Stratediplo dans RL de ce matin, sur toutes ces armes et uniformes interceptés à la frontière espagnole est quand même inquiétant ….quand on sait qu’ une interception n’est que le sommet de l’iceberg…
Voilà encore de bonnes raisons pourquoi les français méritent la France et pas les autres, comme chaque peuple au monde méritent son pays comme à chacun ces racines culturelles, traditions et races.
Un pays comme la France ne se donne pas, elle s’hérite pour les vrais français en premier lieu, et meilleurs garants du patrimoine français.
La carte d’identité est un droit d’héritage et comme un titre de gardiens du patrimoine français aux vrais français et françaises autochtones mêmes.
Et doivent être rediscutés en bon entendeur, pour remettre les héritages à qui de droit à chacun, et la lutte contre les abus, surtout pour les escrocs imposteurs qui les volent et en abusent avec leurs excuses bidons habituels.
Ceux qui volent les richesses des peuples du monde.
La grande révolution est numérique http://sms.hypotheses.org/8174. Grâce à la vidéo surveillance, il a été possible de confondre Théo et le web diffuse l’information de plus en plus largement vers des internautes toujours plus nombreux.
C’est par le web que les médias dits alternatifs ont pu se faire connaître et l’intitulé de fachosphère ne décourage pas ceux qui veulent s’informer « autrement » https://www.amazon.fr/Fachosph%C3%A8re-lextr%C3%AAme-remporte-bataille-dInternet-ebook/dp/B01LNCI5OQ.
L’islam est maintenant clairement identifié comme une idéologie à l’origine d’un système totalitaire basé sur le mensonge, l’injustice, où l’individu ne compte pas. Cette affirmation est possible grâce aux messages d’internautes qui comme Samir et Lyes répondent (à titre d’exemple) à un converti https://www.youtube.com/watch?v=mOTXPuAd0Ow.
> En de nombreux endroits, les paysans s’arment
Et à l’époque, pas question d’acheter un fusil de chasse, ou de ball-trap
https://sitamnesty.files.wordpress.com/2010/07/choisir-son-fusil-de-ball-trap.pdf
ni même un pistolet western à poudre noire
http://se-preparer-aux-crises.fr/acheter-legalement-en-deux-minutes-un-revolver-de-guerre-a-tout-petit-prix/
Non, les paysans se sont armés d’armes blanches, et c’est largement suffisant pour trucider, voire même carrément génocider comme l’ont démontré les Rwandais avec leurs massacres essentiellement perpétrés à la simple machette.
Donc armez vous « blanc », c’est 100% légal, pas cher mais tout de même amplement dissuasif, voire mortel si nécessaire.
Et de toute façon pour mettre la tête sur une pique il vous faudra la détacher avec un truc tranchant, alors…
http://resistancerepublicaine.com/2016/05/23/patriotes-vous-avez-le-droit-davoir-des-armes-blanches-elles-sont-redoutables/
une réédition de la nuit du 4 aout est largement dépassée a présent…
le « grand corps malade » du, des « Pouvoirs » a complètement infecté et même gangrené la France
je suis convaincu que seule une Révolution Nationale, pourra remettre debout notre cher grand Pays
avec des dizaines de milliers de têtes au bout des piques
les postulants au vol et a l’ infamie ne se cachent même plus et se font descendre comme des étourneaux
tiens, ce matin c’ est le rubicond et transpirant Bayrou qu on désigne et sa garde robe de 50.000 euros…comme le Méchancon…
sans aucune surprise: rien a propos de Macron, alors qu il balade un supermarché de casseroles
il est déjà « élu » par toute cette camarilla ou gauche et droite ne veulent plus rien dire..
petit banquier, traitre et félon a son pays
Et l’abolition des privilèges de rang, de sang, de classe, se vit en quelques mois remplacée par les privilèges de fortune. La ploutocratie remplaça immédiatement l’aristocratie. Les privilèges n’avaient fait que changer de nature. On connaît la suite.
Cela ne donne pas pour autant envie de retourner à l’ancien régime qui depuis longtemps avait fait mentir l’étymologie et « aristocratie », il y avait beau temps que « les meilleurs » n’étaient plus dans la noblesse de sang
Évidemment, chère Christine ! Je ne plaide pas pour un retour à l’aristocratie ! Je souhaite seulement attirer l’attention sur le fait que pouvoir et privilèges semblent, jusqu’à nouvel ordre, tout à fait indissociables, en monarchie aussi bien qu’en « démocratie ».
En effet, Christine . Je n’en veux pour preuve que celui qui fut surnommé « le saint de l’Anjou », Jacques Cathelineau, le voiturier colporteur, 5 enfants à nourrir, qui prit la tête de la révolte vendéenne et en fut le généralissime, qui se battit comme un chevalier, et fut suivi par des nobles : Bonchamp, Lescure, par ex. et un roturier (parmi d’autres) : Stofflet ! (leurs portraits, dûment encadrés, sont à l’honneur chez moi, en compagnie de La Rochejacquelein et du grand Charrette !) . Quant à la nuit du août, ce ne fut pas « l’abolition » des privilèges, mais bien la « permutation » des privilèges ! La Bastille ne fut jamais prise, elle a ouvert ses portes à la racaille ! Si le marquis de Launay (un vrai con !) avait obéi aux ordres du Roi, il ne se serait jamais retouvé la tête au bout d’une pique et serait encore vivant aujourd’hui…euh…oui, un peu moisi quand même ! Mais vous avez raison , Christine, l » aristocratie ne se trouvait plus dans la noblesse de sang !
Si les privilèges sont de fortune aujourd’hui, rien n’empêche de faire de même comme à l’époque du 4 août 1789 pour les privilèges de fortune, et marine Lepen peut relever le gant et de protéger les arrières de la France des escrocs imposteurs.
Je pense qu’en Suisse, bien sûr à demander plus de précisions sur le sujet avec Oskar Freysinger par exemple ou voir d’autres, que seul les équipes gouvernemental et les Maire avec leurs suites qui sont nommés et mandatés par le peuple suisse, qui sont payés par l’état Suisse, les autres doivent travailler ou être au chômage.
Quel économie!, pas pour rien que la Suisse n’a aucune dettes, ils ont même une pomme pour la soif pour un bon bout de temps, ils doivent être très attentifs pour les dépenses publics en Suisse, pour ne pas avoir aucune dettes.
Si bien qu’ils doivent toujours faire attention, ils se méfient du pouvoir comme le disait Oskar Freysinger aux assises de 2010, qui les sauf à chaque fois, car les escrocs imposteurs vont vite pour escroquer le pays.
Chez nous les escrocs imposteurs aux pouvoirs ont tous les pleins pouvoirs sur tout et nous les peuples européens sans défenses contre ces escrocs imposteurs.