Peillon ressemble au belge Magnette qui interdit les tracts électoraux de ses adversaires dans sa ville, par Mandalay

Dimanche soir, j’ai vu et entendu V. Peillon commenter sur TF1, les résultats du 1er tour avec cette phrase incroyable, « la liberté, pour quoi faire ? ».

Les commentaires de Peillon m’ont remis -indirectement- en mémoire, ceux de P. Magnette, actuel président du PS belge (francophone).
Dernièrement, il a déclaré :
« … il n’y a que des électeurs socialistes, … les autres, ne sont que des grincheux ».
Il est vrai que ce personnage puise ses idées (idée n’est -ici- qu’une convention de langage) auprès du brain-trust de terra-nova.

Ce même P. Magnette, agissant en qualité de bourgmestre (maire) PS de Charleroi, a pris -il y a quelques semaines- un arrêté communal interdisant la distribution de tracts électoraux et l’affichage électoral, émis par le parti populaire (droite libérale, euro-sceptique et rejettant l’islamisation).
Motif invoqué : « le PP (parti populaire) ne partage pas ses valeurs » … on croit rêver.
Ce ne sont que des exemples à caractère épidermique, mais suffisamment parlants pour illustrer l’état d’esprit de nombreux politiciens.

Pas facile alors, de faire comprendre aux « ténors » de la politique -peu importe qu’ils soient français ou belges-, que la population est excédée.
Même quand une simple analyse des scores électoraux le démontre amplement, ils (nos chers ténors) entrent dans le déni total de la réalité, il y a toujours un coupable à chercher nécessairement « chez les autres ».
Car eux-mêmes, refusent obstinément de se remettre en question, et d’envisager -en plus- que l’idéologie suivie dogmatiquement pourrait être au coeur des désastres constatés.

Mandalay, responsable Résistance républicaine Belgique

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